Archives mars 2018

Consultation Yi King

Nous vous proposons des consultations Yi King

Le Yi-king est un livre d’oracles que l’on consulte pour obtenir un conseil, une réponse à une question ; en Chine on l’étudie depuis des milliers d’années. Il y a trois siècles, des missionnaires jésuites le rapportèrent en Europe où il attira l’attention de quelques personnes éclairées, dont Leibnitz, le philosophe et savant allemand qui découvrit le calcul différentiel. De nos jours un très grand nombre de Chinois consultent toujours le Yi-king lorsqu’ils sont perplexes. Ils trouvent toujours ses conseils stimulants et utiles en général ; ils considèrent le Yi-king comme une personnalité à part entière, un ami avisé toujours prêt à partager sa sagesse avec ceux qui la recherchent.

Le Yi-king de la Chine ancienne est le plus ancien livre d’oracles du monde. Ces livres servaient à prédire l’avenir, à répondre à des questions, à donner des conseils généraux et particuliers à ceux qui les demandaient. Au fil de l’Histoire nombre de livres ont eu la réputation de trans-mettre une sagesse surnaturelle, même si certains d’entre eux n’étaient pas écrits dans ce but. Par exemple, de la fin de l’Empire romain à la fin du Moyen Age le poème épique de Virgile, l’Enéide, a été utilisé comme livre d’oracles. Un demandeur ouvrait le livre  trois fois au hasard et, les yeux fermés, choisis-sait chaque fois du doigt un vers du poème. Les trois vers ainsi désignés étaient très sérieusement étudiés, pris à la lettre ou interprétés de façon symbolique, pour fournir une réponse à une question donnée.

Au Moyen Age, on se fiait encore tellement à l’Enéide comme source d’oracles que l’on vénérait Virgile, son auteur, comme magicien plutôt que comme poète. Les récits de ses merveilleux pouvoirs occultes circulèrent dans toute l’Europe et sa tombe, à Naples, acquit la réputation d’un emplacement miraculeux où les magiciens se rendirent en pèlerinage. Après la Réforme, la Bible vint à être considérée comme le plus grand des livres d’oracles et des chrétiens sincères et intelligents l’ouvraient au hasard lorsqu’ils cherchaient un guide spirituel pour répondre à leurs perplexités. L’inconvénient d’utiliser ainsi l’Énéide ou la Bible résidait dans le manque de clarté de réponses nécessitant une grande interprétation. Le besoin de livres d’oracles facilement compréhensibles se fit sentir et au siècle dernier plusieurs voyants en rédigèrent. Le plus remarquable d’entre eux fut Le Livre du destin de Napoléon : ouvrage d’utilisation simple qui n’a cessé d’être imprimé en Angleterre depuis les années 1820, même s’il n’a pas vraiment de rapport avec Napoléon. Le Yi-king est au Livre du destin de Napoléon ce que le champagne est au mousseux. Il serait presque impertinent de traiter le Yi-king de livre d’oracles tant il semble vivant et avoir sa personnalité bien à lui. Tant et si bien que nombre de ceux qui l’ont régulièrement consulté en sont venus à ressentir un lien d’amitié entre le livre et eux.

Les origines du Yi-king

Le Yi-king n’est pas seulement le plus ancien livre d’oracles du monde, mais aussi le plus vénéré. On le consulte de Hong Kong à New York, de Singapour à Londres et à Paris, les psychanalystes comme les occultistes tiennent son antique sagesse en grand respect ; parmi certains cultes taoïstes on le révère comme un demi-dieu ; et de nos jours, nombreux sont ceux qui, comme Confucius il y a 2 500 ans, pensent que « si on leur donnait des années de vie supplémentaires ils les consacreraient à l’étude du Yi-king. »

A l’époque où vivait et enseignait Confucius, le « coeur » du Yi-king existait déjà dans une forme similaire à celle qu’utilisent aujourd’hui les voyants. Ce noyau aurait été compilé d’après un matériau beau-coup plus ancien par le roi Wen, qui régna sur la Chine au douzième siècle avant J.-C. Le Yi-king utilisé aujourd’hui comprend non seulement les éléments assemblés par le roi Wen, mais aussi des textes écrits par son fils le duc Chou, ainsi que des commentaires attribués à Confucius et à ses disciples.

Il subsiste aussi des commentaires postérieurs, étudiés par les spécialistes du Yi-king et de la philosophie spirituelle qui s’en dé-gage.
Consultation du Yi-king L’Occidental qui souhaite consulter l’oracle afin d’obtenir son avis sur un problème de sa vie quotidienne trouvera difficile l’utilisation des premiers textes du Yi-king et de leurs commentaires. En effet, à l’époque où ont été rédigés le Yi-king et la plupart de ses commentaires, tous les Chinois ne pouvaient pas le consulter. On le considérait comme un oracle particulièrement sacré ne pouvant être utilisé que par une minorité formée des membres de deux groupes : Le premier groupe comprenait les dirigeants des hautes sphères, les administrateurs et bureaucrates de l’Empire chinois : princes de la Maison impériale, gouverneurs de provinces et de grandes villes, guerriers de haut rang, etc. Le second groupe était formé d’hommes supérieurs : savants, lettrés et philosophes éminents, sages qui consacraient leur vie à la contemplation assidue des vérités éternelles. Inévitablement, les écrits destinés à de telles personnes comprenaient beaucoup de conseils sur les matières les concernant : stratégie et tactique militaires, par exemple. L’avis donné sur de tels sujets par le Yi-king était sans aucun doute d’une grande valeur pour les soldats d’il y a 500 ou 15000 ans ; même pendant la Deuxième Guerre mondiale nombre de généraux japonais consultèrent le Yi-king et ses commentaires et s’inspirèrent de passages comme celui-ci : aucune honte à battre en retraite dans l’intention de consolider ses forces pour l’attaque. » Ceux d’entre nous qui vivent une vie sédentaire, travaillant à l’usine ou dans un bureau, habitent en banlieue ou dans un appartement en ville, ne peuvent appliquer ces conseils à leur situation que s’ils les interprètent de façon symbolique. Cela n’est pas toujours aisé, on peut mal comprendre un tel symbolisme, ou le déformer pour faire dire au Yi-king ce que l’on a envie d’entendre. Autre difficulté : le texte du Yi-king emploie souvent des métaphores et des symboles empruntés à la vie religieuse, politique ou sociale de la Chine d’il y a 3 000 ans. On trouvera ainsi de nombreuses références au chaudron sacrificiel, objet que l’on ne trouve pas communément dans les maisons occidentales, ni même dans celles des Chinois aujourd’hui. De même, dans certaines circonstances l’oracle conseille de faire comme le renard qui marche sur un lac gelé : scène que peu d’entre nous avons jamais vue.

Les étudiants sérieux du Yi-king, qui le consultent régulièrement dans l’une de ses nombreuses traductions, s’habituent rapidement aux symboles et métaphores et sont vite capables de les interpréter aisément. Néanmoins, le symbolisme oriental du texte original et son chatoyant cortège de chaudrons, tigres et renards à queue mouillée, n’auraient pas leur place dans ce livre. Donc les conseils du Yi-king sur la façon de traiter les situations de la vie quotidienne, à propos d’amour, d’argent ou de tout autre chose, seront ex-primés ici d’une façon contemporaine, donc modifiée.
Le temps et le Yi-king Avant de vous expliquer comment maîtriser les techniques nécessaires pour obtenir un conseil de l’oracle, il nous faut considérer un point important sur la nature d’un tel conseil. Contrairement à la plupart des livres d’oracles, le Yi-king ne donne pas des prédictions absolues sur l’avenir. Les sages qui ont créé et développé l’oracle adhéraient à une philosophie spirituelle soutenant que par une action correcte, hommes et femmes pouvaient forger leur propre destin. En adoptant une bonne attitude face à des circonstances et événements particuliers, l’homme cessera d’être ballotté par les vents du destin et utilisera ses propres forces pour décider de ce que lui réserve l’avenir.


Tirage Tarots exemple 2

Question : Est ce que ma fille me racontera ses problèmes ?


Points à souligner: Le bloc psychologique est déjà révélé par la façon dont la personne pose la question. Dans la colonne centrale, en progression de bas en haut, deux personnages sont liés à une illusion (Le Diable), et par la suite les deux personnages, dans le Soleil, se réconcilient dans la fraternité et la communication.
Dans les rangs de la solution, la corde de cravate est coupée par la Justice, qui la porte autour du cou.

Dans le passé: les problèmes de contrôle de la vie (Roue de la Fortune en Sens Inverse), dans lesquels il a eu des problèmes avec sa fille se sont finit à sens unique (Justice).

Dans le présent: la situation est bloquée. Les deux sont enchaînés dans des illusions mentales (Diable), il faut être deux pour pouvoir discuter!

A l’avenir: problèmes de choix, la communication entre les humains (l’amant dans le sens inverse), mais aucune chance de réussir matériellement pour trouver une solution (le Chariot dans lequel vous pouvez voir une cabine téléphonique regardant La Papesse en Sens contraire.

La personne peut appeler sa fille. Dites-lui qu’elle a un problème. Le Tarot répond clairement que la communication est la solution. Quand la personne admet qu’elle peut faire un geste, le Papesse peut être repositionnée dans le bon sens en regardant la justice.

 


Tirage Tarots Exemple

Questions : Est ce que je vais trouver mon chez moi cet été ?


Points à noter: ce qui est statistiquement incroyable, c’est que la notion de maison apparaît dans la moitié des cartes extraites: dans la Lune, dans la Maison de Dieu et dans le Soleil (le mur). De plus, la notion de couple apparaît plusieurs fois: le Soleil et la Lune, l’un au-dessus de l’autre, les deux petits personnages du Soleil et du Diable, l’Empereur, l’homme du couple et l’Amant. Ces notions de couple et de maison sont liées et des discussions ont eu lieu à ce sujet. Christine confirme ce que nous dit le Tarot.

Dans le passé: la Lune au contraire représente souvent des conflits, qui semble avoir été résolus par une bonne et saine communication les uns avec les autres sur les travaux de construction (Soleil)

Au présent: la maison est droite, cette carte répond positivement.

Pour le futur: ça peut se réaliser, mais il y a un problème. L’Empereur est un homme qui concrétise des projets sur terre, et qui est en sens inverse. L’homme a un problème en relation avec cette maison, tourne le dos et regarde l’amant.

Le diable en solution apparaît souvent aux gens qui manquent de fermeté, qui n’osent affirmer leur logique, leur empreinte, leur système de pensée. Christine doit oser s’affirmer dans ce qu’elle veut: si elle impose sa façon de voir les choses, elle passera son été chez elle et aura sa maison.


Métier Gémeaux

Le Gémeaux adolescent se sent capable d’exercer avec le même succès plusieurs métiers ; par ailleurs, il est très jeune de mentalité et ne tient pas beaucoup à entrer dans le monde des adultes, ce monde où l’on travaille et où l’on prend sérieusement ses responsabilités. Ce qu’il déteste, dans le fait de choisir une carrière, c’est qu’il va devoir se borner à aller dans une seule direction, alors que toutes l’attirent et que ce qu’il aime surtout, c’est le changement. Devant ce problème, certains Gémeaux ne se résignent jamais, qu’ils en aient ou non conscience, à choisir une carrière : ce sont de ces gens qui passent sans cesse d’un métier à l’autre et ne se résolvent pas à se spécialiser, Ce que les Gémeaux devraient savoir, c’est que le choix, s’il est bien fait, peut parfaitement ne pas exiger d’eux la limitation à une seule espèce d’activité, situation qui les brise et les frustre.

Dans la multiplicité des professions, il en existe qui présentent la possibilité d’avoir des occupations très diversifiées alors même que l’on pour-suit une seule et même carrière. Ce qu’il faut avant tout rechercher, pour un Gémeaux, c’est, sur le vaste clavier des multiples professions, celles qui permettent de mettre en valeur les qualités de rapidité, d’adaptabilité, de sociabilité des Gémeaux. Cela pourra être un travail polyvalent, varié, itinérant. Ce sera aussi une occupation permettant de larges et nombreux contacts avec le public, car c’est ce qu’un Gémeaux fait le plus volontiers. On peut confier à un Gémeaux des responsabilités, même très sérieuses, il saura toujours y faire face. Dans la mesure où son système d’organisation ne dépend que de lui, sa rapidité compensera facilement les creux provoqués par son éventuel manque d’assiduité. Toutes les professions qui entraînent une communication avec les tiers, avec le public, lui conviennent. Le métier de conseiller en relations publiques semble être un de ceux qui lui conviennent le mieux. Au second rang viennent les professions commerciales dans le métier de vendeur.

On remarquera que ce choix ne doit pas impliquer un effort musculaire, le Gémeaux n’ayant généralement pas une très grande force physique. Il est toujours du côté des minces et des nerveux. Les métiers du spectacle peuvent le tenter, mais il n’atteindrait, d’après ses caractéristiques, qu’assez difficilement à la véritable grande gloire, parce qu’il n’est ni assez robuste ni assez persévérant dans l’effort. Toutefois, dans le spectacle de variétés, ou à titre d’animateur, meneur de revue, présentateur, un Gémeaux peut se faire une belle place.

Son attitude au travail

C’est surtout dans sa manière d’aborder le travail que le Gémeaux témoigne de sa mobilité. Il parvient toujours à s’organiser en fonction des circonstances. Il ne répète jamais le même mouvement et ignore ce que sont les habitudes. Il est inventif, vif et précis, et n’a pas besoin d’une observation approfondie ni de longues réflexions pour savoir comment s’y prendre. Il lui suffit souvent de savoir à quel résultat il doit arriver ; il trouve le meilleur moyen lui-même. Est-il besoin d’envisager pour lui la possibilité de s’inclure dans une équipe ? Il n’est réellement pas fait pour cela et sa manière toute personnelle de travailler constitue un obstacle à une mise en commun d’un même effort. Son style de travail est unique et même deux Gémeaux se livrant à la même besogne dans des conditions semblables n’agiront pas dans le même sens, ne prendront pas le travail par « le même bout ». S’ils veulent réussir leur existence sociale, les Gémeaux doivent refréner leur esprit de raillerie et d’ironie. Sauf s’ils adoptent la carrière de polémiste ou de chansonnier ! Ils doivent dominer leur impatience et leur nervosité, sous peine de se rendre malades d’anxiété. Les Gémeaux doivent donc développer en eux, pour équilibrer mieux leur personnalité, un élément essentiel : la conscience de ce que l’on est, de ce que l’on fait, de ce que l’on vaut. Il ne faut pas se laisser aller, il ne faut pas se prendre trop à la légère, ne pas se moquer de soi, il ne faut ni s’ignorer, ni se résigner, ni s’oublier.


Signe des Gémeaux

Une psychologie dite primaire

Chez un Gémeaux, c’est le premier mouvement qui est le bon, c’est la première impression qui compte. Il possède une personnalité vive et spontanée. En cela, on peut le comparer au natif du Bélier qui, lui aussi, a une psychologie primaire. Le second signe du Zodiaque, le Taureau, apporte à ses natifs un caractère secondaire, c’est-à-dire réfléchi, n’obéissant à son premier mouvement qu’après un intervalle de quelques secondes… Avec les natifs des Gémeaux, la spontanéité est aussi rapide que chez le Bélier, mais le mouvement, le style de la réponse sont plus légers, moins énergiques, moins forts, et la brutalité qui peut, par-fois, se rencontrer chez un Bélier n’existe qu’exceptionnellement chez un Gémeaux. Pour se rappeler cette distinction, il suffit de se rappeler la différence qui sépare la vivacité du feu de la rapidité de l’air : le Bélier est un signe de Feu, le Gémeaux est signe d’Air. On se rend compte du rôle que jouent les éléments dans la personnalité des sujets. Devant la vie, devant les faits, un Gémeaux saisira immédiate-ment l’essentiel ; il le recevra, le sentira, l’adoptera, l’acceptera, le comprendra à l’instant même et réagira en conséquence. Toutes les impressions reçues produisent en un instant leur maximum d’effet. Mais, chez la majorité des natifs de ce signe, il n’en reste rien ensuite ! Cela exprimé sous une forme schématique qui varie dans le détail suivant la personnalité de chacun. C’est une forme de caractère qui implique une grande largeur du champ des observations. Le Gémeaux voit et perçoit très vite. Il reçoit de nombreuses impressions simultanées et celles-ci couvrent un large champ d’observation.

Que va-t-il faire de toutes ces impressions ?

Un « secondaire » réfléchirait, ne serait-ce qu’une seconde, et choisirait l’une d’entre elles pour l’exploiter à fond. Le Gémeaux voit tout, note tout, mais n’utilise qu’une infime partie de sa récolte. Cependant, la récolte est vaste, elle couvre un large champ d’observation. Par conséquent, si peu qu’il lui en reste, c’est encore beaucoup par rapport à ce que récolte le Taureau. Le Gémeaux ne « collectionne » pas les informations, il ne les « engrange » pas ; il les relâche comme il le ferait d’oiseaux libres qui se seraient fourvoyés dans son grenier… L’intérêt de cette sorte de caractère réside surtout dans sa faculté d’oubli des impressions subjectives.

Les effets de la spontanéité

Le natif des Gémeaux n’est pas un être pour qui la vengeance est un plat qui se mange froid. S’il désire se venger, c’est à la minute même, sans attendre, sous l’impact de la contrariété, qu’il souhaite le faire. Une heure après, il est déjà trop tard : ou bien l’incident est admis et classé, ou bien il ne laisse aucune trace et il est oublié. Le natif des Gémeaux est un être très éloigné de la rancune, il ignore ce sentiment. Le Gémeaux est l’être le plus prompt aux enthousiasmes hâtifs. Il se passionne pour une personnalité qu’il découvre ; il prend feu pour une mode nouvelle ; il se jette avidement sur un projet ; mais rien ne sera bon qui ne puisse se réaliser immédiatement. La personne qui lui est sympathique répondra peut-être avec amitié ou passion à ses avances ; ce sera parfait. Si cela ne se produit pas, qu’importe’: Au bout d’un temps très court, la déception sera effacée par un élan semblable envers quelqu’un d’autre. S’il y a réponse favorable, si le contact s’établit, les sentiments du Gémeaux peuvent devenir très vifs, mais rarement pendant long-temps ; le Gémeaux classique, à l’état pur, n’est pas un être constant. S’il adopte un projet agréable ou qui l’inspire, il fera en sorte de le réaliser dans les moindres délais. Si un obstacle l’oblige à remettre à plus tard la mise en route de cette réalisation, si cette réalisation exige une préparation longue et minutieuse, qu’est-ce que cela peut faire ! On renonce ! Il y a tant et tant d’autres projets possibles !

Le Gémeau est un être spontané, vif, rapide, essentiellement mobile.

Il est ainsi parce qu’il est sous un signe d’Air et que rien n’est plus mobile que l’air. C’est la brise, c’est le vent, c’est la tempête, c’est le tourbillon, mais c’est aussi la vie, l’oxygène revivifiant, le dynamisme et la vitesse ; c’est souvent l’efficacité. Le Gémeaux est un voyageur. N’est-il pas sous l’influence de Mercure, le dieu qui a des ailes aux talons ? Ce n’est pas sans raison qu’on lui attribue ce parrainage, ou bien disons que la présence de ce parrainage n’est pas sans effet ; comme on voudra l’entendre. Une des conséquences de ce caractère de mobilité, c’est un perpétuel désir de ne pas se trouver « engagé ». Il est l’être qui s’en va dès que tout semble vouloir le retenir. Il ne restera jamais immobilisé dans une situation qui s’éternise, car il s’y sent englué. L’attention des natifs de ce signe a beaucoup de difficulté à se fixer pour une certaine durée ; c’est un esprit qui n’aime pas faire l’effort de se concentrer, car cet effort lui est pesant et désagréable ; il n’en a heureusement pas souvent besoin. En cela, il s’apparente au Bélier, autre caractère « primaire ». Pour répondre à cette aspiration qu’il a toujours de voir les problèmes se résoudre rapidement, le Gémeaux a une forte tendance à choisir les solutions astucieuses ; il a sa logique : plus une solution est rapide, plus il a tendance à l’adopter. Il pense vite et souhaite que tout le monde en fasse autant. Il n’est pas toujours un champion de la ponctualité, mais il va vite. Sa mobilité reste souple. Le Gémeaux ne va pas bousculer son entourage pour activer le mouvement. Il sait très bien se faufiler, se glisser entre les obstacles, passer là où un Taureau s’arrêterait pour reconsidérer le problème. Il n’exige cependant pas que les autres partagent son goût de la rapidité ; il sait avoir ce goût en lui, et les autres sont « comme ils sont ».

Le Gémeaux est une personnalité adaptable

Le fait d’accueillir et d’utiliser rapidement les impressions reçues entraîne à une faculté qui n’est pas très répandue : l’adaptabilité. Lorsqu’un natif des Gémeaux, particulièrement doué par suite de l’influence de ce signe zodiacal  pour les changements de position, de situation, de domicile ou autres, se trouve dans l’obligation de réaliser un de ces changements, il met à s’adapter à sa nouvelle situation autant de rapidité qu’il en a mis à fuir la précédente. Il change et il s’adapte. S’il change de profession, le Gémeaux ne perdra pas beaucoup de temps pour se mettre au courant de son nouveau travail. Sitôt arrivé, un regard circulaire lui donnera une information suffisante sur ses nouveaux collègues dont il saura immédiatement quels sont ceux qui lui accorderont leur aide. En même temps, il aura entendu les explications qu’on lui aura données pour fixer son rôle au sein de cette entreprise ; et, toujours en ce même instant, il aura décidé de la manière dont il exécutera ce qui lui est confié avec le minimum de problèmes. Cette adaptabilité se manifeste aussi sur le plan des relations affectives. Il est à peu près certain que le Gémeaux n’est pas un être fondamentalement fidèle ; bien qu’il puisse le devenir en fait, ce n’est pas instinctif chez lui.

La dualité des Gémeaux
Il faut songer, en essayant de dépeindre la psychologie des natifs du signe des Gémeaux, au fait qu’il s’agit d’un signe double. Le signe des Gémeaux est représenté par des êtres humains et non des animaux, comme la plupart des signes zodiacaux. Avec un signe de représentation à figure humaine, il y a la volonté d’une grande mesure dans les traits caractéristiques : c’est seule-ment en caricature que l’on est tenté de créer des hommes-animaux, ou dans un graphisme symbolique très poussé. Nous avons donc ici une personnalité double, mais dominée par la raison, cette qualité que l’Homme dit lui être propre. La raison, l’intelligence, la parole, tout cela entre en compte dans la personnalité symbolisée par le signe des Gémeaux. Le Gémeaux sent en lui, plus que tout autre, la présence d’un autre moi qui, éventuellement, peut fort bien l’observer en action et commenter cette action. De sorte que le Gémeaux, en même temps qu’il agit, se regarde agir et se juge. Cela crée la facilité que nous avons déjà signalée de se détacher du milieu ambiant pour se « transporter » ailleurs.
Le physique des Gémeaux Le Gémeaux se rattache à la catégorie des nerveux traditionnels à dominante sèche. Le physique est longiligne ; cela exprime parfaitement que sa taille est haute par rapport à sa carrure ; qu’il a le visage ovale plus que rond ; que ses doigts sont longs et minces ; que ses membres se révèlent très déliés.

Il est généralement d’une taille au-dessus de la moyenne des types morphologiques de sa région, de sa race. Lorsqu’il n’est pas de haute taille, il est miniaturisé, c’est-à-dire que, même de taille moyenne ou de petite taille, il a toujours la silhouette élancée, parce que ses proportions restent les mêmes. Astrologiquement, en raison de ses caractères, au point de vue de son signe de naissance, les organes les plus importants chez lui sont ceux de la locomotion et ceux de la relation : les bras et les jambes allongés. En général, le visage est triangulaire, avec prédominance du front ; un visage de chat. Le menton est fin, étroit, parfois pointu. Les yeux, généralement grands, ont le regard vif, souvent moqueur. Ils expriment la plupart du temps une attention en éveil avec une pointe d’ironie sous-jacente. Le Gémeaux est un signe d’Air. Éminemment mobile et rapide, il s’extériorise volontiers par des gestes, qu’il a très vifs et très précis à la fois. C’est un personnage nerveux, ou apparemment nerveux. Sous un autre aspect, il refuse cette nervosité et tâche de la faire disparaître, tout au moins en apparence. Il arrive qu’il contienne volontairement ses réactions, soit par principe personnel, soit par éducation. II est alors très sobre, presque excessivement sobre de mouvements et d’expressions ; au lieu que les remous intérieurs s’extériorisent et apparaissent nettement sur ses traits et dans ses gestes, tout est contenu et subsiste toutefois, mais à l’intérieur de son être. Alors se développent en lui des tempêtes, d’autant plus rudes qu’elles sont contenues, et des tourbillons émotionnels ignorés de tout son entourage et surtout de ceux-là mêmes qui lui reprochent parfois de manquer de coeur, d’affection, de tendresse. Il jouit d’une très grande et très réelle vitalité. Il peut subir impunément des chocs qui abattraient tout autre, même plus robuste et plus lourd que lui. Lui, il s’en remet. Sa vitalité apparaît dans ses attitudes, qui ne sont jamais embarrassées, ni maladroites, mais restent volubiles, vives, variées, expressives et toujours fort à propos. Très extériorisé, il est loquace. Il est disert, gai, moqueur. Il imite fort bien les autres et sait être très vivant et amusant en société. Sa poignée de main est ferme et souple, jamais dure, mais expressive, significative et variant avec le sentiment qu’il éprouve envers ceux à qui il la donne.


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