Archives 2018

Consultation magie blanche

Consultation Magie

A l’exception, peut-être, du légendaire enchanteur Merlin, que certains croient être un barde gallois du vie siècle, mais dont les exploits à la cour du roi Arthur sont une pure invention littéraire, personne n’incarne aussi bien l’idée populaire du magicien que Faust, l’homme qui vend son âme au diable en échange de la connaissance et du pouvoir. La légende a été enjolivée par d’innombrables conteurs, mais il y eut effectivement un magicien du nom de Faust, Johann ou Georg, on ne sait trop, né à la fin du xve siècle, et de fort mauvaise réputation à ce qu’on en dit. Le 20 août 1507, le physicien Johannes Tritheim en touche un mot à son collègue Johannes Virdung, professeur d’astrologie à l’université de Heidelberg : « L’homme au sujet duquel vous m’avez écrit, qui a l’audace de se dire prince des nécromanciens, est un vagabond, un hâbleur et un co-quin. » Les archives de la ville d’Ingolstadt mentionnent aussi ce personnage peu recommandable, en date du 17 juin 1528: « Un homme qui se fait appeler docteur Georg Faust de Heidelberg a été éconduit de la ville et a promis de ne pas en tirer vengeance sur les autorités ni de les tourner en ridicule. » Ces textes ne nous disent pas pourquoi Faust était tenu en si piètre estime, mais des documents plus tardifs le laissent entendre. Une fois, par exemple, il aurait menacé un homme d’Église de faire s’envoler toutes les casseroles de sa cuisine par la cheminée. Mais apparemment, c’est surtout dans les tavernes qu’il faisait ses tours de magie : il pouvait, racontait-on, abreuver de longues heures durant ses amis en perçant des trous dans la table, d’où jaillissaient toutes sortes de bons vins. La plupart des anecdotes faustiennes sentent le soufre du démon. Selon la rumeur, Faust devait ses connaissances et son pouvoir à un pacte conclu avec le diable. Martin Luther, son contemporain, croyait que c’était vrai et Faust ne le nia d’ailleurs jamais. Certains indices portent à croire, cependant, qu’il en avait lui-même lancé le bruit, espérant en tirer quelque gain personnel. Même si Faust est un personnage passablement douteux, il y a quelque chose de profondément admirable dans sa soif de connaissance. Comme le dit Colin Wilson dans l’Occulte, « Faust peut être considéré comme le plus grand drame symbolique de l’Occident, le drame du rationaliste suffocant dans la chambre poussiéreuse de sa conscience personnelle, pris dans le cercle vicieux de l’ennui et de la futilité… Ce qui pousse Faust vers l’occulte, c’est son désir instinctif de croire à des forces inconnues, à des interprétations plus larges qui peuvent briser le circuit. » Le flou qui entoure le Faust historique est peut-être ce qui en fait le charme. Deux autres personnages, à peu près contemporains de lui, laissent moins .de place à l’imagination. Erudits-magiciens de la Renaissance, pieux et respectables, ce sont Cornelius Agrippa, né à Cologne en 1486, et John Dee, un Anglais, né en 1527. Agrippa, dont le vrai nom était Heinrich Cornelis, fut un génie malchanceux d’une célébrité plus que passagère. Jeune étudiant à l’université de Cologne, il avait étudié les néo-platoniciens, surtout l’oeuvre de Proclus, et découvert la cabale. De ces deux grandes sources, Agrippa tira le thème qui allait inspirer l’oeuvre de sa vie : la possibilité d’unir la conscience humaine avec l’Un, la source divine au centre de toute chose. A 20 ans, Agrippa était secrétaire de Maximilien, empereur du Saint Empire romain germanique, qui apparemment l’envoya à Paris comme espion. Agrippa y poursuivit ses études à l’université de la Sorbonne, mais fut bientôt mêlé à une sombre intrigue italienne qui tourna mal. Après quelques pérégrinations en Europe, il s’installa à l’université de Dôle, en France. Il s’y fit une réputation en donnant des cours sur la cabale et devint docteur en théologie. Son intérêt non dissimulé pour la cabale, en particulier pour la science des nombres, finit par lui attirer les foudres de l’orthodoxie et les pressions du clergé obligèrent sa protectrice, Marguerite de Gand, fille de Maximilien, à lui retirer son appui. Ce fut à Dôle qu’Agrippa, alors âgé de 24 ans, écrivit son oeuvre maîtresse sur la magie, qui ne sera pourtant publiée que 20 ans plus tard. De la philosophie occulte est un traité en trois volumes que l’on considère aujourd’hui encore comme un des principaux ouvrages sur la question. Agrippa y déclare que la magie n’a rien à voir avec le démon ou la sorcellerie, mais qu’elle tient aux dons secrets de l’esprit. « Le sens vrai de la magie et de l’alchimie se trouve ailleurs que dans les livres… De là les inutiles efforts de ceux qui cherchent sans discernement à pénétrer les secrets de la nature et qui, s’ignorant eux-mêmes, cherchent en dehors ce qu’ils ont en eux… Ces prodiges, annoncés avec tant de hardiesse par les mathématiciens, magiciens, alchimistes et nécromanciens, il dépend de nous de les accomplir, et nous le pouvons sans crime, sans offenser ni Dieu ni la religion. C’est en nous-mêmes qu’est le magicien. » Heinrich Cornelius Agrippa postule la suprématie de l’esprit sur le corps et anticipe indirectement sur la psychia-
trie moderne en affirmant, par exemple, que « la fantaisie, ou puissance de l’imagination, exerce son empire sur les passions de l’âme, quand celles-ci sont liées aux appréhen-sions sensuelles… Car l’imagination, de son propre mouve-ment, et selon la diversité des passions, change d’abord le corps physique d’une transmutation sensible, en changeant les accidents dans le corps et en déplaçant l’esprit vers le haut ou vers le bas, vers l’intérieur ou l’extérieur. » Il est difficile de juger dans quelle mesure Agrippa a pu utiliser ses intuitions — de savoir, en somme, s’il a pratiqué une sorte de magie psychique fondée sur ce qu’il savait du fonctionnement de l’esprit. Les anecdotes qui nous ont été transmises ont un faux air comico-faustien. La plus célèbre nous conte l’histoire d’un malheureux étudiant qui s’était glissé en cachette dans le cabinet d’Agrippa en l’absence du maître. Alors qu’il lisait le livre des incantations d’Agrippa, il se trouva tout à coup nez à nez avec un démon qu’il avait involontairement invoqué. Furieux d’avoir été dérangé pour rien, le démon étrangla le jeune homme. Revenu chez lui, Agrippa découvrit le cadavre. Il ordonna au démon de ranimer l’étudiant assez longtemps pour qu’on puisse le ramener sur la place du marché où il s’effondrerait, bien mort cette fois, ce qui simplifierait quand même les choses. Le démon s’exécuta, mais l’affaire fit cependant tout un scandale. Vers la fin de ses jours, Agrippa abandonna la magie au profit de la théologie. En 1530, il publia De la Vanité des Sciences et des Arts, oeuvre désespérée où il nous dit que la quête du savoir est futile. Choisissant on ne peut plus mal son moment, il publia presque à la même époque (1531) ses écrits de jeunesse où il parle avec enthousiasme de la magie et de ses pouvoirs. Les contradictions des deux livres firent sonner faux le premier. Après avoir erré ça et là durant les quelques années qui lui restaient à vivre, il mourut avant d’atteindre la cinquantaine, prématurément usé et discrédité par ses pairs.


Conseils aux femmes concernant les hommes natifs des Gémeaux

Monsieur Gémeaux est avant tout un être actif, parfois agité, qui aime communiquer, c’est-à-dire se trouver en contact avec beau-coup de personnes et transmettre de l’une à l’autre diverses informations pouvant aller jusqu’aux commérages. Il parle, il écrit, il dit, il déclare. On vous dira tout de suite qu’il est avant tout un être versatile mais cherchant comme un voyant à tout prévoir.

C’est que son esprit est toujours en quête d’impressions nouvelles. Il est capable d’exercer une foule de métiers ; il sait qu’il doit se spécialiser et il accepte de le faire, mais après de nombreuses expériences. Il reste très près de son enfance et il entretiendra avec sa mère, tant qu’elle vivra, des relations très étroites et très suivies : il est inutile de tenter de l’en éloigner ; c’est lui qui s’éloignerait de vous. Il faut faire très attention à ce que l’on dit à un amoureux Gémeaux, car il est, sur le plan affectif, très susceptible et, si on le fâche, il s’en va. Terminé… Inutile, si vous vivez avec un Gémeaux, de tenter de le placer devant un problème sérieux, grave, inquiétant. Il n’aime pas être inquiet. Il répond : « Ce n’est rien, oubliez-le ! » et il oubliera. Il est d’une parfaite aisance dans ses premiers mots et dans ses premiers moments, alors qu’habituellement les jeunes gens se sentent gauches et se montrent maladroits. Il faut donc que la jeune fille sache apprécier, et qu’elle le lui laisse deviner, cette adresse, cet esprit, cette facilité de communication. Il faut qu’elle réponde aux premières passes de cette épée légère et brillante des phrases à double sens sans lourdeur, des rires fins et des allusions moqueuses. Inutile de donner du poids à ces propos qui correspondent exacte-ment à ce qu’on appelle le marivaudage. Pour conquérir un monsieur Gémeaux, mesdames, il faut nécessairement entrer dans son jeu, mais avec une légèreté aérienne, car l’Air est son élément. Pour conduire monsieur Gémeaux au mariage, il faudra aussi connaître sa mère. La mère du Gémeaux ne sera jamais étrangère à sa vie et à sa vie familiale, surtout. Il faut qu’elle vous accepte, si vous voulez tenter votre chance auprès de son fils. Et, pour qu’elle vous conseille en fille bien-aimée, rien ne sera négligé de votre part, mais vous ne ferez rien de trop appuyé non plus.

Si, au cours de votre manœuvre diplomatique et amoureuse, vous venez à savoir que vous n’êtes pas la seule à bénéficier de ses attentions, ne faites pas de reproches à monsieur Gémeaux : il disparaîtrait aussitôt de votre vie et, même s’il en avait de la peine, il ne reviendrait plus vers vous, appliquant une fois de plus sa devise devant les incidents désobligeants de la vie : « Ce n’est rien, oublions ! » Vous voyez que vous auriez tout à perdre dans un éclat.


Conseils aux hommes concernant les femmes natives des Gémeaux

On admet généralement que la représentation du signe des Gémeaux par deux enfants réunis signifie que les natifs de cette période de l’année ont une double personnalité. Chez la femme des Gémeaux, cette double personnalité se manifeste surtout au plan affectif et au sujet des problèmes du cœur. On peut considérer que l’un des jumeaux personnifie l’apparence extérieure de la femme, une apparence délibérément voulue et adoptée pour créer une image réservée aux autres, tous les autres, indépendamment de l’image vraie de l’être. L’autre enfant représenté dans le symbole du signe est alors le moi profond, l’être vrai, tel qu’il existe, pense, vit, aime mais qu’une grande réserve, une pudeur irrésistible empêchent de montrer ses sentiments, même aux êtres les plus proches.

Le moi profond n’apparaît que dans de très brefs instants de bouleversement moral ou de relaxation psychique. Immédiatement après l’avoir laissé se manifester, le Gémeaux reprend son ironie coutumière pour se railler lui-même. Cela est plus remarquable chez les femmes Gémeaux que chez les hommes pour la simple raison que les femmes, en général, se confient plus facilement que les hommes. La dualité des Gémeaux s’exprime encore par deux tendances qui divisent la femme : une partie de son âme reste très attachée à son enfance, même si elle s’est trouvée en contradiction avec ses parents ; l’autre est tournée vers l’avenir et forge des projets. Mais, toujours, il y a un moi raisonnable et froid qui observe méthodiquement les activités affectives du second moi passionné. Les hommes qui rencontrent sur leur route une femme Gémeaux doivent avoir cette dualité présente à l’esprit pour la comprendre et pour en saisir tout le charme et toute la réelle valeur. Sachez que, dans cet exercice périlleux qui consiste à la fois à aimer et à se regarder aimer, madame Gémeaux est souvent plus amoureuse de l’amour même que de l’objet de cet amour. C’est un peu compliqué, mais très près de la vérité.

Que ferez-vous ?

Vous vous contenterez de vous laisser aimer de cette façon et vous veillerez à vous renouveler souvent pour que votre partenaire, qui est réellement volage, ne vous quitte pas  dans la mesure où vous êtes désireux de la garder. Si vous voulez avoir de grandes chances de vous marier à une demoiselle Gémeaux, sachez qu’elle préfère se lier à un homme qui pourrait être son père, ou presque, qu’à un homme de son âge. Lorsqu’elle se marie, la native des Gémeaux oublie toutes ses expériences précédentes ; bien qu’elle ait donné à chacune de ses aventures une assez grande importance et qu’elle ait vécu ses diverses émotions avec une remarquable intensité, elle utilisera une formule très courante chez les Gémeaux : « Ce n’était rien, c’est oublié. »

 


Gémeaux et amour

Le signe des Gémeaux est extrêmement intellectualisé ; il ne tend que d’une manière très relative vers la sexualité, lui préférant une
conception intellectuelle, mentale, cérébrale de l’amour. A partir de la notion d’adolescence, voyons comment se développe, chez le natif des Gémeaux, le sentiment amoureux et l’appel du sexe.

L’attitude du Gémeaux devant l’amour peut n’être d’abord qu’une réaction de pure curiosité. C’est ce sentiment de curiosité qui fait du Gémeaux un grand amateur de flirt. Pour lui, seule l’émotion vive est intéressante et cette émotion n’existe que dans les commencements d’une aventure amoureuse.
Les joies viennent les premières, et puis les peines, et ensuite l’oubli des unes et des autres. Il n’y a plus qu’à recommencer. Dans la dualité du signe, on a pu trouver deux types de natifs :

  1. Ceux qui vont se livrer à ce jeu de la chasse à l’émotion neuve
  2. Ceux qui ont une grande crainte de ce genre de vie, qui se replient sur eux-mêmes et qui refusent l’amour parce qu’il peut les faire souffrir.

Le Gémeaux, qu’il appartienne à l’un ou à l’autre de ces types, est toujours un instable et un hésitant dans le domaine amoureux. Il reste toujours craintif, que ce soit dans l’un ou dans l’autre cas. Le Gémeaux peut se livrer d’autant plus facilement à cette chasse à l’aventure qu’il est essentiellement mobile et adaptable, qu’il a donc juste les qualités requises pour rendre faciles les nouveaux contacts.
Aimer, pour un Gémeaux, c’est suivre la méthode des petites collégiennes qui sont amoureuses par deux d’un professeur, homme ou femme, peu leur importe, l’essentiel n’étant pas dans le problème sexuel. Cependant, chez les adolescentes il n’est question que d’amour platonique, même s’il prend les formes de la passion. Chez l’adulte, la situation est moins compréhensible parce que le monde des adultes ne veut pas comprendre et souvent voit des complications là où le Gémeaux ne voit qu’une pure simplicité. Ce sont des objections traditionnelles qui peuvent se périmer d’un jour à l’autre, si l’on considère les tentatives de vie communautaire au sein des-quelles elles trouvaient leur place. Remarquons au passage que ce n’est pas le problème passionnel qui a fait échouer les petites communautés mixtes, mais d’autres écueils, comme par exemple la provenance des ressources, le partage des tâches. Le Gémeaux amoureux s’adapte volontiers au rythme de l’autre, partage tout naturellement ses intérêts et ses joies, ses problèmes et ses travaux. Il entre complètement dans sa vie et tend à devenir son double, adoptant ses goûts et ses habitudes. Il y ajoute facilement les mêmes préoccupations intellectuelles, ce qui sert de prétexte à des rencontres où le sentiment amoureux reste sous-jacent et limité comme le souhaite ce grand enfant qu’il est encore —, les autres occupations, le travail que l’on partage, demeurant seuls en évidence. Il va sans dire que ces traits de caractère ne concernent que les Gémeaux à l’état pur et que les types mixtes, à cause de l’influence d’un ascendant, peuvent éventuellement réagir d’une manière très différente ; ils peuvent aussi évoluer et montrer des changements de caractère à différentes époques de leur vie ou de leur destin.

 


Consultation Yi King

Nous vous proposons des consultations Yi King

Le Yi-king est un livre d’oracles que l’on consulte pour obtenir un conseil, une réponse à une question ; en Chine on l’étudie depuis des milliers d’années. Il y a trois siècles, des missionnaires jésuites le rapportèrent en Europe où il attira l’attention de quelques personnes éclairées, dont Leibnitz, le philosophe et savant allemand qui découvrit le calcul différentiel. De nos jours un très grand nombre de Chinois consultent toujours le Yi-king lorsqu’ils sont perplexes. Ils trouvent toujours ses conseils stimulants et utiles en général ; ils considèrent le Yi-king comme une personnalité à part entière, un ami avisé toujours prêt à partager sa sagesse avec ceux qui la recherchent.

Le Yi-king de la Chine ancienne est le plus ancien livre d’oracles du monde. Ces livres servaient à prédire l’avenir, à répondre à des questions, à donner des conseils généraux et particuliers à ceux qui les demandaient. Au fil de l’Histoire nombre de livres ont eu la réputation de trans-mettre une sagesse surnaturelle, même si certains d’entre eux n’étaient pas écrits dans ce but. Par exemple, de la fin de l’Empire romain à la fin du Moyen Age le poème épique de Virgile, l’Enéide, a été utilisé comme livre d’oracles. Un demandeur ouvrait le livre  trois fois au hasard et, les yeux fermés, choisis-sait chaque fois du doigt un vers du poème. Les trois vers ainsi désignés étaient très sérieusement étudiés, pris à la lettre ou interprétés de façon symbolique, pour fournir une réponse à une question donnée.

Au Moyen Age, on se fiait encore tellement à l’Enéide comme source d’oracles que l’on vénérait Virgile, son auteur, comme magicien plutôt que comme poète. Les récits de ses merveilleux pouvoirs occultes circulèrent dans toute l’Europe et sa tombe, à Naples, acquit la réputation d’un emplacement miraculeux où les magiciens se rendirent en pèlerinage. Après la Réforme, la Bible vint à être considérée comme le plus grand des livres d’oracles et des chrétiens sincères et intelligents l’ouvraient au hasard lorsqu’ils cherchaient un guide spirituel pour répondre à leurs perplexités. L’inconvénient d’utiliser ainsi l’Énéide ou la Bible résidait dans le manque de clarté de réponses nécessitant une grande interprétation. Le besoin de livres d’oracles facilement compréhensibles se fit sentir et au siècle dernier plusieurs voyants en rédigèrent. Le plus remarquable d’entre eux fut Le Livre du destin de Napoléon : ouvrage d’utilisation simple qui n’a cessé d’être imprimé en Angleterre depuis les années 1820, même s’il n’a pas vraiment de rapport avec Napoléon. Le Yi-king est au Livre du destin de Napoléon ce que le champagne est au mousseux. Il serait presque impertinent de traiter le Yi-king de livre d’oracles tant il semble vivant et avoir sa personnalité bien à lui. Tant et si bien que nombre de ceux qui l’ont régulièrement consulté en sont venus à ressentir un lien d’amitié entre le livre et eux.

Les origines du Yi-king

Le Yi-king n’est pas seulement le plus ancien livre d’oracles du monde, mais aussi le plus vénéré. On le consulte de Hong Kong à New York, de Singapour à Londres et à Paris, les psychanalystes comme les occultistes tiennent son antique sagesse en grand respect ; parmi certains cultes taoïstes on le révère comme un demi-dieu ; et de nos jours, nombreux sont ceux qui, comme Confucius il y a 2 500 ans, pensent que « si on leur donnait des années de vie supplémentaires ils les consacreraient à l’étude du Yi-king. »

A l’époque où vivait et enseignait Confucius, le « coeur » du Yi-king existait déjà dans une forme similaire à celle qu’utilisent aujourd’hui les voyants. Ce noyau aurait été compilé d’après un matériau beau-coup plus ancien par le roi Wen, qui régna sur la Chine au douzième siècle avant J.-C. Le Yi-king utilisé aujourd’hui comprend non seulement les éléments assemblés par le roi Wen, mais aussi des textes écrits par son fils le duc Chou, ainsi que des commentaires attribués à Confucius et à ses disciples.

Il subsiste aussi des commentaires postérieurs, étudiés par les spécialistes du Yi-king et de la philosophie spirituelle qui s’en dé-gage.
Consultation du Yi-king L’Occidental qui souhaite consulter l’oracle afin d’obtenir son avis sur un problème de sa vie quotidienne trouvera difficile l’utilisation des premiers textes du Yi-king et de leurs commentaires. En effet, à l’époque où ont été rédigés le Yi-king et la plupart de ses commentaires, tous les Chinois ne pouvaient pas le consulter. On le considérait comme un oracle particulièrement sacré ne pouvant être utilisé que par une minorité formée des membres de deux groupes : Le premier groupe comprenait les dirigeants des hautes sphères, les administrateurs et bureaucrates de l’Empire chinois : princes de la Maison impériale, gouverneurs de provinces et de grandes villes, guerriers de haut rang, etc. Le second groupe était formé d’hommes supérieurs : savants, lettrés et philosophes éminents, sages qui consacraient leur vie à la contemplation assidue des vérités éternelles. Inévitablement, les écrits destinés à de telles personnes comprenaient beaucoup de conseils sur les matières les concernant : stratégie et tactique militaires, par exemple. L’avis donné sur de tels sujets par le Yi-king était sans aucun doute d’une grande valeur pour les soldats d’il y a 500 ou 15000 ans ; même pendant la Deuxième Guerre mondiale nombre de généraux japonais consultèrent le Yi-king et ses commentaires et s’inspirèrent de passages comme celui-ci : aucune honte à battre en retraite dans l’intention de consolider ses forces pour l’attaque. » Ceux d’entre nous qui vivent une vie sédentaire, travaillant à l’usine ou dans un bureau, habitent en banlieue ou dans un appartement en ville, ne peuvent appliquer ces conseils à leur situation que s’ils les interprètent de façon symbolique. Cela n’est pas toujours aisé, on peut mal comprendre un tel symbolisme, ou le déformer pour faire dire au Yi-king ce que l’on a envie d’entendre. Autre difficulté : le texte du Yi-king emploie souvent des métaphores et des symboles empruntés à la vie religieuse, politique ou sociale de la Chine d’il y a 3 000 ans. On trouvera ainsi de nombreuses références au chaudron sacrificiel, objet que l’on ne trouve pas communément dans les maisons occidentales, ni même dans celles des Chinois aujourd’hui. De même, dans certaines circonstances l’oracle conseille de faire comme le renard qui marche sur un lac gelé : scène que peu d’entre nous avons jamais vue.

Les étudiants sérieux du Yi-king, qui le consultent régulièrement dans l’une de ses nombreuses traductions, s’habituent rapidement aux symboles et métaphores et sont vite capables de les interpréter aisément. Néanmoins, le symbolisme oriental du texte original et son chatoyant cortège de chaudrons, tigres et renards à queue mouillée, n’auraient pas leur place dans ce livre. Donc les conseils du Yi-king sur la façon de traiter les situations de la vie quotidienne, à propos d’amour, d’argent ou de tout autre chose, seront ex-primés ici d’une façon contemporaine, donc modifiée.
Le temps et le Yi-king Avant de vous expliquer comment maîtriser les techniques nécessaires pour obtenir un conseil de l’oracle, il nous faut considérer un point important sur la nature d’un tel conseil. Contrairement à la plupart des livres d’oracles, le Yi-king ne donne pas des prédictions absolues sur l’avenir. Les sages qui ont créé et développé l’oracle adhéraient à une philosophie spirituelle soutenant que par une action correcte, hommes et femmes pouvaient forger leur propre destin. En adoptant une bonne attitude face à des circonstances et événements particuliers, l’homme cessera d’être ballotté par les vents du destin et utilisera ses propres forces pour décider de ce que lui réserve l’avenir.


Tirage Tarots exemple 2

Question : Est ce que ma fille me racontera ses problèmes ?


Points à souligner: Le bloc psychologique est déjà révélé par la façon dont la personne pose la question. Dans la colonne centrale, en progression de bas en haut, deux personnages sont liés à une illusion (Le Diable), et par la suite les deux personnages, dans le Soleil, se réconcilient dans la fraternité et la communication.
Dans les rangs de la solution, la corde de cravate est coupée par la Justice, qui la porte autour du cou.

Dans le passé: les problèmes de contrôle de la vie (Roue de la Fortune en Sens Inverse), dans lesquels il a eu des problèmes avec sa fille se sont finit à sens unique (Justice).

Dans le présent: la situation est bloquée. Les deux sont enchaînés dans des illusions mentales (Diable), il faut être deux pour pouvoir discuter!

A l’avenir: problèmes de choix, la communication entre les humains (l’amant dans le sens inverse), mais aucune chance de réussir matériellement pour trouver une solution (le Chariot dans lequel vous pouvez voir une cabine téléphonique regardant La Papesse en Sens contraire.

La personne peut appeler sa fille. Dites-lui qu’elle a un problème. Le Tarot répond clairement que la communication est la solution. Quand la personne admet qu’elle peut faire un geste, le Papesse peut être repositionnée dans le bon sens en regardant la justice.

 


Tirage Tarots Exemple

Questions : Est ce que je vais trouver mon chez moi cet été ?


Points à noter: ce qui est statistiquement incroyable, c’est que la notion de maison apparaît dans la moitié des cartes extraites: dans la Lune, dans la Maison de Dieu et dans le Soleil (le mur). De plus, la notion de couple apparaît plusieurs fois: le Soleil et la Lune, l’un au-dessus de l’autre, les deux petits personnages du Soleil et du Diable, l’Empereur, l’homme du couple et l’Amant. Ces notions de couple et de maison sont liées et des discussions ont eu lieu à ce sujet. Christine confirme ce que nous dit le Tarot.

Dans le passé: la Lune au contraire représente souvent des conflits, qui semble avoir été résolus par une bonne et saine communication les uns avec les autres sur les travaux de construction (Soleil)

Au présent: la maison est droite, cette carte répond positivement.

Pour le futur: ça peut se réaliser, mais il y a un problème. L’Empereur est un homme qui concrétise des projets sur terre, et qui est en sens inverse. L’homme a un problème en relation avec cette maison, tourne le dos et regarde l’amant.

Le diable en solution apparaît souvent aux gens qui manquent de fermeté, qui n’osent affirmer leur logique, leur empreinte, leur système de pensée. Christine doit oser s’affirmer dans ce qu’elle veut: si elle impose sa façon de voir les choses, elle passera son été chez elle et aura sa maison.


Métier Gémeaux

Le Gémeaux adolescent se sent capable d’exercer avec le même succès plusieurs métiers ; par ailleurs, il est très jeune de mentalité et ne tient pas beaucoup à entrer dans le monde des adultes, ce monde où l’on travaille et où l’on prend sérieusement ses responsabilités. Ce qu’il déteste, dans le fait de choisir une carrière, c’est qu’il va devoir se borner à aller dans une seule direction, alors que toutes l’attirent et que ce qu’il aime surtout, c’est le changement. Devant ce problème, certains Gémeaux ne se résignent jamais, qu’ils en aient ou non conscience, à choisir une carrière : ce sont de ces gens qui passent sans cesse d’un métier à l’autre et ne se résolvent pas à se spécialiser, Ce que les Gémeaux devraient savoir, c’est que le choix, s’il est bien fait, peut parfaitement ne pas exiger d’eux la limitation à une seule espèce d’activité, situation qui les brise et les frustre.

Dans la multiplicité des professions, il en existe qui présentent la possibilité d’avoir des occupations très diversifiées alors même que l’on pour-suit une seule et même carrière. Ce qu’il faut avant tout rechercher, pour un Gémeaux, c’est, sur le vaste clavier des multiples professions, celles qui permettent de mettre en valeur les qualités de rapidité, d’adaptabilité, de sociabilité des Gémeaux. Cela pourra être un travail polyvalent, varié, itinérant. Ce sera aussi une occupation permettant de larges et nombreux contacts avec le public, car c’est ce qu’un Gémeaux fait le plus volontiers. On peut confier à un Gémeaux des responsabilités, même très sérieuses, il saura toujours y faire face. Dans la mesure où son système d’organisation ne dépend que de lui, sa rapidité compensera facilement les creux provoqués par son éventuel manque d’assiduité. Toutes les professions qui entraînent une communication avec les tiers, avec le public, lui conviennent. Le métier de conseiller en relations publiques semble être un de ceux qui lui conviennent le mieux. Au second rang viennent les professions commerciales dans le métier de vendeur.

On remarquera que ce choix ne doit pas impliquer un effort musculaire, le Gémeaux n’ayant généralement pas une très grande force physique. Il est toujours du côté des minces et des nerveux. Les métiers du spectacle peuvent le tenter, mais il n’atteindrait, d’après ses caractéristiques, qu’assez difficilement à la véritable grande gloire, parce qu’il n’est ni assez robuste ni assez persévérant dans l’effort. Toutefois, dans le spectacle de variétés, ou à titre d’animateur, meneur de revue, présentateur, un Gémeaux peut se faire une belle place.

Son attitude au travail

C’est surtout dans sa manière d’aborder le travail que le Gémeaux témoigne de sa mobilité. Il parvient toujours à s’organiser en fonction des circonstances. Il ne répète jamais le même mouvement et ignore ce que sont les habitudes. Il est inventif, vif et précis, et n’a pas besoin d’une observation approfondie ni de longues réflexions pour savoir comment s’y prendre. Il lui suffit souvent de savoir à quel résultat il doit arriver ; il trouve le meilleur moyen lui-même. Est-il besoin d’envisager pour lui la possibilité de s’inclure dans une équipe ? Il n’est réellement pas fait pour cela et sa manière toute personnelle de travailler constitue un obstacle à une mise en commun d’un même effort. Son style de travail est unique et même deux Gémeaux se livrant à la même besogne dans des conditions semblables n’agiront pas dans le même sens, ne prendront pas le travail par « le même bout ». S’ils veulent réussir leur existence sociale, les Gémeaux doivent refréner leur esprit de raillerie et d’ironie. Sauf s’ils adoptent la carrière de polémiste ou de chansonnier ! Ils doivent dominer leur impatience et leur nervosité, sous peine de se rendre malades d’anxiété. Les Gémeaux doivent donc développer en eux, pour équilibrer mieux leur personnalité, un élément essentiel : la conscience de ce que l’on est, de ce que l’on fait, de ce que l’on vaut. Il ne faut pas se laisser aller, il ne faut pas se prendre trop à la légère, ne pas se moquer de soi, il ne faut ni s’ignorer, ni se résigner, ni s’oublier.


Signe des Gémeaux

Une psychologie dite primaire

Chez un Gémeaux, c’est le premier mouvement qui est le bon, c’est la première impression qui compte. Il possède une personnalité vive et spontanée. En cela, on peut le comparer au natif du Bélier qui, lui aussi, a une psychologie primaire. Le second signe du Zodiaque, le Taureau, apporte à ses natifs un caractère secondaire, c’est-à-dire réfléchi, n’obéissant à son premier mouvement qu’après un intervalle de quelques secondes… Avec les natifs des Gémeaux, la spontanéité est aussi rapide que chez le Bélier, mais le mouvement, le style de la réponse sont plus légers, moins énergiques, moins forts, et la brutalité qui peut, par-fois, se rencontrer chez un Bélier n’existe qu’exceptionnellement chez un Gémeaux. Pour se rappeler cette distinction, il suffit de se rappeler la différence qui sépare la vivacité du feu de la rapidité de l’air : le Bélier est un signe de Feu, le Gémeaux est signe d’Air. On se rend compte du rôle que jouent les éléments dans la personnalité des sujets. Devant la vie, devant les faits, un Gémeaux saisira immédiate-ment l’essentiel ; il le recevra, le sentira, l’adoptera, l’acceptera, le comprendra à l’instant même et réagira en conséquence. Toutes les impressions reçues produisent en un instant leur maximum d’effet. Mais, chez la majorité des natifs de ce signe, il n’en reste rien ensuite ! Cela exprimé sous une forme schématique qui varie dans le détail suivant la personnalité de chacun. C’est une forme de caractère qui implique une grande largeur du champ des observations. Le Gémeaux voit et perçoit très vite. Il reçoit de nombreuses impressions simultanées et celles-ci couvrent un large champ d’observation.

Que va-t-il faire de toutes ces impressions ?

Un « secondaire » réfléchirait, ne serait-ce qu’une seconde, et choisirait l’une d’entre elles pour l’exploiter à fond. Le Gémeaux voit tout, note tout, mais n’utilise qu’une infime partie de sa récolte. Cependant, la récolte est vaste, elle couvre un large champ d’observation. Par conséquent, si peu qu’il lui en reste, c’est encore beaucoup par rapport à ce que récolte le Taureau. Le Gémeaux ne « collectionne » pas les informations, il ne les « engrange » pas ; il les relâche comme il le ferait d’oiseaux libres qui se seraient fourvoyés dans son grenier… L’intérêt de cette sorte de caractère réside surtout dans sa faculté d’oubli des impressions subjectives.

Les effets de la spontanéité

Le natif des Gémeaux n’est pas un être pour qui la vengeance est un plat qui se mange froid. S’il désire se venger, c’est à la minute même, sans attendre, sous l’impact de la contrariété, qu’il souhaite le faire. Une heure après, il est déjà trop tard : ou bien l’incident est admis et classé, ou bien il ne laisse aucune trace et il est oublié. Le natif des Gémeaux est un être très éloigné de la rancune, il ignore ce sentiment. Le Gémeaux est l’être le plus prompt aux enthousiasmes hâtifs. Il se passionne pour une personnalité qu’il découvre ; il prend feu pour une mode nouvelle ; il se jette avidement sur un projet ; mais rien ne sera bon qui ne puisse se réaliser immédiatement. La personne qui lui est sympathique répondra peut-être avec amitié ou passion à ses avances ; ce sera parfait. Si cela ne se produit pas, qu’importe’: Au bout d’un temps très court, la déception sera effacée par un élan semblable envers quelqu’un d’autre. S’il y a réponse favorable, si le contact s’établit, les sentiments du Gémeaux peuvent devenir très vifs, mais rarement pendant long-temps ; le Gémeaux classique, à l’état pur, n’est pas un être constant. S’il adopte un projet agréable ou qui l’inspire, il fera en sorte de le réaliser dans les moindres délais. Si un obstacle l’oblige à remettre à plus tard la mise en route de cette réalisation, si cette réalisation exige une préparation longue et minutieuse, qu’est-ce que cela peut faire ! On renonce ! Il y a tant et tant d’autres projets possibles !

Le Gémeau est un être spontané, vif, rapide, essentiellement mobile.

Il est ainsi parce qu’il est sous un signe d’Air et que rien n’est plus mobile que l’air. C’est la brise, c’est le vent, c’est la tempête, c’est le tourbillon, mais c’est aussi la vie, l’oxygène revivifiant, le dynamisme et la vitesse ; c’est souvent l’efficacité. Le Gémeaux est un voyageur. N’est-il pas sous l’influence de Mercure, le dieu qui a des ailes aux talons ? Ce n’est pas sans raison qu’on lui attribue ce parrainage, ou bien disons que la présence de ce parrainage n’est pas sans effet ; comme on voudra l’entendre. Une des conséquences de ce caractère de mobilité, c’est un perpétuel désir de ne pas se trouver « engagé ». Il est l’être qui s’en va dès que tout semble vouloir le retenir. Il ne restera jamais immobilisé dans une situation qui s’éternise, car il s’y sent englué. L’attention des natifs de ce signe a beaucoup de difficulté à se fixer pour une certaine durée ; c’est un esprit qui n’aime pas faire l’effort de se concentrer, car cet effort lui est pesant et désagréable ; il n’en a heureusement pas souvent besoin. En cela, il s’apparente au Bélier, autre caractère « primaire ». Pour répondre à cette aspiration qu’il a toujours de voir les problèmes se résoudre rapidement, le Gémeaux a une forte tendance à choisir les solutions astucieuses ; il a sa logique : plus une solution est rapide, plus il a tendance à l’adopter. Il pense vite et souhaite que tout le monde en fasse autant. Il n’est pas toujours un champion de la ponctualité, mais il va vite. Sa mobilité reste souple. Le Gémeaux ne va pas bousculer son entourage pour activer le mouvement. Il sait très bien se faufiler, se glisser entre les obstacles, passer là où un Taureau s’arrêterait pour reconsidérer le problème. Il n’exige cependant pas que les autres partagent son goût de la rapidité ; il sait avoir ce goût en lui, et les autres sont « comme ils sont ».

Le Gémeaux est une personnalité adaptable

Le fait d’accueillir et d’utiliser rapidement les impressions reçues entraîne à une faculté qui n’est pas très répandue : l’adaptabilité. Lorsqu’un natif des Gémeaux, particulièrement doué par suite de l’influence de ce signe zodiacal  pour les changements de position, de situation, de domicile ou autres, se trouve dans l’obligation de réaliser un de ces changements, il met à s’adapter à sa nouvelle situation autant de rapidité qu’il en a mis à fuir la précédente. Il change et il s’adapte. S’il change de profession, le Gémeaux ne perdra pas beaucoup de temps pour se mettre au courant de son nouveau travail. Sitôt arrivé, un regard circulaire lui donnera une information suffisante sur ses nouveaux collègues dont il saura immédiatement quels sont ceux qui lui accorderont leur aide. En même temps, il aura entendu les explications qu’on lui aura données pour fixer son rôle au sein de cette entreprise ; et, toujours en ce même instant, il aura décidé de la manière dont il exécutera ce qui lui est confié avec le minimum de problèmes. Cette adaptabilité se manifeste aussi sur le plan des relations affectives. Il est à peu près certain que le Gémeaux n’est pas un être fondamentalement fidèle ; bien qu’il puisse le devenir en fait, ce n’est pas instinctif chez lui.

La dualité des Gémeaux
Il faut songer, en essayant de dépeindre la psychologie des natifs du signe des Gémeaux, au fait qu’il s’agit d’un signe double. Le signe des Gémeaux est représenté par des êtres humains et non des animaux, comme la plupart des signes zodiacaux. Avec un signe de représentation à figure humaine, il y a la volonté d’une grande mesure dans les traits caractéristiques : c’est seule-ment en caricature que l’on est tenté de créer des hommes-animaux, ou dans un graphisme symbolique très poussé. Nous avons donc ici une personnalité double, mais dominée par la raison, cette qualité que l’Homme dit lui être propre. La raison, l’intelligence, la parole, tout cela entre en compte dans la personnalité symbolisée par le signe des Gémeaux. Le Gémeaux sent en lui, plus que tout autre, la présence d’un autre moi qui, éventuellement, peut fort bien l’observer en action et commenter cette action. De sorte que le Gémeaux, en même temps qu’il agit, se regarde agir et se juge. Cela crée la facilité que nous avons déjà signalée de se détacher du milieu ambiant pour se « transporter » ailleurs.
Le physique des Gémeaux Le Gémeaux se rattache à la catégorie des nerveux traditionnels à dominante sèche. Le physique est longiligne ; cela exprime parfaitement que sa taille est haute par rapport à sa carrure ; qu’il a le visage ovale plus que rond ; que ses doigts sont longs et minces ; que ses membres se révèlent très déliés.

Il est généralement d’une taille au-dessus de la moyenne des types morphologiques de sa région, de sa race. Lorsqu’il n’est pas de haute taille, il est miniaturisé, c’est-à-dire que, même de taille moyenne ou de petite taille, il a toujours la silhouette élancée, parce que ses proportions restent les mêmes. Astrologiquement, en raison de ses caractères, au point de vue de son signe de naissance, les organes les plus importants chez lui sont ceux de la locomotion et ceux de la relation : les bras et les jambes allongés. En général, le visage est triangulaire, avec prédominance du front ; un visage de chat. Le menton est fin, étroit, parfois pointu. Les yeux, généralement grands, ont le regard vif, souvent moqueur. Ils expriment la plupart du temps une attention en éveil avec une pointe d’ironie sous-jacente. Le Gémeaux est un signe d’Air. Éminemment mobile et rapide, il s’extériorise volontiers par des gestes, qu’il a très vifs et très précis à la fois. C’est un personnage nerveux, ou apparemment nerveux. Sous un autre aspect, il refuse cette nervosité et tâche de la faire disparaître, tout au moins en apparence. Il arrive qu’il contienne volontairement ses réactions, soit par principe personnel, soit par éducation. II est alors très sobre, presque excessivement sobre de mouvements et d’expressions ; au lieu que les remous intérieurs s’extériorisent et apparaissent nettement sur ses traits et dans ses gestes, tout est contenu et subsiste toutefois, mais à l’intérieur de son être. Alors se développent en lui des tempêtes, d’autant plus rudes qu’elles sont contenues, et des tourbillons émotionnels ignorés de tout son entourage et surtout de ceux-là mêmes qui lui reprochent parfois de manquer de coeur, d’affection, de tendresse. Il jouit d’une très grande et très réelle vitalité. Il peut subir impunément des chocs qui abattraient tout autre, même plus robuste et plus lourd que lui. Lui, il s’en remet. Sa vitalité apparaît dans ses attitudes, qui ne sont jamais embarrassées, ni maladroites, mais restent volubiles, vives, variées, expressives et toujours fort à propos. Très extériorisé, il est loquace. Il est disert, gai, moqueur. Il imite fort bien les autres et sait être très vivant et amusant en société. Sa poignée de main est ferme et souple, jamais dure, mais expressive, significative et variant avec le sentiment qu’il éprouve envers ceux à qui il la donne.


On parle beaucoup de notre site internet sur le Web

Découvrez quelques articles intéressants :



Salon de la voyance

Les plus grands Salons de la voyance

En 2018 la voyance est reconnue. Les bons mediums et les bonnes voyantes existent bel et bien. Les salons de la voyance sont un élément rassurant à connaître pour qui fait appel pour la première fois à une voyante, une medium ou une Tarologue. Le rôle d’un medium n’est pas de vous dire quoi faire mais de vous aider à voir les chemins qui se proposent à vous dans le domaine professionnel ou encore amoureux.

De par le monde il existe des salons de la voyance très réputés. En voici quelques uns :

 


Signe Astrologique Taureau

Le Taureau est le deuxième signe du Zodiaque. Le premier signe, le Bélier, possède un caractère essentiellement masculin. Le Tau-reau est un signe féminin. Cela ne veut pas dire que les hommes natifs de ce signe sont efféminés, loin de là ! Le caractère du Bélier est primaire, celui du Taureau est secondaire. Le Taureau reçoit des impressions et des sollicitations et les « rumine » avant de se mouvoir. Cela ne nuit ni à sa force ni à ses dualités intellectuelles : c’est simplement une autre façon d’être, un autre style.

Charme, délicatesse et jalousie

Natif et native du signe zodiacal du Taureau possèdent dans tous les cas un grand charme personnel. Le charme est un élément de la personnalité qui se distingue de la beauté avec laquelle il a peu de rapports. Les signes du Zodiaque ne sont pas plus dispensateurs de beauté qu’ils ne le sont d’intelli-gence ; ils répartissent d’autres éléments. Les natifs (nous incluons toujours dans ce pluriel les natives) du Taureau ont beaucoup de sensibilité et apprécient les plaisirs de la chair ; cela, pourtant, reste exprimé dans un style direct, radicale-ment éloigné de toute perversion compliquée. Nous ne rangeons pas dans ces perversions l’homosexualité car elle est involontaire. Chez l’homme de ce signe, la chair féminine constitue en toute simplicité un avant-goût du paradis, tandis que chez les femmes, on décèle une  passion spontanée pour les hommes de belle stature, de physique avantageux et de lèvres gourmandes. Les Taureau, hommes et femmes, sont presque toujours à la fois jaloux et coléreux. Cela peut donner des mélodrames affreux ou simplement de bonnes querelles de ménage retentissantes, au sortir desquelles on se livre à des séances de réconciliation qui sont capables de souder définitivement une union si besoin était.

Un épicurien, une épicurienne !
On peut dire que, dans les profondeurs de l’âme d’un natif du Taureau, s’entremêlent des instincts et des tendances obscures qui jamais n’apparaissent au grand jour. Cela se masque très bien sous un grand respect des marques extérieures de la morale et des bons usages. Il arrive même que l’on rencontre des natives de ce signe qui, avec l’âge, exagèrent cet amour des apparences morales et deviennent confites en dévotion et en bonne moralité, plus superficielle que sincère, car les sentiments tortueux ne les gênent pas. Il faut cependant considérer que Vénus déploie une grande activité dans ce signe. L’influence de cette planète apporte au personnage, homme ou femme, un goût délicat qui est inné, le sens de l’élégance, l’amour du confort, le désir de réunir autour de soi les éléments d’un foyer réellement apaisant, heureux, facile, agréable, avec de la beauté, de la chaleur, une bonne nourriture, de bons livres, de la belle musique, toutes choses qui font la vie douce et plaisante. On accorde au signe zodiacal du Taureau deux caractères qui le stigmatisent et expliquent son action sur ses natifs. D’abord, le fait d’être un signe de Terre. Il s’agit de l’élément le plus dense des quatre qui sont : le Feu, la Terre, l’Air et l’Eau. Le Taureau dépend de l’élément le plus consistant. C’est aussi le plus solide et le plus stable. Par ailleurs, il est un signe fixe. Ces diverses indications se retrouvent dans la personnalité du natif. Le Taureau est un signe cristallisant, qui condense les énergies printanières et pousse vers leur réalisation toutes choses en formation. La mise en train est réalisée par le Bélier, dispensateur de la chaleur. Dans le même mouvement, le Taureau ne peut pas être un caractère primaire ; il est un continuateur, et non un novateur. Le natif du signe a un caractère plus réfléchi que spontané. Chez lui, les impressions et les informations perçues par les sens s’inscrivent lentement, pénètrent dans les replis de la mémoire et s’y gravent profondément ; elles n’influent sur le psychisme qu’après avoir été analysées.

L’importance du passé

L’importance donnée au passé est bien l’une des conséquences directes évidentes du caractère secondaire de la psychologie du Taureau. On peut dire que le Taureau regarde et considère ce passé plus facilement qu’il ne se tourne vers l’avenir. C’est encore un trait de caractère par lequel il se différencie du Bélier. Le natif du signe du Taureau est un être sensible, qui se laisse docilement marquer par ses émotions. Une blessure morale, un chagrin ont sur lui des effets de longue durée. Il n’oublie pas. Et quand il pense avoir oublié, son subconscient reste encore soumis à son passé. Pour un Taureau, tout est durable. Ses attitudes intellectuelles comme ses sentiments. S’il se fâche, il met longtemps à revenir sur cette réaction et faire la paix avec lui n’est pas chose rapide. Il persiste dans la mauvaise humeur comme, ensuite, il persistera dans le regret de cette mauvaise humeur. S’il a des remords, il les a pendant longtemps. Mais il a autant de persévérance dans ses bons sentiments : son amitié est longue, constante. Son dévouement ne cesse pas vite ; il n’est pas facile à décourager et il persévère dans ses entreprises. Il a des habitudes et il y tient : rien ne le contrarie comme de modifier l’ordre établi du déroulement de sa journée ; il n’apprécie pas les improvisations. Il peut supporter les affronts sur l’instant, puis, comme si l’impression pénétrait lentement en lui, tout à coup, il éclate et proteste. Beaucoup plus tard, la blessure peut se rouvrir inopiné-ment, révélant qu’en fait elle ne s’est jamais cicatrisée. Sur le plan physiologique, le Taureau est classé « lymphatique-nerveux ». Certains auteurs décrivent le natif du Taureau comme un individu aux formes massives : c’est une impression intellectuelle. Il est des Taureaux volumineux mais il en est de fins, de déliés, selon des éléments secondaires influant sur leur complexion.

Un être avide et sain
L’instinct du Taureau est surtout fait du goût de vivre, de self-défense, d’une avidité étrange de posséder le monde tout entier, et d’une grande facilité d’épanouissement de la vie individuelle ; cela s’accompagne d’un certain désir de sécurité, et, par-dessus toute chose, de la recherche du confort. Un natif du signe du Taureau est avant tout un être moralement et physiquement sain. Il se sent en contact avec l’universelle nature et il participe ardemment au cycle des saisons. Il aime suivre ses instincts et, sur le plan de la sexualité, ceux-ci sont assez impérieux. Il a généralement une grande ardeur sexuelle. Les instincts qu’il a tendance à suivre sont de capter, de prendre, d’attirer, d’absorber, de digérer. Tout cela se définit par l’importance de la bouche. Le Taureau n’est pas sans avidité réelle ni gourmandise. Il aime absorber et il aime gagner ; il lui arrive d’être très âpre au gain. Il veut posséder et de préférence de la terre. Cela le rassure. Il convoite, il envie, il désire. Le Taureau adopte la même position sur le plan affectif car sa nature forme un tout homogène. En amour, il est avide et particulièrement jaloux. Il faut qu’il enveloppe, qu’il attire, qu’il conquière, qu’il absorbe. C’est un envoûteur. Lorsque les planètes Jupiter et Mars sont présentes dans son ciel de naissance, elles favorisent ces tendances.

Le physique du Taureau
Le visage du natif du Taureau affecte souvent une forme susceptible de s’inscrire dans un trapèze plus large en bas qu’en haut. Les mâchoires sont développées, donnant une grande importance à la bouche. Le front est large, le nez droit et large, les yeux grands, saillants et écartés. L’ensemble de la personne est bien en chair, de construction solide et forte, avec un cou épais et de larges épaules. On distingue trois types physiques du Taureau. On a le type « vache », qui est d’un naturel lymphatique, avec une morphologie convexe : le bas du visage, le front et le ventre sont proéminents. En second lieu; on a le type « boeuf », moins lymphatique, plus calme que mou. Il est laborieux, tenace et fort. Ses traits sont moins convexes. Le bas du visage est large, mais avec la charpente maxillaire énergique. Le front est bombé, mais haut et découvert ; enfin les volumes du corps sont de muscles plus que de tissus graisseux.

Enfin, on a le type « Taureau » pur, vif, brusque, musclé, sanguin, puissant, passionné et coléreux. Étant donné l’existence de ces trois subdivisions d’un même type, on n’a plus lieu de s’étonner de découvrir parmi les natifs du Taureau des natures en apparence très diverses et des personnes physiquement très différentes et bien loin de ressembler à l’animal symbolique. On dit qu’on reconnaît facilement dans la rue le natif du Taureau à la seule vue de sa démarche. S’il est accompagné, le Taureau coupe sa marche de brusques arrêts et de pauses pour accentuer ses paroles ; mais s’il va vers un but précis, avec un horaire déterminé, il adoptera une allure ferme et régulière d’un bout à l’autre de son trajet. Il a la démarche traînante. Il y ajoute une tendance presque constante à baisser la tête, gardant le regard presque toujours fixé au sol et présentant non seulement le front, mais souvent le dessus de sa. tête. Il semble donner au sol une grande importance et vouloir s’y appuyer et s’y enfoncer à chaque pas. Sa poignée de main est chaude, accueillante, bienveillante. Chez la femme, la voix est douce et très agréable, charmante.


Conseils sur Femmes Taureaux

On peut se tromper sur les sentiments des Taureau parce qu’ils ne sont pas très démonstratifs.

Un Taureau peut se noyer dans de longues périodes de silence, mais cela n’implique aucunement qu’il n’apprécie pas d’avoir un compagnon, une compagne. Ce silence reste le plus souvent inexpliqué ; si c’est l’homme qui est « Taureau » et sa femme d’un autre signe, cette dernière se sentira désespérée devant l’attitude de son mari. Il y a là une tendance sur laquelle les Taureau doivent veiller. Si, à l’inverse, c’est une femme Taureau qui se plonge dans ce silence, son mari sera frappé et se posera des questions. Le Taureau a le don de commettre des erreurs et de mal placer son affection. Il choisit impulsivement et n’utilise pas, dans ce domaine, la lenteur réfléchie qu’on lui connaît par ailleurs et que, parfois on lui reproche. Il se laisse entraîner, dans le domaine de l’amour, par l’attrait physique qui répond à son besoin de rapports sexuels satisfaisants ; dans sa hâte, au lieu de tenter simplement une expérience, il se précipite dans l’absolu et donnerait aussi bien toute sa vie pour un moment de plaisir. Le Taureau, s’il veut être comblé en amour et fonder un foyer heureux, doit d’abord éviter une tendance légèrement masochiste, qu’il a d’instinct, de choisir un partenaire qui critique ses habitudes ; car ses habitudes, le Taureau ne les changera pas, il devra plutôt se résoudre à changer de partenaire, ce qui n’est jamais bon. Taureau qui me lisez, il faut rectifier ce trait de caractère qui vous nuit dans la construction d’une véritable vie affective et d’une union fondée sur l’amour et la confiance. Pour cela, luttez contre votre éternel entêtement.

Dès que vous constatez que le partenaire aimé est bien l’être de votre vie, demeurez près de lui, mais ne tentez pas de lui faire dire trop tôt qu’il est d’accord avec vous. Et si vous voyez que vous vous êtes égaré et avez misé sur le mauvais cheval, retirez la mise : ce n’est vraiment pas nécessaire d’être persévérant. Ainsi pourrez-vous remédier à ce qui, chez vous, devient parfois une entrave au bonheur.

En bref on pourrait dire que, dans l’amour, les natifs du Taureau, hommes et femmes, veulent ce qu’il y a de meilleur, mais sont Finalement disposés à accepter quelque chose de bien inférieur. Il arrive ainsi que la tendresse annule les exigences de la sexualité. Ce sont des gens qui ont besoin de faire des expériences. S’ils s’unissent définitivement avant d’avoir accompli ces explorations, il faudra bien qu’ils cèdent à leur besoin de variété en donnant quelques coups de canif, en définitive assez anodins, dans le contrat de mariage. Que leur conjoint le leur pardonne et tout rentrera dans l’ordre.

Conseils aux hommes concernant les femmes natives du Taureau

Si vous êtes épris d’une femme native du signe du Taureau, il faut que vous la connaissiez bien pour ne la point heurter et pour lui donner le bonheur qu’elle attend de vous. Il est nécessaire que vous sachiez d’abord que la native du Taureau apprécie en l’homme la force, l’énergie, l’autorité et la capacité de diriger. Elle semble forte, niais elle préfère que ce soit vous qui exerciez la force. Si elle manifeste quelques caprices, il sera bon de céder sur certains points pour lui faire plaisir ; mais il faudra aussi rester fermement sur vos positions en d’autres points, car elle doit sentir que vous êtes capable de volonté, vous aussi. Si vous étiez trop faible, trop facilement consentant, elle risquerait de vous retirer son estime et sa considération. Elle n’apprécie absolument pas la fragilité. Certaines femmes, nées sous d’autres signes, se font volontiers maternelles pour consoler un homme. Ce n’est pas le cas de la native du Taureau. Pour elle, l’homme doit être fort ; il console, mais n’a pas besoin de se faire consoler ni dorloter. Une native du Taureau, comme tous les natifs, hommes et femmes de ce signe, apprécie le luxe et le confort. Elle aime les belles choses, les étoffes douces et moelleuses, les meubles solides et beaux, les jardins bien soignés. Pourrez-vous lui donner cela ? Il le faut pour son épanouissement. Il le faut, même si vous devez consacrer à votre travail professionnel et à vos ambitions un temps que vous auriez aimé lui réserver. Elle vous saura gré de vos efforts et vous en témoignera sa reconnaissance par encore plus d’amour. Sur le plan sexuel, une native du Taureau est en mesure de donner les plus grandes satisfactions à son mari.