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Voyance amoureuse

Comment vaincre ma dépression

Il est normal de penser que lorsqu’une personne souffre, on peut le voir de l’extérieur. Lorsque nous nous blessons physiquement, nous réagissons instinctivement et signalons que nous avons momentanément mal par différentes exclamations ou par des gestes visibles pour les spectateurs. Ce n’est toutefois pas le cas de la souffrance intérieure.

En général, les personnes qui se trouvent dans cette situation ont tendance à se refermer sur elles-mêmes et à éviter de montrer leurs faiblesses et leurs vulnérabilités, ce qui empêche toute compréhension extérieure (et souvent toute aide).

Dans ces cas, on parle de dépression cachée, c’est-à-dire la condition dans laquelle une personne ne présente pas les symptômes typiques de ce trouble, mais d’autres signes et caractéristiques qui agissent comme un masque. En voyance au téléphone nos life coach sauront vous aider ! N’hésitez pas ! Le drame est que la première personne à ne pas s’en rendre compte est le malade lui-même.

Est-il possible de reconnaître les symptômes de la présence de ce trouble ?
Et comment pouvons-nous intervenir ?
Découvrons-le ensemble.

Caractéristiques du corps et symptômes

Les personnes souffrant de dépression cachée ont du mal à accepter et à exprimer des émotions douloureuses. Les personnes qui connaissent cet état se positionnent de manière à s’éloigner le plus possible de la douleur : certaines semblent toujours très joyeuses et fortement joviales et essaient de se remonter le moral et de remonter le moral des autres ;
d’autres semblent toujours occupés et absorbés par leurs activités professionnelles, familiales et personnelles, au point de paraître toujours en mouvement et extrêmement dynamiques. Ce sont des personnes qui ont un très fort besoin de contrôle, qui évitent les situations imprévisibles et qui montrent une préoccupation excessive pour l’avenir.

Un autre signe évident est la tendance au perfectionnisme et à l’hypercriticisme envers eux-mêmes et les autres. Ils vivent généralement tout avec un sens excessif des responsabilités et du devoir. Les autres, leurs problèmes ou leurs activités quotidiennes deviennent une distraction nécessaire pour faire face aux blessures présentes ou passées ; ce sont des échappatoires qui repoussent le problème sans jamais le résoudre.

Une personne souffrant de cette forme de dépression cachée manifeste toujours un ou plusieurs symptômes corporels d’origine psychosomatique : maux de tête de différents types, fatigue permanente qui ne peut être résolue par le repos, douleurs musculaires, vertiges, insomnies et troubles gastro-intestinaux.

La dépression cachée peut-elle être traitée ?

La réponse est certainement oui.

Le véritable défi et la première étape doivent consister à reconnaître que la qualité de sa vie quotidienne est gravement altérée, puis à reconnaître que l’on a besoin d’aide en entamant une psychothérapie. Comme nous l’avons vu précédemment, la principale caractéristique de la dépression cachée est de ne pas être en contact avec la partie la plus profonde et cachée de soi-même et avec la douleur qui s’y trouve. Fuir ses émotions n’est qu’une tentative de se défendre contre cela.


Voyance et dépression

Voyance et dépression

Dans la vie il peut arriver qu’on ne peut pas tout connaître ni tout comprendre car des facteurs ou des éléments qui sont imperceptibles par nos 5 sens nous empêchent de tout discerner. Ces facteurs ou ces éléments qu’on n’arrive pas à saisir peuvent venir de notre situation professionnelle ou bien dans les relations affectif qui nous anime ou bien dans les questions en rapport l’avenir, les questionnements sur la vie familiale et financière est parfois hors de notre compréhension c’est pour cette raison qu’on cherche des stratégies de résolutions efficace d’un problème. La voyance aussi peut vous aider à surmonter tout impasse sur le plan personnel comme par exemples les traumatismes, les peurs, les stress. Toutes les sphères de la vie peuvent être examinées par la voyance du moins complexe au plus complexe. Ce présent document s’intitule justement voyance et dépression et elle va être sectionné en trois parties. Dans la première partie pourquoi choisir la voyance au lieu d’une autre méthode lorsqu’on est face à la dépression ? Dans la deuxième partie comment la voyance peut aider à surmonter la dépression ? Dans la troisième partie où consulter des professionnels de la voyance  pour nous aider à faire face la dépression ?

– Pourquoi choisir la voyance au lieu d’une autre méthode lorsqu’on est face à la dépression ?

La dépression est une situation qui touche une personne sur dix au sein de la société. Elle est souvent due aux stress de la vie quotidienne ou bien à la perte de quelqu’un ou de quelque chose qui nous est très cher,  la dépression est parfois due à l’échec qui nous fait vraiment souffrir. Mais lorsqu’elle s’installe en nous c’est vraiment très dur de s’en débarrasser et parfois elle ne fait que s’empirer de jours en jours si on ne prend pas les mesures adéquates. Le choix de la voyance en cas de la voyance peut expliquer de la façon suivante tout d’abord la voyance est une méthode qui laisse a celui ou a celle qui consulte la liberté d’agir  c’est pourquoi elle est vraiment préférable qu’une autre méthode. Ensuite, la voyance est une méthode qui est vraiment très direct car les vrais professionnels qui œuvrent dans ce métier ne feront que nous fournir la vérité et rien que la vérité. Puis, la voyance est une méthode qui ne juge pas ces consultants  c’est pourquoi en cas de dépression son choix est vraiment très préférable au lieu d’une autre méthode. Enfin, la voyance est une méthode très discrète car dans une consultation il n’y que deux personne le consultant et l’expert donc on peut s’exprimer efficacement et parler librement sans écoute de notre dépression.

– Comment la voyance peut aider à surmonter la dépression ?

  • La voyance va examiner efficacement la dépression qui nous touche :

Une personne continue d’être en dépression si elle ne sait pas vraiment les raisons. Parfois les raisons de la dépression n’est pas toujours celle qu’on croit c’est là que faire appel à la voyance est vraiment judicieux. La dépression peut être d’origine très profonde que celle les professionnels de la voyance est capable d’identifier. Pour résoudre la dépression il faut connaître réellement la véritable cause afin de savoir comment y faire face. La voyance est bien connue pour aider une personne pour faire à une situation qui échappe à la compréhension d’une personne. Ainsi, la voyance va vous aider efficacement à comprendre quelles sont les causes de la dépression.

  • La voyance va essayer de fournir les meilleures consignes pour lutter contre la dépression :

Une personne est coincé dans cercle pervers de la dépression car elle ne trouve pas les moyen de s’en sortir et lorsqu’elle tente d’y  faire face avec les mauvaises consignes cela ne fera qu’aggraver la situation. Mais une fois que la voyance à identifier les sources de la dépression vous aurez les meilleurs consigne pour  lutter efficacement contre la dépression. En effet, avec les bonnes armes et les bonnes  conseils on peut vaincre la dépression et le recourt à la voyance va nous permettre arriver à ce fin. La dépression est une chose qui le plus souvent ne peut être vaincue tout seul et la voyance est l’arme la plus efficace pour affronter cette situation.

– Où consulter des professionnels de la voyance  pour nous aider à faire face à la dépression ?

Vous êtes en situation de dépression et vous souhaitez le résoudre efficacement ? Les professionnels de la voyance par téléphone de ce site web sont capables de vous aider à sortir  de votre dépression. Les experts tarologues, voyants, clairvoyants, médiums, astrologues, numérologues, cartomanciens de ce site web vous aideront efficacement dans votre lutte de vaincre votre dépression.


Depression amoureuse ? Témoignages à lire

Dans l’article suivant sont publiées quelques expériences racontées par des personnes qui, après s’être inscrites sur le site voyante.ch dans les années 2005, ont envoyé leur témoignage à la rédaction, autorisant la publication dans la section “blog”.

J’ai choisi de ne pas apporter de modifications aux textes envoyés, à l’exception de quelques corrections d’orthographe ou de ponctuation, et j’ai choisi de ne pas les faire précéder d’un exposé ou suivre d’un commentaire, préférant ne pas interférer avec la résonance émotionnelle du lecteur.
La variété des expériences et leur coloration émotionnelle différente témoignent de l’importance de la composante subjective de l’expérience dépressive en amour.

Depression amoureuse ? Témoignages à lire D’abord la lumière, maintenant seulement l’obscurité

Je suis un garçon de 19 ans, je m’appelle Alain et je n’ai jamais été heureux. J’ai divisé ma vie en quatre parties :
a) 3-10 ans : phase de prise de poids et début de la prise de conscience d’être ” différent “.

b) 10-14 ans : phase chronique, pleine adolescence, où j’ai subi des tortures physiques et psychologiques de la part de mon entourage et la première discrimination sociale à tous les niveaux. La solitude. Prise de poids.
c) 14-17 ans : changement psychologique, mauvaises habitudes régularisées (alcool, tabac), augmentation progressive de l’agressivité et découragement de la vie, émotions de haine et complaisance à voir la souffrance des autres, perte d’une année d’école à cause de mes mauvais résultats, augmentation du pessimisme, début de perte d’estime de soi. Plus de prise de poids.
d) 17-19 ans : mauvaises habitudes stabilisées, personnalité agressive et vindicative stabilisée, déséquilibres et sautes d’humeur, pessimisme chronique, perte de poids due à l’hospitalisation, grincheux, double personnalité, abandonné à la vie, faux, malin et récemment déséquilibré mentalement.
Toujours obèse, jamais eu de petite amie, j’ai toujours eu des difficultés à m’habiller, discriminé et raillé par tout le monde. Maintenant je me promène avec un mousqueton de trekking dans ma poche au cas où je me trouverais en difficulté face à des dangers possibles et je dois l’utiliser comme un extracteur pour évacuer la colère de 19 ans de vie sans jamais sourire.

Depression amoureuse ? Témoignages à lire ! C’est comme ça depuis que je me souviens que j’existe

Depuis que je suis enfant, ça semble fou, mais c’est vrai. Je me souviens de m’être isolé et d’avoir pleuré en pensant la même chose : ” Personne ne m’aime “. Maintenant j’ai 40 ans et ma vie a toujours été un élan de malaise plus ou moins conscient. D’autres encore pensent que je suis une femme forte, toujours souriante, “si ensoleillée” me disent-ils. La seule façon de me sentir bien est de ne pas m’impliquer émotionnellement. Mais ce n’est pas toujours possible et quand cela arrive (au travail, dans l’affection, dans les relations familiales) et que j’éprouve la moindre déception, c’est un désastre. Je pense que je ferais mieux de ne pas être là, de ne pas vivre, de ne pas tout lâcher. Je suis allé voir deux psychanalystes différents, un qui travaille dans un hôpital public et un qui travaille dans un hôpital privé (à partir d’un euro par minute) mais, encouragements mis à part, ils n’ont pas pu me montrer la sortie. J’ai également suivi un traitement à base de médicaments, surtout pour dormir, ce qui m’a fait me sentir mieux, mais quand je l’ai suspendu (après trois mois), tout est revenu exactement comme avant. Je suis sûr que je vais m’en sortir, comme je l’ai fait d’autres fois, en utilisant la raison, en étant guidé par la raison et le bon sens, en distinguant ce qui est bien de ce qui est mal. Je dois cependant détacher mon cœur et vivre froidement car, si je me laisse envahir par des sentiments et des passions, je suis déçu, je suis malade et je pleure, je ne dors pas, je ne
Je veux vivre. Qui sait, il a peut-être raison de dire : “Mais pourquoi les idiots ne souffrent-ils pas de dépression ?”

Peut-être qu’ils le font tout simplement, comme avoir les cheveux blonds ou un nez tordu, peut-être que la dépression n’est pas une maladie, mais c’est le nez tordu. Parfois, je pense que j’aurais simplement besoin de ne pas être seule, de vivre comme nous le faisions en communauté, tous ensemble avec les grands-parents, les cousins, les parents et les voisins, une vie plus simple et plus pauvre, mais peut-être plus riche en humanité. Malgré tout, je continue d’espérer…

De l’enfer au ciel ! Depression amoureuse ? Témoignages à lire

Depuis cinq ans, j’ai vécu d’innombrables moments difficiles : université, difficultés économiques, accidents de voiture de mes proches (les uns après les autres), perte de ma meilleure amie (elle n’est pas morte, mais elle m’a profondément déçu). J’ai continué avec les dents serrées parce qu’il y avait un objectif : obtenir mon diplôme et faire un travail qui me gratifie (pour cela et seulement pour cela, j’avais trouvé la force d’affronter l’université). Après l’école, j’ai trouvé un travail de réceptionniste… un travail très ennuyeux. D’innombrables entretiens : seulement des stages non rémunérés et je ne pouvais pas les accepter, j’avais besoin d’argent. C’est l’amère découverte. Pendant huit nuits, je n’ai pas dormi, avec le cauchemar de devoir aller à un travail que je détestais. Hallucinations, culpabilité qui m’ont conduit à une crise psychotique : la sensation vive d’être en enfer, avec des cris comme un démon. Heureusement pour moi, il y avait mon frère qui m’a pris de force, en criant que je lui faisais confiance… et bien je lui ai fait confiance et de l’enfer je suis allé au ciel. Je suis passé par là et il n’y a rien au monde comme ce sentiment d’amour infini. Bref… j’ai été hospitalisé et après deux semaines de psychotropes, je suis revenu à la vie. Puis d’autres rechutes, car l’ennui m’a saisi et je ne savais pas quoi faire dans la vie. Je me suis donné à ma seule passion : la danse. C’était une vraie thérapie pour moi… mais si je dois vous dire la vérité, l’étape décisive pour en sortir a été l’acceptation profonde de la maladie. Au moment où je lui ai fait plaisir, elle a cessé de me faire du mal et j’ai repris goût aux petites choses. Maintenant je dirige une école de danse, j’ai beaucoup d’amis et un nouveau meilleur ami. Je suis de retour à la vie. Je suis de retour à l’amour. J’espère que si je l’ai fait, vous pourrez le faire aussi. Bisous, tout le monde. Je vous aime tous.

Magaly : indéfinissable – Depression amoureuse ? Témoignages à lire

Je m’appelle Magaly, j’ai 23 ans et je souffre de dépression depuis environ cinq ans. J’écris probablement parce que prétendre être en dépression, c’est déjà quelque chose. Tout me dégoûte, je n’aime plus la vie, je me sens absent (un peu), je déteste les gens, au fil des ans je suis devenu très mauvais et je me suis asséché, je n’ai plus de bons sentiments : du moins c’est ce que je pense. Au fond de mon âme, cependant, je suis bon, mais mon caractère est dur et intransigeant, je sors un peu de la maison parce que les gens ne veulent pas que je sois une bonne personne.
Ils n’ont aucune idée de quoi que ce soit, ils vivent leurs vies idiotes sans savoir ce qu’est la souffrance. C’est mon problème : je souffre et je ne sais pas pourquoi, je vais chez le médecin, je prends des médicaments, mais le plus important en ce moment, c’est que la vie me rend malade. Aux autres tellement et à moi la merde à abattre chaque jour, aux autres la normalité et à moi la souffrance. Je suis sûr que c’est la dépression qui m’a rendu comme ça. Je ne peux pas dire que j’ai eu des crises de panique, mais l’ambiance est sous mes talons depuis longtemps et quoi que je fasse, je me sens dépassé par la vie et incapable d’en profiter. Les bonnes choses sont là, mais si tu ne peux pas les vivre, à quoi sert la vie ? De toute façon, tu dois essayer de réagir, mais comment ? Je ne sais pas si vous me comprenez, mais le plus grand mal est l’impuissance. Dans la vie, soit tu es là, et tout va bien, soit tu n’y es pas, et c’est la merde amère. Le manque d’amour : en plus des dégâts, il y a aussi la moquerie. Salutations à tous

La vie recommence – Depression amoureuse ? Témoignages à lire

J’ai 40 ans et j’ai toujours eu à me battre dans ma vie. Mon père, un vieil homme et alcoolique, ne m’a pas donné de sécurité ni d’aide d’aucune sorte, au contraire, à l’âge de 16 ans, à cause d’un accident de voiture, en plus d’étudier, j’ai dû m’occuper de sa petite ferme. Malgré mon insécurité, j’étais le meilleur diplômé de l’école et mes employeurs m’ont toujours apprécié pour mon efficacité et ma capacité à résoudre les problèmes. Dans les relations interpersonnelles, peut-être à cause de mon caractère introverti et un peu timide, j’ai toujours souffert, mais j’ai masqué mon insécurité par l’activisme et le fait d’être toujours en mouvement. En 1992, en trois mois, j’ai pratiquement perdu mes deux parents, mais je n’ai pas réagi. J’ai toujours travaillé et dans mon temps libre, je m’occupais de la petite ferme. Malgré les difficultés initiales, j’ai réussi à me construire une maison et, au prix d’énormes sacrifices, à obtenir une petite sécurité économique. Cette année, au printemps, également à cause du travail acharné et peut-être pour être toujours pressé, les crises d’anxiété ont commencé. Au début du mois de juin, je me suis effondré moralement et physiquement et j’ai fait une dépression. Je me sentais inadéquat, mon estime de soi était sous les talons, je n’avais pas envie de manger ou de faire quoi que ce soit et ma tête se perdait dans de mauvaises pensées. Je me suis immédiatement tourné vers un spécialiste qui m’a aidé, même avec des médicaments, à sortir de ce mauvais moment. Ma femme, mes beaux-parents et les quelques amis qui ont compris mon problème m’aident. Maintenant, après deux mois, j’ai recommencé à travailler, je sais que je ne suis pas complètement sorti de la dépression et certains jours sont vraiment difficiles, mais j’apprends à m’accepter pour ce que je suis et à considérer que j’ai aussi fait quelque chose de bien dans ma vie. Parfois, en fait, je pense que la dépression m’a fait comprendre qu’il faut vivre la vie sans culpabilité et sans s’épuiser. A toutes les personnes qui se trouvent dans cette situation, je dis : nous pouvons
pour s’en sortir, nous sommes différents des autres parce que nous sommes plus sensibles, mais cette expérience négative nous rendra plus forts.

Dépendance affective – Depression amoureuse ? Témoignages à lire

Je l’ai réalisé récemment, depuis que j’ai demandé l’aide du public, mais au fond de moi je savais que ma façon d’aimer n’était pas juste et que plus j’aimais, plus je souffrais. J’en suis même venu à penser à mettre fin à tout cela : je ne voulais pas que ma vie continue avec cette souffrance. Puis j’ai arrêté. J’ai revécu les dernières années en un éclair et j’ai eu honte de moi-même et de ce que j’avais fait. Je l’ai rencontré par hasard, après sept années de mariage heureux et une fille, et il est entré dans ma vie. J’étais flatté qu’un homme si brillant et si occupé me regarde. J’étais en surpoids, habillé en garçon manqué, et pourtant je sentais qu’il s’intéressait à moi. Il n’avait besoin que de quelques mots et en six mois seulement, j’ai perdu 15 kg (je ne mangeais plus) et j’ai changé de look. J’ai écouté et suivi chacun de ses mots et peu à peu je suis tombée amoureuse. Mais pour lui, une relation extraconjugale avec moi n’était pas suffisante (même s’il en avait eu d’autres). Chaque fois que nous avions une relation intime, le lendemain, il m’accusait de le pousser à tromper sa femme. Et ainsi les années ont passé, j’étais toujours à ses côtés au travail, le soutenant, sacrifiant ma vie et ma carrière pour lui, espérant qu’un jour il changerait et serait capable de ne pas se sentir coupable de ce sentiment. Inutile de dire qu’il n’a pas changé, et maintenant il a même déménagé. Nous ne nous sommes pas vus depuis un certain temps : il me manque énormément, mais je suis beaucoup plus fort qu’avant. Maintenant j’utilise mes énergies pour moi, pour continuer et non plus pour lui, pour l’aimer, pour être à la hauteur de chaque situation, pour être brillant, gentil, ami, amant et confident. Maintenant, je ressens de la colère envers lui. Il a toujours réussi à me tenir en laisse et si j’essayais de m’enfuir, il me ramenait à lui. J’en ai parlé avec des experts, en allant beaucoup plus loin que ce que vous pouvez faire en quelques lignes, j’ai pleuré et j’ai eu de la compassion pour moi, ils m’ont dit “Vous souffrez de Dépendance Affective” : dommage, cependant, qu’ils n’aient pas été capables (structure publique de Lausanne) de me prendre en charge, alors jour après jour j’apprends par moi-même et j’écris, je me souviens et je pleure.


Dépression amoureuse ? Durée ?

Témoignage à lire pour comprendre la durée de la dépression J’avais quarante-cinq ans et je vivais avec une petite fille, Giulia, dans un appartement en dehors d’Assise où nous venions de déménager. Nous vivions d’une manière magique.

Dépression amoureuse ? Durée ?

Avec joie, nous avons fait face à chaque jour comme si c’était le premier ou le dernier jour de notre vie. Les premiers mots ont été adressés à notre Seigneur pour le remercier de chaque beau jour qu’il nous a donné. Le petit déjeuner, nos tasses, les plants, tout était très important pour nous, comme si c’était des bijoux précieux et en vérité ils l’étaient. Giulia m’avait été confiée à l’âge de quinze ans à cause de l’impossibilité, de la part de sa famille d’origine, de pouvoir s’occuper d’elle convenablement. Elle était déjà avec moi depuis trois ans, avant que d’autres personnes vivent avec nous dans une autre réalité, où, sur un chemin d’autonomie, elles avaient pris leur propre chemin. Giulia et moi aurions été “ensemble pour toujours”.

Maintenant que Giulia, à son tour, était volontaire dans un foyer pour mères et enfants, j’ai organisé la maison et les engagements extérieurs de l’association dont nous faisions partie. Lorsque je suis descendue dans les magasins, les gens qui nous avaient récemment vus arriver dans ce nouvel appartement étaient pour la plupart accueillants et quelques sourires suffisaient pour nous donner l’impression de nous connaître depuis longtemps. C’est notre mode de vie simple qui a intrigué un peu et peut-être même la joie que nous avions, qui a transpiré.

C’était comme ça quand j’étais bien, parce que, malheureusement, j’ai souffert de nombreuses années de fortes migraines. Quand ils sont arrivés, les choses ont soudainement changé. Le mal a commencé tranquillement, mais il est devenu fort. Je devais m’allonger dans le lit et bouger le moins possible. La lumière me faisait aussi mal aux yeux, alors que tout mon corps commençait à se tendre, mon estomac se fermait, je ne pouvais plus manger, et les acides qui se formaient augmentaient le malaise général jusqu’à ce que je les vomisse. Puis Giulia préparait quelque chose de frais, et elle s’asseyait à côté de moi pour lire quelque chose, silencieuse, mais sereine. Elle savait, dans son jeune âge, que le mal existe sur cette terre et qu’il faut être patient jusqu’à ce qu’il passe. J’étais tellement émue par sa façon de faire les choses. Les vraies relations, vous pouvez vraiment les voir à certains moments, dans la souffrance l’amour passe encore plus. Elle et moi avions une très bonne entente.

Quand j’étais enfant, heureux de sauter partout, quelqu’un a profité de moi et a mis une pancarte qui ne serait plus jamais effacée, aussi parce qu’elle n’était consolée par personne. Et la même chose lui était arrivée sous une forme beaucoup plus agressive. Des douleurs de silence qui ferment le cœur et qui sont le véritable début du malaise mental. Dépression amoureuse ? Durée ? Ainsi arrachés, tous les deux, à l’enfance cristalline que tout enfant et tout enfant porte en lui, le Seigneur nous avait réunis et mis ensemble. C’était notre grand secret, c’était la force de sourire à nouveau au monde parce qu’une grande espérance nous soutenait, Marie, notre Mère du Ciel.

Quand j’ai commencé à me sentir mieux, nous avons commencé à ouvrir les fenêtres et les premiers rayons de lumière sont entrés. Quelle joie, cette fois aussi, était passée ! Je ne me souviens plus depuis combien d’années je souffrais de ces migraines, j’avais essayé de les traiter progressivement avec différents traitements, avec l’acupuncture, avec des massages, jusqu’à ce qu’à un certain moment j’ai eu l’intuition que le nouveau médecin de famille que nous avions, quelqu’un en qui je me sentais en confiance, pouvait demander des psychotropes légers. Une période avait commencé où même le sommeil n’était plus calme et pendant la journée j’étais un peu irritable. Ils m’ont dit de vérifier ma glande thyroïde, alors je l’ai fait. Ils ont trouvé une petite bosse. Quand ils ont examiné ma poitrine, ils ont trouvé un kyste de graisse qu’ils ont aspiré. J’ai commencé à faire des examens sur des examens parce que je devais trouver l’origine du malaise général que je ressentais. Dans les selles, ils ont trouvé du sang, dans les intestins, ils ont trouvé des diverticules. J’étais entré dans ce tunnel, c’était la route que ma mère avait parcourue, toujours à la recherche d’un remède, ou plutôt des maux qui pouvaient être là pour avoir besoin d’un ” traitement “.

Cependant, mon tempérament était très différent de celui de ma mère et quand j’ai pu me débarrasser de ce malaise, je me suis réjoui avec Sandra pour tout ce qui nous arrivait chaque jour. Les gens qui nous voyaient, même les voisins qui ne nous connaissaient pas encore, avaient une attitude d’amour envers nous. Ils nous ont accompagnés chaque jour avec nos prières qui nous ont fait nous sentir si proches de notre Seigneur et de Notre Dame.

On nous a proposé d’aller en Suisse dans le canton GE où une maison a été offerte à notre association. Nous avons accepté avec joie l’idée d’aller sur une si belle île. Alors que nous commencions à réfléchir à la manière de nous déplacer, à ce qu’il fallait emporter avec nous et à ce qu’il fallait laisser, à qui pouvait nous aider, nous avons continué à rendre visite à mes parents, à Genève, qui faisaient leur passage vers cette dernière rive de la vie dont personne ne sait comment elle sera, ni comment elle sera gérée.

Ma mère semblait parfois accepter avec bienveillance la condition de vie qui changeait inexorablement, à savoir que la maison ne pouvait plus être un miroir de propreté comme auparavant, que nous nous adapterions encore comme elle l’était. J’ai beaucoup aimé cet aspect de l’abandon de la mère, même son visage s’était adouci, mais malheureusement cela n’a pas duré longtemps. Encore une fois, quelque chose de si dur est arrivé, qu’elle s’est effondrée. C’était au sujet de mon frère… Quand je l’ai rencontré presque en passant lors de ces visites à ses parents, j’ai commencé à comprendre que les choses n’allaient pas bien pour lui, qu’il y avait des problèmes entre lui et sa femme, tout était silencieux, mais les signes étaient différents. Sa femme ne le voyait presque jamais, il ne venait pas voir nos parents, il les appelait, si ce n’est rarement. Cela commençait à m’inquiéter de plus en plus, j’ai réfléchi et réfléchi encore et à la fin j’ai décidé de demander de l’aide au frère de ma belle-sœur, une personne de haut rang que je n’avais jamais rencontrée personnellement. Je lui ai écrit une lettre pour lui faire part de mon inquiétude. Je n’avais aucune relation avec la famille de ma belle-sœur, je venais de rencontrer ses parents de leur vivant, c’est parce que je n’avais pas de véritable relation avec mon frère et sa femme. Nous avions toujours vécu en ignorant la vie de l’autre, nous nous rencontrions seulement à certaines occasions chez les parents ou aux funérailles, nous savions que nous avions des idées contraires sur la vie et, si je pouvais comprendre cela par rapport à ma jeunesse plutôt transgressive, je ne pouvais pas comprendre comment, paradoxalement, après ma conversion de foi, la distance entre nous était encore plus grande. Ma mère avait toujours été très proche de mon frère et j’en avais beaucoup souffert dans mon enfance, à tel point que cela m’a imprimé un sentiment de jalousie que je portais en moi dans chaque amitié, une relation qu’elle avait dans la vie adulte.

J’ai envoyé cette lettre en disant que je voyais des signes peu clairs et j’ai demandé si nous pouvions penser à quelque chose ensemble, à nous rencontrer pour essayer de comprendre. Ils n’ont pas répondu.

Le temps a passé et un matin, mon père m’a appelé pour me dire que la femme de mon frère avait quitté la maison. J’ai eu une attaque, j’ai laissé passer ma mère et elle m’a répondu calmement, en me disant de rester calme, de ne pas m’énerver comme ça, c’était comme si elle le savait, elle le savait depuis longtemps. Je ne comprenais pas, ils étaient calmes, il fallait faire semblant de rien, mais cela ne me convenait pas même si cela aurait été le plus plausible. Il était clair qu’ils le supprimaient parce qu’il était trop important pour être traité. J’ai eu un nœud à la gorge, je me suis senti étouffé, mais j’ai compris que je devais faire quelque chose et donc, sans attendre si longtemps, j’ai appelé le frère de ma belle-sœur et je lui ai dit le fait. Quitter le toit conjugal est un fait public, ce n’est pas une question de vie privée, je pourrais le faire, mais le point était autre, au-delà de la vie privée, je me demandais comment cette femme pouvait rester seule… ? Après l’action, maintenant ce qui pouvait passer par son esprit, ce désespoir, n’était pas prudent, dans ces moments-là tout peut arriver, la responsabilité était d’informer sa famille. Alors je l’ai fait, le frère m’a répondu sur un ton agressif, il voulait savoir où était sa sœur, je lui ai répondu que je ne savais pas, pour demander à mon frère s’il n’avait pas le numéro du téléphone portable de sa sœur avec lequel il pourrait avoir une confirmation directe des faits. C’était des passages très difficiles. J’avais l’impression de mourir. Les murs que nous créons dans les relations sont des murs d’acier et quand pour des raisons extrêmes nous devons les briser, toute la dureté et le froid de cet acier, nous pouvons le sentir sur nous.

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Dépression amoureuse chez un homme ?

Il arrive souvent de recevoir des appels de détresse de partenaires de personnes qui ont glissé dans la solitude radicale de la dépression. Soudain, ils ne reconnaissent plus leur bien-aimé, ils sont désorientés par son rejet, son absence, son éclipse du monde.

Ils se sentent impuissants, mis à l’écart, investis d’accusations déraisonnables, effrayés par des discours délirants et des sautes d’humeur non motivées. Toutes leurs tentatives de “remonter le moral” de l’autre avec des phrases de bon sens ou avec des incitations soutenues échouent lamentablement, alimentant la spirale de l’impuissance.

Les difficultés du partenaire ? Dépression amoureuse chez un homme ?

L’impact d’une dépression grave est déstabilisant pour toute personne qui y est confrontée, car toute tentative de l’affecter activement est fatalement condamnée à l’échec et mat. Mais les personnes impliquées dans une relation amoureuse vivent deux fois plus de désorientation qu’un ami, un parent ou un frère ou une sœur. Ceux qui aiment voient l’hypothèse sur laquelle toute relation authentiquement amoureuse est basée échouer : sans toi, ma vie n’a aucun sens. Comment est-il possible, demande-t-on avec angoisse à l’amant, que lui, même avec moi à ses côtés, soit si désespéré, si désespéré, si enfermé dans sa coquille ?

Dépression amoureuse chez un homme ? Alors il ne m’aime pas vraiment ! L’idée est forte.

Ainsi, le camarade perd la foi en la réciprocité. La dépression donne lieu à ce malentendu : si tu t’éloignes, si tu m’exclus de ta vie, cela signifie que je ne suis pas assez bien pour toi. De cette façon, il arrive malheureusement que ceux qui souffrent du soi-disant ” mal noir “, déjà accablé par son poids, soient laissés pour compte, parce qu’ils ne sont pas en mesure de transmettre à leur partenaire un sentiment de sécurité et de stabilité émotionnelle.

Ou bien il n’est pas abandonné mais on lui reproche sans cesse de ne plus être ce qu’il était avant, ou ce qu’il semblait être, ou ce qu’il était censé être. Cela arrive dans de nombreuses familles : le conjoint reste mais est accusé d’agression permanente, de ressentiment pour des attentes déçues. Alors il essaie de changer l’autre, il ne l’accepte pas, il veut le guérir, le soigner.

Dépression amoureuse chez un homme ? Fureur thérapeutique ou simple acceptation ?

Rien n’est plus dangereux en amour que “Je vais te sauver”. La fureur thérapeutique du partenaire cache toujours une non acceptation, un non vouloir tenir compte de la diversité angulaire et inassimilable de l’autre, conférée dans ces cas par le malaise psychique. Une fragilité qui souvent ne peut pas être éliminée, qui peut certainement être guérie, améliorée, soumise à des franchissements mais non effacée dans une utopique “restitutio ad integrum”.

Il y a des situations qui vont vers des rémissions, même longues, mais les rechutes ne peuvent pas être exclues. La dépression, qui attaque le psychisme, habite un territoire qui ne peut être défini ” tout court ” comme une maladie, mais qui ne peut non plus être défini comme une simple façon d’être parmi d’autres. Il existe de nombreux types de dépression, certaines mystérieusement “endogènes”, d’autres “réactives” aux facteurs de stress, d’autres encore liées à une attitude de renoncement existentiel.

Les cas les plus chanceux sont ceux où le partenaire est capable de comprendre que le rejet n’est pas un vrai rejet, même lorsqu’il semble se radicaliser en une impénétrabilité presque totale. Dans ces situations, la capacité d’aimer est maximale, car elle est désintéressée, elle se dépouille de toute attente et accepte l’existence de l’autre pour ce qu’il est, même dans son imperfection la plus douloureuse et la plus mortifiante. Le véritable amour peut accepter l’impensable, il peut tout supporter. Sans s’asphyxier avec des attentes de guérison ou de sacrifice ostentatoire. Il embrasse l’autre comme une créature particulière et unique, même si sa structure est minée par la souffrance mentale. Il y a toujours une partie saine, l’âme, la personne, l’être (vous pouvez l’appeler comme vous voulez) qui est et reste autre que les agressions qu’elle subit.

Dépression amoureuse chez un homme ? Ils aiment vraiment !

Des amours comme celles-ci existent, elles se voient encore dans leur rareté et peuvent être un exemple pour ceux qui entrent en crise, pour ceux qui ne reconnaissent plus le visage de l’être aimé. Ce n’est ni la culture ni la connaissance des troubles mentaux qui font la différence. Bien sûr, ce sont des choses utiles. Mais ce qui permet de rester dans la tempête qui s’abat inévitablement sur le lien, c’est la volonté de tout accepter, d’aimer sans conditions.

Celui qui a reçu le don de l’amour inconditionnel est peut-être celui qui est le mieux à même de jongler avec les situations les plus complexes sans les alourdir et les dramatiser davantage. Sa confiance en soi ne dépend pas de ce que l’autre dit ou fait, elle tient bon malgré les blessures inévitables infligées par son compagnon qui a plongé dans le tourbillon de la tristesse la plus profonde. Mais quelque chose peut aussi être appris par les autres, les plus insécurisés.

Il est clair que vivre à côté de quelqu’un qui touche les sommets de la souffrance mentale produit à son tour de la douleur. Mais en l’absorbant et en la laissant couler vous pouvez, tout en gardant un détachement et une conscience de votre individualité, la juste lucidité pour y faire face courageusement. La souffrance n’est pas niée mais elle n’enlève pas tout, elle laisse place à l’espoir.

Quand le déni et la demande s’entremêlent ! Dépression amoureuse chez un homme ? Que faire ?

Si la personne déprimée souffre précisément de l’éclipse d’espoir, sa survie dans le couple est d’une grande aide pour traverser l’état de deuil. Mais la guérison ne sera pas du tout entre ses mains, elle sera entre les mains d’un professionnel (que ce soit un psychothérapeute ou un psychiatre) pleinement conscient de ce à quoi un partenaire ou un ami échappe souvent : la mélancolie implique une très forte contradiction.

D’une part, il donne lieu à un rejet clair de la relation, d’autre part, il affine des antennes très sensibles et capte le moindre signe de fatigue dans l’autre. Même lorsque les visages sont fermés au regard des autres, cela ne signifie pas qu’ils ne perçoivent pas, qu’ils ne perçoivent pas. Qu’ils ne ressentent pas de façon aiguë la disponibilité humaine radicale de l’interlocuteur ou son absence désolante.

La dépression échappe aux échanges interpersonnels mais en même temps elle est dévorée par la poignante nostalgie de la communication perdue. Dans la fermeture absolue, il reste un espace ouvert à l’espoir, et tout thérapeute suffisamment expérimenté le sait. Il sait qu’il ne peut pas franchir certaines limites, mais il sait que le silence et la véritable écoute, le simple fait d’être là, ont une faible résonance même chez le patient le plus renfermé (ce qui est souvent confirmé par les récits lorsque la dépression disparaît).
Limites et possibilités thérapeutiques

Les outils techniques utilisés par la psychothérapie et la psychiatrie ont des limites, étant donné la complexité du sujet qu’ils tentent de traiter. Mais un thérapeute qui en est conscient peut d’autant plus offrir ce qui ne peut jamais manquer, à savoir la solidarité humaine et la volonté d’écouter et de comprendre.

La conscience de la persistance de l’humanité et de la sensibilité dans le sujet le plus désespéré et le plus fermé de son monde, le besoin de communiquer qui s’agite derrière le mutisme et la pétrification de la parole peut alors être une boussole pour tous ceux qui sont confrontés aux métamorphoses incompréhensibles de leurs proches.

Parfois, quelques conversations avec un thérapeute suffisent à éclairer certaines dynamiques et à leur donner un sens. Ensuite, les ressentiments, les déceptions et même les efforts directs pour modifier le partenaire peuvent être laissés de côté pour faire place à une présence qui ne demande rien et n’offre rien. Qui dépasse donc ce circuit de donner et de recevoir qui pollue tant les relations entre les personnes et les réduit à de purs renforcements du narcissisme individuel.

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Dépression amoureuse en couple ?

Dépression et relation de couple

Selon les experts, la dépression et la relation sont étroitement liées.

Dépression amoureuse en couple ? En substance, le couple est un système complexe. D’une part, les difficultés et les désaccords conjugaux affectent l’état émotionnel de l’individu, d’autre part, l’état émotionnel de l’individu a des conséquences pour l’ensemble du couple. Essentiellement, un cercle vicieux se crée, dans lequel les malaises conjugaux et personnels se renforcent mutuellement. La réciprocité rend la résolution de l’inconfort de plus en plus complexe.

Dépression amoureuse en couple ?

Généralement, la dépression au sein du couple se manifeste par le fait qu’un membre ressent le malaise et que l’autre en souffre. Ce n’est cependant pas la règle, il peut arriver que les deux partagent l’état de malaise.

Il y a des différences entre les sexes en ce qui concerne le moment de l’apparition de l’inconfort. Les femmes ressentent davantage le malaise pendant la relation, tandis que pour les hommes, le moment le plus critique se situe souvent après la séparation.

Les raisons semblent cependant être les mêmes pour les deux sexes : difficultés de communication, désaccord, manque de soutien mutuel, hostilité…

Le partenaire des dépressifs

Puisque nous avons imaginé le couple comme une seule entité, concentrons-nous maintenant sur qui est aux côtés de la personne dépressive. Comment se sent le partenaire de la personne déprimée ?

Il est possible qu’il ressente de la colère. En fait, il n’est pas rare que la personne d’humeur dépressive se fie entièrement à l’autre, qui doit s’en occuper entièrement. C’est de la sollicitude forcée, avec toutes les responsabilités qui en découlent.

Dépression amoureuse en couple ? Au contraire, il peut y avoir des sentiments d’affection et d’empathie pour la souffrance du conjoint.

Enfin, le partenaire en bonne santé peut se sentir responsable de ce qui arrive à son partenaire. Dans ce cas, il y aura des sentiments de culpabilité et d’anxiété.

Dans tous les cas, l’état de malaise du partenaire modifie l’équilibre du couple, créant ainsi les conditions d’une relation déséquilibrée. L’un devient indispensable pour l’autre, qui à son tour ne se sent pas plus complet sans le premier.

Deux rôles distincts sont délimités : l’un consacre toute l’énergie nécessaire pour faire face aux nombreuses demandes d’aide du partenaire. Ce dernier assume le rôle d’un patient ayant besoin de soins, avec une attitude obstinément négative et une faible estime de soi.

Le résultat est que le couple se retrouve à vivre une négativité perpétuelle, les interactions sont réduites à des échanges insatisfaisants et les carences émotionnelles prennent le dessus.

Dépression amoureuse en couple ? Thérapie de couple ?

Dans ces cas-là, il est très utile d’entreprendre une thérapie de couple. Cela aide le couple à se libérer des contraintes du malaise, travaille sur la communication et la relation et réactive les composantes relationnelles longtemps abandonnées.

Souvent, les causes du malaise se trouvent dans des croyances et des attentes spécifiques à l’égard de soi-même, de l’autre et de la relation, qui entretiennent la négativité. Les conjoints sont enclins à utiliser des modèles d’interaction répétitifs mais inconscients qui bloquent le processus de croissance du couple. A ce stade, il est difficile de surmonter le lourd obstacle auquel ils sont confrontés. En enquêtant sur la dynamique du couple, le thérapeute, expert en relations conjugales, offre aux deux partenaires les outils pour sortir de l’impasse, par un cheminement qui vise la prise de conscience et le partage.

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Dépression amoureuse grave

On pense aux ” fautes ” ou aux défauts respectifs de chacun, à ce qu’il faut faire pour surmonter ce moment terrible, triste et angoissant dans le pire des cas.
Si l’un subit aussi la décision de l’autre ou de l’autre, on se croit impuissant, et on se sent vaincu, sans énergie ni force suffisante pour réagir.

Dépression amoureuse grave ? LA DÉPRESSION PAR AMOUR : LES SYMPTÔMES

Un regard perdu dans le vide, le sentiment que rien ne sera plus comme avant, une tristesse constante, des pleurs faciles, de l’apathie… l’état d’esprit de ceux qui souffrent par amour est celui-ci et toutes ces expériences sont perçues comme si cela n’arrivait pas vraiment à quelqu’un d’autre en dehors de nous, comme si personne n’avait jamais traversé ces tourments et que personne ne pouvait vraiment comprendre cette condition. Pour cette raison, on dit que les expériences d’abandon font que l’on se sent profondément seul, dans une sorte de vide, même si, rationnellement, on est conscient que beaucoup de personnes souffrent et ont souffert à leur manière après la fin d’une relation.

Dépression amoureuse grave ? Qu’est-ce qui peut aider ceux qui vivent ce genre de dépression momentanée à se relever et à surmonter rapidement ces terribles sentiments qui sont communs à tant de gens ?

Il est naturel de penser à faire, car nous sommes tous habitués à agir quand nous souffrons : si j’ai mal à la tête je prends un anti-douleur, si une épine entre dans mon pied je l’enlève au plus vite, si j’ai froid je me couvre, quand j’ai mal au ventre je ne mange pas…
Dépression amoureuse grave ? Donc, si quelque chose me rend malade, je dois agir rapidement pour éliminer la source de ma maladie et c’est en effet juste et sain. Si nous ne faisions pas cela, nous serions des gens déviants qui aiment souffrir, ce qui nous exposerait à de nombreux dangers pour notre santé et notre survie.

Mais si quelqu’un nous cause de la souffrance et de la douleur, l’approche devra être différente. Nous ne trouverons pas la solution dans la pharmacie et nous ne pouvons certainement pas éliminer la cause de notre douleur, bien que dans certains esprits malades, cela serait malheureusement considéré comme possible. La question continue donc d’être : que pouvons-nous faire pour accepter la situation et surmonter ce moment de profonde tristesse ?

Dépression amoureuse grave ? SORTIR DE LA DÉPRESSION DE L’AMOUR

Nous devons donner une réponse claire dès maintenant : rien ne peut être fait pour changer les choses. Si cette personne a vraiment décidé qu’elle ne veut plus être avec nous, la première chose à faire est de l’accepter. L’acceptation, aussi douloureuse soit-elle, est la première chose à faire. On pourrait aussi dire que la première chose à ” faire ” est d’éviter de changer les choses, d’éviter d’insister, d’essayer de convaincre ou de pousser cette personne à changer d’avis.

Insister, essayer d’amener la personne qui ne veut pas revenir sur ses pas serait une perte de temps, d’énergie et de force d’une manière absolument inutile. Si la personne qui ne veut plus nous voir voulait vraiment changer d’avis et retrouver sa relation, elle ne le ferait certainement pas parce que nous l’avons poursuivie. En fait, ils le feraient parce qu’ils ont repensé à de nombreux aspects de la relation et il nous appartiendra donc de décider s’il faut leur donner d’autres possibilités. Mais si cela n’arrive jamais, nous n’aurons pas gaspillé nos énergies de façon inutile.

LA DÉCEPTION DE L’AMOUR : COMMENT S’EN SORTIR Dépression amoureuse grave ?

Et maintenant ? On change ! Après avoir accepté de ne rien faire envers ceux qui nous ont quittés, nous devrons remettre nos habitudes de vie à zéro. Oh oui, parce que quand une histoire se termine, beaucoup de choses changent : la façon d’être avec les autres change, la façon de se retrouver, les lieux, les temps, même nos goûts changent… Maintenant nous aurons le temps de faire de nouvelles expériences et nous aurons plus de temps pour nous. De nouvelles activités, de nouvelles expériences, de nouveaux hobbies, de nouveaux flirts, de nouvelles amitiés sont les bienvenus.

Nous accueillons aussi de nouveaux regards, de nouveaux voyages dans des endroits où nous n’allions pas auparavant parce que notre partenaire ne les aimait pas, ou de nouvelles décisions comme prendre soin d’un animal chiot ou être traîné par un ami dans une expérience ou une activité que nous n’aurions jamais choisie auparavant. Les nouvelles choses sont une nouvelle énergie et apportent une nouvelle vitalité et sont donc importantes pour se remettre des déceptions de la vie.

Dépression amoureuse grave ? APPRENDRE À DEMANDER DE L’AIDE

Même si dans certains moments nous nous sentons seuls au monde, ce n’est jamais vraiment comme ça : nous avons autour de nous des amis et des parents qui méritent notre confiance et avec lesquels nous pouvons nous ouvrir librement, sans avoir honte de demander de l’aide, de la compagnie ou un moment d’écoute. Ceux qui nous aiment vraiment resteront avec nous aussi pour nous aider à réfléchir sur les défauts ou les erreurs commises dans la relation qui vient de se terminer, qui ont pu affecter ou peuvent encore affecter les choix sentimentaux futurs. Aucune expérience, même si elle est terminée, n’est inutile. Chaque événement sert à grandir et est précieux pour comprendre le passé, le présent et mieux vivre le futur.

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Problème dépression au travail

 

Si la lutte contre la dépression exige beaucoup d’énergie physique et mentale, la maîtriser au travail pourrait être encore plus compliqué et fatigant. Oui, parce que les symptômes – comme la difficulté à se concentrer, les sentiments d’anxiété et d’étouffement, la perception d’être submergé par les tâches à accomplir et la certitude d’avoir une panne – affectent la qualité de notre travail et mettent également notre carrière en danger. Certaines personnes confondent ces signaux avec le “simple” stress au travail, mais la sonnette d’alarme est claire : si nous sommes victimes même une fois à la maison et que nous constatons qu’elles interfèrent avec d’autres aspects de notre vie privée, nous montrons des signes clairs de dépression et d’anxiété – deux problèmes très courants qui ont tendance (malheureusement) à se retrouver les bras croisés.

Comment trouver des alliés au travail ?

Globalement, la situation ne s’améliore pas : selon les données de l’OMS, plus de 300 millions de personnes sont touchées, soit 4,4% de la population totale. Bref, une véritable urgence à laquelle il faut faire face par tous les moyens possibles. Pouvoir travailler au mieux malgré les symptômes de la dépression est une priorité pour nous tous .

1. Parlez à vos supérieurs
La plupart d’entre nous vont se tordre le nez à l’idée, d’autres vont penser qu’ils vont se tirer une balle dans le pied, d’autres encore ont peur d’être perçus comme faibles et incapables de faire de leur mieux. La vérité, c’est que parler clairement aide souvent plus que nous ne le pensons. Avons-nous de bonnes relations avec nos supérieurs ? Ensuite, nous devrions leur dire ce qui nous arrive afin que nous puissions créer un environnement de travail qui fonctionne pour nous. Le Dr Nikole Benders-Hadi, psychiatre américain, suggère de trouver le temps et le calme pour étudier avec les dirigeants certaines stratégies afin d’améliorer la situation actuelle pour que nous puissions mieux travailler : certains peuvent avoir besoin d’une journée plus structurée, d’autres peuvent avoir besoin de pauses plus espacées ou être capables de travailler à distance quelques jours par semaine. Bref, nous devrions essayer d’encadrer nos symptômes pour comprendre la meilleure façon de les gérer avec l’appui des employeurs.

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LA SOLUTION A LA DEPRESSION APRES LA PERTE D’UN PROCHE

Dans la vie, malgré le milieu d’où l’on vient, nous avons tous une histoire, un passé, nous avons tous traversé des tempêtes, des orages, nous avons tous eu cette impression d’avoir échoué, cette impression de ne plus avoir la force d’avancer, ce sentiment d’être bloqué.

Oui et c’est le cas de Mélissa, une jeune fille qui voit sa vie basculé suite à la mort de son père, son mentor, son héros, sa force, elle a été déstabilisée, inconsolable malgré la présence de sa mère et ses frères. Mélissa était si proche de son père que les deux avaient créé des liens très forts. Je dirais même trop au point où elle ne pouvait pas se remettre de cette perte qui occasionna donc sa chute aux enfers. Elle a fait une dépression et a fini par se réfugier dans l’alcool.

Pour sa mère c’était insupportable, car autrefois, Mélissa représentait l’avenir de la famille, une fille brillante aux études et pleine d’espoir avec un futur prometteur. C’est donc elle qui me contacta en premier pour essayer de sortir sa fille de cette impasse. En me servant de mes dons de voyance et de médiumnité, j’ai d’abord redonné de l’espoir à la mère car je vois une amélioration dans leur vie future. Ensuite elle m’a fait rentrer en contact avec la concernée, je dois ici avouer que ce n’était pas du tout facile car souvent ivre et excentrique. Mais ma voyance a eu raison sur elle car en entendant sa voix, j’ai ressenti des choses, des vibrations qui m’ont permis de pénétrer son univers astral afin de la ramener sur terre. J’ai conseillé à sa mère des bains spécifiques pour ce genre de cas et le résultat n’a pas trop tardé à se manifester. J’ai vu que c’est une battante qui a juste fait son deuil à sa manière.

Mélissa a repris sa vie en main, aujourd’hui c’est une mère de 2 magnifiques petits garçons et une épouse comblée. Elle s’est fait un très bon chemin professionnel et avec le soutien de son mari, elle

vient de temps en temps en aide à sa maman. Je suis très fier d’elle, fier de ses efforts et je remercie le bon Dieu de ce don précieux ! Vous aussi vous pouvez regagner votre chemin, il vous suffit de faire le premier pas et d’y croire !