Mot-clé Problèmes de famille

Réussir sa famille recomposée

Nous avons récemment organisé un cours d’une journée sur la communication de couple sur le plateau de Fribourg : des paysages enchanteurs, de nombreux couples amoureux à la recherche de nouvelles stratégies pour améliorer encore leur relation. En réfléchissant à certaines des “règles” qui garantissent un amour durable, une affirmation en particulier a surpris certains participants : il est important de faire passer le partenaire et la relation en premier.

Certaines mères ont sursauté, secoué la tête. Quelle idée saugrenue ! Est-il possible pour une mère de faire passer son partenaire avant ses enfants ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce juste ?

Est-ce que c’est bien pour les enfants d’abord !

Je suis moi-même mère de deux beaux et énergiques enfants, des garçons maintenant âgés de 10 et 12 ans. Je connais ce sentiment fort qui vous lie à ceux qui ont été la chair de votre chair, cette voix de votre cœur qui vous fait dire : “si tu as besoin de moi, je serai toujours là pour toi”.

On dit que les enfants restent des enfants pour toujours, mais pas les maris. En d’autres termes : vous ne pouvez pas divorcer de vos enfants, mais vous pouvez divorcer de votre mari. C’est une réalité que les femmes que je rencontre en thérapie de couple et en coaching citent souvent, même si d’un point de vue psychologique et émotionnel les choses ne sont pas tout à fait comme ça.

En effet, il est également vrai que le développement psychologique normal de chaque individu prévoit, à un certain moment de son développement, qu’il se sépare et “divorce” émotionnellement de ses parents, de sa mère, pour devenir un individu adulte et séparé, et pouvoir s’investir dans une relation amoureuse adulte avec un autre être humain, son égal, et ainsi créer à son tour un couple puis une famille, pour avoir des enfants qui tôt ou tard “divorceront” de leurs parents et suivront leur propre chemin, à la recherche d’un partenaire et du bonheur ….. et cela est nécessaire pour que l’histoire de l’humanité dans son ensemble continue.

Ce chemin naturel de la séparation d’avec les parents et de l’individuation (la définition de Jung de devenir adulte et séparé) n’est pas toujours sans douleur ni sans heurts.

Il arrive parfois que les parents ne veuillent pas lâcher leurs enfants. En tant que psychothérapeute et coach, je rencontre quotidiennement des hommes et des femmes adultes qui ont du mal à se réaliser et à prendre leur envol car ils sont encore trop occupés à être des enfants. Dans ces cas, le cordon ombilical n’est jamais coupé, et cela se produit plus facilement si une mère investit toute son énergie à être une mère, avant même d’être une femme.

En effet, si en nous regardant dans le miroir nous sentons avant tout que nous sommes des parents, cela peut être un problème pour la femme et le couple de laisser partir celui qui a été et est encore la raison de notre vie, le motif fondateur de notre identité.

C’est aussi pourquoi je pense qu’il est important de se mettre en avant, ainsi que son partenaire, pour cultiver sa relation amoureuse. Il est aussi et surtout juste pour les enfants, de les libérer.

Il est également crucial de maintenir la relation en vie !

Du point de vue du couple, si vous voulez éviter le “syndrome du nid vide” lorsque votre enfant suivra sa propre voie, le fait de vous voir dans l’avenir essentiellement comme une femme, aux côtés de votre partenaire, facilitera cette transition, tant pour vous que pour votre enfant, et vous permettra de préserver votre amour pour votre partenaire et d’éviter de vous réveiller demain à côté d’un étranger.

C’est ce qui arrive aux couples qui sont avant tout des couples parentaux, c’est-à-dire unis uniquement par l’objectif commun d’élever les enfants et de gérer la famille, mais distants sur un plan plus intime et personnel. Dans ce type de couple, la communication est axée sur les choses à faire, les engagements et le besoin de coordination, mais il manque un lien émotionnel profond entre les partenaires. Dans ce type de couple, les enfants servent de ciment et lorsqu’ils partent, le couple entre en crise et peut se briser. Il peut donc arriver que les enfants restent et continuent à préoccuper leurs parents, précisément pour que le couple puisse continuer à exister.

Il est donc important de cultiver dès le départ la conscience que les enfants ne sont pas éternels, et que l’amour du couple, s’il n’est pas cultivé, meurt.


Où partir avec ma famille ?

Où déménager avec votre famille

S’expatrier avec ses enfants n’est pas la même chose que de changer de vie et de pays et de chercher fortune seul ou avec son partenaire. Si vous avez une famille, vous devez bien réfléchir à votre destination car vous ne pouvez pas vous permettre de changer de pays chaque année si vos premières tentatives ne se passent pas bien. Les parents qui souhaitent émigrer doivent prendre en compte de nombreux facteurs et penser à l’avenir de leurs enfants, en choisissant ce qui pourrait être le pays idéal pour eux, c’est-à-dire avec une meilleure gestion et intégration des immigrants, un faible taux de criminalité, un niveau élevé d’éducation et de qualité de vie.

Parmi les meilleurs pays pour les familles figurent :

Pays-Bas. Avec une excellente qualité de vie, une éducation et une sécurité de l’emploi qui offrent aux parents une certaine stabilité, les Pays-Bas sont un bon choix pour les familles.

Australie. Le faible taux de criminalité, l’excellente qualité de vie et un système éducatif qui, bien que coûteux, est d’excellente qualité, font de l’Australie la destination idéale pour les familles expatriées. Les paysages magnifiques et intacts du pays et l’amour de l’environnement permettent aux enfants de grandir au contact de la nature.

Singapour. Bien que le système éducatif soit assez coûteux, il est l’un des meilleurs au monde, avec un large éventail d’institutions parmi lesquelles choisir. C’est aussi l’une des villes les plus propres et les plus sûres du monde.

Corée du Sud. Si vous êtes à la recherche d’une destination exotique riche en culture et en traditions, la Corée du Sud est l’endroit idéal. La Corée du Sud attire les familles expatriées grâce à son excellent système d’éducation et de santé.

Canada. C’est l’une des meilleures destinations pour les familles. L’excellent système d’éducation et de soins de santé du Canada et son faible taux de criminalité sont les qualités les plus appréciées par les expatriés avec enfants, sans oublier la nature et les paysages incroyables qui offrent de nombreuses possibilités de pratiquer des activités de plein air. Sans oublier l’esprit d’accueil des Canadiens, qui facilite l’intégration des adultes et des enfants.

Allemagne. L’excellence du système scolaire allemand est bien connue de beaucoup ; le système de santé ne l’est pas moins.

La Suède. La Suède occupe probablement la première place parmi les meilleurs pays européens pour les familles. Les services de garde d’enfants sont de grande qualité et souvent gratuits.


voyance pour la famille

Voyance pour la famille

La “famille bi-monogénique” est une expression inventée par les psy, pour désigner les familles où l’enfant n’a en fait affaire qu’avec un seul parent, même lorsque la mère et le père vivent dans la même maison et que des échanges ont apparemment lieu avec les deux.

Cette relation avec un parent isolé ne doit pas être comprise au sens littéral : bien que l’enfant ait des contacts concrets avec sa mère et son père, il ne connaît pas de différence substantielle dans le type de relation. Il rencontre, pour ainsi dire, un parent célibataire à deux reprises, s’adressant à la mère. Dans ce scénario, c’est le père, en tant que porteur de la loi, qui est mis en échec, souvent réduit au rang de celui qui a donné un enfant à la femme (qui lui a permis d’être “son” enfant) et ainsi aplati en un simple substitut, baby-sitter, assistant bricoleur, figure interchangeable et “unisexe”. Vous avez tapé “Voyance pour la famille” sur google.ch ? Notre équipe est à votre écoute !

Les causes de la disparition du père dans la sphère sociale

Dans son analyse, Antoine Love coach soutient qu’aujourd’hui la revendication légitime de l’égalité entre les citoyens, résultat du renversement d’un système fondé depuis des siècles sur le patriarcat, s’est transformée en une idéologie égalitaire, c’est-à-dire en une délégitimation progressive de toute différence de position.

L’égalité des conditions juridiques est élargie sans discernement au point de devenir un déni des différences, comme c’est le cas pour les sexes. Vous avez tapé “Voyance pour la famille” sur google.ch ? Notre équipe est à votre écoute ! L’égalité des droits est interprétée à tort comme une réduction à zéro de l’unicité et de la richesse des caractéristiques de genre.

De plus, la non-acceptation de la différence des positions symboliques (qui ne porte pas atteinte à l’égalité des droits de l’homme) fait paraître suspect tout lieu d’exception, car il risque de devenir le lieu de l’abus de pouvoir et de l’autoritarisme patriarcal. Vous avez tapé “Voyance pour la famille” sur google.ch ? Notre équipe est à votre écoute !
 Ce n’est pas un hasard si, aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de trouver des candidats à des postes à responsabilité qui sont de plus en plus exposés aux attaques et aux accusations. Cela entraîne également une paralysie généralisée de la décision : qui décide en cas de désaccord si nous sommes tous égaux ?

Le père et la mère jouent donc un rôle égal dans l’éducation de leurs enfants, précisément parce que les positions de la mère et du père ont fini par être égales. Mais alors, qui décide quand on n’est pas d’accord ?

En fait, très souvent, la légitimité du père concret à intervenir auprès du fils est remise en question. En effet, explique Lebrun, l’égalité virtuelle, implicite dans la démocratie, ne nous dit pas comment gérer la prédominance d’une partie en cas de désaccord. Vous avez tapé “Voyance pour la famille” sur google.ch ? Notre équipe est à votre écoute !
 Et cela arrive très souvent maintenant que c’est la décision de la mère qui prévaut. Le père, qui n’est plus soutenu par le discours social dans la légitimité de son intervention, se retrouve “résigné” malgré lui.

Les conséquences de l’absence du principe paternel

Dans le scénario décrit, le mot qui fait autorité ne fonctionne plus. Dans le discours commun, la légitimité de “forcer” l’enfant à incorporer une loi quelconque disparaît. Vous avez tapé “Voyance pour la famille” sur google.ch ? Notre équipe est à votre écoute !
 Et le droit est fondamental pour humaniser la vie, il suffit de penser que si nous n’apprenons pas la grammaire, nous n’apprenons même pas à parler. Le mot n’est-il pas ce qui nous différencie des animaux, ce qui nous permet d’intégrer, d’affiner et donc de transcender la brutalité des instincts ?

Ainsi, pour devenir des hommes au plein sens du terme, il faut nécessairement passer par l’étroite ruelle de la loi et de la contrainte. Mais que se passe-t-il si l’enfant, à cause de cette crise d’autorité, n’a pas l’expérience de la confrontation avec la limite qui humanise la vie ? S’il n’y a plus personne pour porter le fardeau de la haine de l’enfant à son égard ? Si dans l’éducation, le discours de la mère prévaut à sens unique, quel est le discours de l’amour, du soutien, de l’aide, de l’assistance ?

L’enfant en profite logiquement, c’est-à-dire qu’il se légitime pour refuser tout non, toute interdiction.  Non seulement il devient incontrôlable dans sa conduite, un petit tyran. Mais il peut aussi développer une agressivité dont les adultes ne peuvent pas comprendre le vrai sens. Ce n’est rien d’autre que de la colère envers la mère, la mère débordante qui coupe son père et le cloue à un éternel enchevêtrement et à une infantilisation au corps à corps avec sa mère.

Il ne s’agit donc pas de restaurer le patriarcat, de regretter le maître-père et ses systèmes notoirement mortifiants, mais de se poser la question de la limite du système dans lequel nous sommes immergés et de réfléchir à la manière dont nous pouvons la dépasser. Il s’agit de trouver une autre base de refondation de l’autorité précisément pour soutenir à la fois la nécessité de faire grandir l’enfant et la nécessité d’aider la mère à réaliser une opération particulièrement douloureuse pour elle, à savoir renoncer au pouvoir réel qu’elle a sur l’enfant.
Oreste : une figure emblématique de la symptomatologie contemporaine

La figure d’Oreste décrite par Eschyle dans la tragédie “Orestea” se prête bien, aux yeux des psy à représenter l’agressivité de l’enfant contemporain privé de son père par le pouvoir écrasant de la mère. Nous sommes, même sur le plan temporel, bien avant l’Œdipe de Sophocle. La question est plus archaïque, même sur le plan psychique.

Oreste est taché de matricide. Il tue sa mère Clytemnestre, coupable du meurtre d’Agamemnon (père d’Oreste et mari de Clytemnestre). Pour se séparer de sa mère, qui “sort le père”, pour échapper à sa féroce omnipotence, il est obligé de la tuer en vrai. Il n’a pas la possibilité de faire appel à autre chose, à cette tierce personne qui lui a été enlevée par la même mère. Et puis il doit le faire seul, et agir concrètement avec un passage à l’acte violent.

Dans la clinique, il arrive de plus en plus souvent d’observer des enfants qui tournent directement leur violence vers leurs parents, des parents comme nous l’avons vu indifférenciés dans leur rôle et penchés sur la “maternité”. Les éducateurs, les thérapeutes et les parents, en premier lieu, restent perplexes face à certaines manifestations qui ne peuvent être contenues, ne comprenant en aucune façon quelle a été leur contribution à la situation dont ils se plaignent. Nous avons été si bons, si aimants, répètent-ils.

Il semble impensable de lire le malaise du fils comme une représaille contre l’éviction du principe paternel. Cependant, c’est la chose la plus nécessaire à faire. S’arrêter et réfléchir à quel point l’indifférenciation des rôles conduit à l’effondrement du lien vital entre l’homme et la femme, entre le père et la mère, entre les opposés, est la première étape pour mettre des remèdes. Il est nécessaire de comprendre comment la composition apparente du conflit vital entre les sexes vide le lien et le réduit à une dynamique dans laquelle l’homme est aux dépens.

Et, comme l’enseignait déjà Antoine life coach réputé, si le symptôme de l’enfant, au lieu de représenter la vérité du lien du couple, finit par être “l’apanage de la seule subjectivité de la mère”, même les analystes se trouvent en difficulté dans leur intervention, au risque également de se retrouver dans la même position que le troisième exclu de la symbiose mortelle entre mère et enfant.

Appelez-nous ! Nous vous aiderons !

Ma famille ne me respecte pas !

Depuis l’enfance, la vie nous enseigne la valeur sacrée de la famille, ce noyau de personnes qui vous a donné naissance et les parents qui l’entourent. Ces types de relations que nous ” fréquentons ” dès la naissance sont souvent des havres de sécurité précieux qui nous protègent et nous donnent le sentiment de faire partie de quelque chose de plus grand. Qui parmi nous n’est pas fier d’avoir des parents attentionnés qui nous ont élevés et nous ont enseigné les valeurs que nous essayons de transmettre aujourd’hui à nos enfants et à ceux que nous aimons ?

La famille est un luxe et il est bon de se rendre compte de l’immense richesse que vous avez entre les mains pour la vivre et en profiter au maximum, chacun d’entre nous a un tiroir spécial de souvenirs de famille dans la tête : les voyages, les dîners, les jeux, les vacances, cette maison à la montagne où chaque Noël nous nous retrouvions juste pour le plaisir d’être ensemble. TMa famille ne me respecte pas ! outes ces petites choses sont en fait des moments précieux que vous n’oublierez jamais et que, au contraire, nous essaierons de reproduire avec nos futures familles dans une succession de traditions de génération en génération.

Avoir une famille unie, cohésive et pleine d’amour est un luxe mais, malheureusement, il n’en est pas toujours ainsi. Ma famille ne me respecte pas ! Un lien de sang ou une ” étiquette ” ne suffit pas à faire d’une famille quelque chose de positif. Il n’y a pas toujours que du rose et des fleurs et parfois les sentiments que l’on ressent pour les personnes à côté de soi, même si ce sont celles avec lesquelles on a grandi, ne sont pas positifs mais nuisibles pour nous et notre bonheur.

Nous sommes des êtres humains et non des machines, c’est pourquoi nous pouvons avoir des problèmes avec les personnes avec lesquelles nous avons des relations, même avec notre famille qui peut être différente de notre imagination commune, irrespectueuse envers nous ou même dangereuse. Nous sommes habitués à choisir des amitiés, des amours, des petits amis mais pas la famille, c’est le seul cercle de personnes que nous nous sommes trouvés à fréquenter presque “obligatoirement” et pour cette raison il semble étrange ou inhabituel de pouvoir s’éloigner d’eux malgré les problèmes.

La vérité n’est qu’une : vous construisez une famille, vous la choisissez et vous en prenez soin. Ma famille ne me respecte pas ! Les liens du sang sont là et ils peuvent évidemment être des piliers très importants dans notre vie, mais la vraie famille est formée par les personnes que nous voulons avoir à nos côtés et qui ont toujours été là pour nous, qui nous ont consolés dans les moments difficiles, qui nous ont conseillés dans les choix les plus importants et qui, surtout, nous aiment tels que nous sommes.

Il ne faut pas se sentir coupable de quitter sa famille si tel est le besoin : c’est un pas à accepter et une décision à prendre. Ce n’est pas une fuite des problèmes mais simplement un choix que, en tant qu’hommes, nous sommes libres de faire. Il est préférable de s’éloigner des personnes qui sont nuisibles à notre bien-être psychologique que de prétendre avoir des sentiments qui, à long terme, ne mèneront qu’au stress et à l’angoisse.

Avec le temps, nous changeons et évoluons tous et il sera possible d’analyser la situation avec un esprit froid et, au cas où, essayer de pardonner, de lisser nos coins, d’essayer de trouver les personnes que vous avez choisi de quitter. Ma famille ne me respecte pas ! Aucun choix n’est éternel et aucun choix n’est bon ou mauvais : la seule chose qui compte est ce que vous ressentez et la recherche continue de votre bien-être.

Témoignage d’une femme aidée en 2010 :

Bonjour, j’ai plusieurs problèmes à résoudre et je me sens trop seul et incompris. Je suis marié depuis 13 ans, j’ai deux enfants, la femme a 13 ans et l’homme 5 ans.
Depuis que mon mari attend la retraite, les problèmes ont triplé, avec lui à la maison nos enfants ne m’écoutent plus :
– ma fille reste des heures et des heures collée à l’ordinateur ; je lui dis de débrancher et de me donner un coup de main pour les travaux ménagers ou de faire autre chose et elle refuse catégoriquement, je lui dis que je lui retire la clé et elle m’attaque verbalement et l’absence totale de mon mari ne m’aide pas à lui faire comprendre qu’elle a tort ;
– chaque fois que nous arrivons à la fin du mois, mon mari ne me reproche presque jamais d’être une grande consommatrice, même si nous faisons les courses ensemble et m’oblige à faire les courses tous les jours pour un maximum de vingt euros, il me force à rester à la maison, il ne veut pas que j’aille travailler, il ne veut pas que je rencontre quelqu’un ;
– jusqu’à récemment nous avions 2 chiens mon mari préférait tout dépenser pour eux et non pour les enfants par exemple un paquet de 30 kg de croquettes tous les 3 jours ; finalement j’ai pu les envoyer en les donnant à quelqu’un et j’ai allégé un peu mais il me menace toujours que par ma faute j’ai emporté la chose la plus précieuse.
Je me sens fatiguée, j’ai du mal à faire vivre la famille, je me néglige toujours pour eux et ils me traitent mal, ils ne me respectent ni comme mère ni comme épouse.

Appelez notre équipe de voyance ! Nous vous aiderons vous aussi à avancer dans votre vie de famille !


Je ne parle plus à la famille !

Témoignage d’une cliente de 2002 que nous avons aidée et qui nous a autorisé à publier ce texte :

Bonjour à toute l’équipe de voyante.ch ! Je voudrais vous parler d’un problème qui m’afflige depuis longtemps et qui est causé par ma famille. J’ai 22 ans, quand je parle de famille, je ne veux pas dire mère, père et fils, mais je le pense comme cela m’a toujours été inculqué quand j’étais enfant : 1) grand-mère 2) mère 3) oncles 4) cousins 6) père. Cela semble étrange, mais c’est mon genre de famille. Je dois dire que ma famille est très élevée et que le vrai bonheur est l’argent, une femme de ma famille n’a pas à travailler, ou si elle doit le faire, c’est seulement pour son hobby, tout comme les études sont un hobby si vous avez pour but d’épouser un homme riche et puissant. Pour apporter le pain dans la famille doit être seulement l’homme Riche et Puissant, si vous êtes avec un homme pour l’amour qui n’est pas riche et puissant que l’homme est avec moi pour la propriété.
Hélas pour ma famille je suis la brebis galeuse : j’étudie parce que je veux travailler et gagner de l’argent à la sueur de mon front et je veux épouser un homme que j’aime qui a des ambitions et qui crée comme moi son avenir avec des sacrifices.
Je ne parle plus à la famille ! Malheureusement, ma famille ne considère pas un homme comme mon père car il est économiquement mal pourvu alors qu’ils considèrent le second mari de ma riche tante. Ma famille est morbide et j’ai toujours blâmé ma mère pour cela et elle ne voulait pas m’envoyer étudier à l’extérieur dans la ville où je voulais (où nous avons une maison) pour qu’elle puisse me contrôler et m’empêcher de finir entre les mains des mauvais hommes (comme si je ne savais pas comment prendre soin de moi). Mais c’est une autre histoire… J’ai été avec un bon gars qui est diplômé de la meilleure université en Italie pendant 4 ans, il travaille comme il peut d’une bonne famille, honnête et travailleur mais pas riche. Ma famille l’a d’abord accepté (sauf ma tante super riche parce qu’elle pensait que c’était un homme pauvre) puis il y a huit mois, ma mère est tombée malade d’une maladie grave qu’elle affronte de la meilleure façon possible, elle est restée huit mois chez ma grand-mère parce qu’elle pense que c’est la seule façon de bien s’occuper d’elle et j’ai passé huit mois seule à subvenir à mes besoins et à ceux de mon père.
Entre-temps, dans ma famille, le facteur pièce est devenu si aigu qu’ils ont réussi à me faire partir avec mon pauvre petit ami suite à la découverte d’un faux profil Facebook qu’ils avaient créé, à mon insu et à celui de mon père, avec toutes mes photos mettant en contact de riches cousins éloignés avec des châteaux. Étant une fille réservée, j’ai forcé la fermeture de ce profil créé par mes tantes par ma mère et ma grand-mère sans compter combien j’étais triste pour ce que ma mère vivait et en même temps devoir m’occuper de la maison et étudier pour les examens universitaires. Après un certain temps, mon petit ami et moi nous sommes remis ensemble mais j’ai décidé (effrayée par les humiliations et les réactions de ma famille) de garder notre relation secrète (sauf pour mon père) pour éviter d’autres histoires, comptant sur ma mère pour lui parler de moi et de mon petit ami quand elle rentrerait à la maison. C’était donc ça. Il y a quelques mois, ma mère est rentrée à la maison et je lui ai tout raconté au bout d’un moment.
Je ne parle plus à la famille ! Maintenant, toute ma famille me déteste et personne ne me parle plus alors que ma mère, confrontée au traitement de sa maladie pour une courte période, accepte mais ne partage pas mon choix. Je suis désolée qu’elle soit entre deux feux… ils parlent de moi avec elle en secret de moi en m’appelant “la negretta” car dans ma famille je suis la seule brune alors qu’elles sont toutes blondes (fausses) ou de façon ironique “Juliette” sans compter que ma mère vit cette mauvaise période et sait combien elle se soucie plus d’elles… Même si cela me dérange que ma mère soit capable d’écouter ces mauvaises choses à mon sujet en ne me défendant pas. Ils pensent que je suis un menteur, leurs erreurs sont faites pour le bien des autres, les erreurs des autres ne doivent pas être justifiées, surtout les miennes (bien que j’aie précisé le fait que mon mensonge a été révélé à ma mère et non qu’elle devait le découvrir). L’année prochaine, je suis censée obtenir mon diplôme et je veux le faire de tout mon cœur parce que je veux partir d’ici, mais personne, même ma mère, ne m’a jamais encouragée à étudier. J’ai essayé d’être plus concis au mieux mais les problèmes psychologiques de cette famille sont beaucoup plus larges…
Vous voulez reprendre le dialogue avec votre famille !

Appelez notre équipe pour une voyance familiale réussie !


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Bonjour je m’appelle Elidia voyante médium professionnelle depuis 50 ans, je travaille avec mes flashs et cartes. Je vais utiliser des pseudos au hasard pour la protection de l’identité de mes clients.
Je tiens à vous partager aujourd’hui l’histoire d’Alphonse un père de famille dévoué qui voulait rendre sa famille heureuse. En effet Alphonse n’avait pas assez de rentrée financière et il jugeait que sa famille n’était pas assez épanouie. Sa seule raison de vivre est pourtant sa femme et ses quatre enfants qu’il aimait tant. Alphonse a 40 ans et travaille dans une petite entreprise depuis des années. Il voulait que sa famille ne manque de rien mais il n’y arrivait pas. Alors, Alphonse m’a contacté pour avoir une prédiction sur son avenir et pour recevoir des conseils. Il était tellement inquiet sur l’avenir de ses enfants. Je lui ai tout de suite rassuré que sa famille était déjà heureuse en recevant son amour chaque jour. Et la richesse ne se définit pas par la richesse matérielle. Etre comblé d’amour est l’une des plus grandes richesses. J’ai vu qu’Alphonse et sa famille est la famille qui restera encore plus soudée que jamais. Ce sera une famille où le bonheur aura toujours sa place mêmes avec des difficultés financières. J’ai conseillé à Alphonse de faire un travail indépendant en parallèle avec son travail actuel car j’ai vu qu’il a déjà concocté un tel programme mais il ne l’a jamais réalisé.
En suivant mes conseils, Alphonse a vu beaucoup d’amélioration dans sa vie et celle de sa vie familiale. Il était vraiment reconnaissant pour tout ce que j’ai fait car il a su comment rendre sa famille heureuse.


Article rédigée par Elidia




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Bonjour je suis Sébastien voyant professionnelle depuis 32 ans. Pour exercer j’utilise les cartes, les ressentis et ma boule de cristal. Je fais des consultations téléphoniques pour le joindre cliquez sur le lien voyante.ch je vais partager avec vous une de mes consultations en utilisant des prénoms imaginés bien pour garder l’anonymat des personnes concernées.  Magali 33 ans est fiancé à Serge son aîné de 4 ans, plus rien ne va entre eux Serge va à son travail et rentre 2 , 3 jours après et cela depuis 2 mois et ne s’occupant plus de leurs 2 filles, en plus de cela il a repris à se droguer. Magali désespérée m’a appelé pour une consultation et pendant que j’étais entrain de la consulter j’ai vu ce qui n’allait pas dans la vie de son fiancé et j’ai cartes m’ont montrées qu’il y avait un meilleur avenir pour cette famille. Le travail que j’ai fais avec Magali lui a permis de retrouver l’homme qu’elle aime aujourd’hui tout va bien dans leur couple et tout le monde est heureux.
Si toi aussi tu as des difficultés laisse toi aider ne baisse pas les z

 

Aritcle écrit par Sébastien