Plus de 150000 hommes sont confrontés à l’impuissance en Suisse. Pour résoudre le problème il y a la voie de la pharmacothérapie, des injections locales de vasodilatateurs et enfin la voie chirurgicale, à travers l’implantation d’une prothèse pénienne. Cette dernière n’est suivie que par une minorité de cas. En fait, environ 300 implants sont mis en place chaque année dans notre pays. Les hommes sont encore découragés par la peur de l’opération et de la performance obtenue une fois rentrés chez eux.

Pourquoi l’impuissance ?

Selon les experts, il y a encore beaucoup de méfiance envers les prothèses, un obstacle psychologique que l’homme manifeste depuis la première visite chez l’urologue. “Le patient a peur qu’un corps étranger puisse altérer sa sexualité ou qu’appuyer sur un bouton avant l’acte sexuel crée trop d’embarras avec son partenaire “.

“Cependant ceux qui sont ensuite soumis à l’intervention en comprennent les avantages. Aujourd’hui, en effet, il est possible de passer rapidement d’une rigidité maximale au repos en touchant le bouton de la prothèse qui reste parfaitement invisible. En général, selon les experts, les prothèses péniennes garantissent la rigidité et le confort et donc l’optimisation de la qualité de vie.

La chirurgie ne laisse aucune cicatrice, est peu invasive et le risque de rejet et d’infection est minime. De plus, les prothèses hydrauliques actuellement utilisées sont capables d’absorber l’antibiotique choisi par le spécialiste en fonction des intolérances éventuelles du patient.

Un article écrit par Stella

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