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Numérologie Karmique chiffre 16

Le chiffre 16 amène: agitation, problèmes liés aux relations interpersonnelles. Le nombre karmique seize a pour objectif ultime de donner la possibilité d’éveiller l’âme afin qu’elle puisse redécouvrir son chemin évolutionnaire, c’est pourquoi elle réserve des changements inattendus et drastiques. La vibration de ce nombre encourage l’individu à être instinctif et, par conséquent, à percevoir son soi authentique dans tout son potentiel. Très souvent cette énergie, d’abord ressentie par la personne comme pleine d’énigmes qui se révèlent alors et d’émotions qui agissent à des niveaux très intimes, a pour but ultime de guider l’individu vers des objectifs très importants et profonds. Les seize représentent l’occasion de réussir à résoudre les obstacles qui concernent la vie passée; peut-être une naissance dans un environnement inhabituel et peu chanceux ou, peut-être, seulement un conditionnement familial conflictuel.

La personne distinguée par l’énergie du nombre seize aura certainement à faire face à des conflits d’âge adulte dans les relations affectives ou liées au couple, puis à la trahison, à la tromperie, à la dégradation.

Ce nombre karmique a une caractéristique vraiment exceptionnelle, en fait il possède une capacité intuitive très intense qui lui permettra d’offrir des contributions très importantes à des disciplines telles que la psychologie, la science et, en général, dans le domaine spirituel. Seize est souvent un véritable élément stimulant qui guide les autres vers des transformations très positives.


Numérologie Karmique chiffre 14

Le chiffre 14 amène: la liberté, l’indépendance, le sentiment. Le nombre quatorze représente l’usage constructif de la liberté; suggère une énergie caractérisée par l’observation et la transformation continue. Les quatorze karmiques sur la base de la vie antérieure doivent apprendre à se déplacer dans le monde terrestre et passionné sans abandonner le contact avec les origines spirituelles. Le sujet, distingué par l’énergie des quatorze, offre la possibilité de travailler sur les limites physiques et psychologiques, de comprendre la leçon de la vie passée par rapport aux responsabilités et à l’engagement, d’être au-dessus de la peur du risque et de modifier efficacement des systèmes obsolètes, comprendre comment se réaliser dans la vie et faire face aux défis que la liberté de choix implique sans être pris dans une indulgence excessive.

Le numéro quatorze doit être capable de s’engager à tenir les promesses faites en utilisant au mieux leur temps et leur pouvoir. Il peut développer une croissance personnelle profitable à partir de situations désagréables telles que: le manque de liberté physique, les problèmes liés à la sexualité, la dépendance à certains produits chimiques et un attachement excessif à la réalité matérielle.


Numérologie Karmique chiffre 13

Numéro Karmique 13

Quand on voit le chiffre 13 il faut penser à : nouvelle naissance, métamorphose, adaptation. Le nombre treize est lié à la mort et à la renaissance. Il souligne que dans la vie antérieure il y a eu des blocs provoqués de l’extérieur, c’est-à-dire certaines contingences telles que la maladie, le manque de liberté, la misère ou l’ignorance; par conséquent, il sera nécessaire d’acquérir la capacité de persévérer, grâce à ses propres forces et talents personnels, face aux difficultés pour parvenir à une vie meilleure, en d’autres termes, il est nécessaire de mener son existence de telle sorte qu’elle vous fasse avancer.

Il est également nécessaire de se concentrer sur l’élimination de certains défauts tels que l’entêtement exagéré, l’inflexibilité et la médiocrité. Cette trace karmique, dans les événements de la personne caractérisée par le nombre treize, donne l’occasion de transformer ou d’agir sur des questions liées à la tradition; la possibilité de sauver la vie d’autres êtres humains, d’éliminer les imperfections causées par les maladies sociales ou de se remettre d’une maladie enracinée. Les treize karmiques contiennent le besoin de connaître la discipline, la constance, le travail acharné.


Numérologie Karmique

Les nombres 13, 14, 16 et 19 ont une valeur karmique; en d’autres termes, ils ont une influence dérivant d’énergies qui, dans les vies précédentes, étaient dans un état de disharmonie et de déséquilibre. Dans le contexte de la réincarnation, ils pointent vers une expérience non accomplie, une responsabilité ou une impulsion sur laquelle il faut travailler dans cette vie. Si ce travail introspectif et de résolution concernant les situations internes suspendues n’est pas achevé, ces conflits seront également présents dans la vie future.

Par conséquent, il est conseillé de lire le nombre karmique qui correspond à votre nombre fondamental; par exemple, dans le cas où une personne a un destin numéro 4, il vaudrait mieux consulter le numéro karmique 13 pour comprendre quel aspect intérieur doit être travaillé.

Ci-dessous nous voyons la correspondance entre les nombres fondamentaux et les nombres karmiques:

Consultez le numéro 13 si un 4 apparaît sur votre tableau numérologique

Consultez le numéro 14 si un 5 apparaît dans votre tableau numérologique

Consulter le numéro 16 si un 7 apparaît sur votre tableau numérologique

Consulter le numéro 19 si un 1 apparaît dans votre tableau numérologique


Homme Gémeaux en amour

Une caractéristique typique de l’homme Gemini est d’imaginer l’aventure sexuelle parfaite comme la découverte d’une personne «mystérieuse» et stimulante, dans un groupe de nouvelles connaissances, lors d’une fête.

Son endroit idéal pour faire l’amour pourrait être une chambre d’hôtel luxueuse, dans un lit avec des couvertures de soie, buvant du champagne, parlant et s’approchant lentement de la «température» sexuelle. L’homme Gémeaux est prêt à vivre des expériences érotiques avec n’importe quelle femme qui capture son imagination.

La femme idéale désirée par l’homme Gémeaux doit être élégante et de belle présence, extravertie et communicative.

Comment le conquérir: Un bon mélange de fantaisie, d’esprit et d’élégance, avec une touche de luxe, va littéralement perdre la tête

Partenaire idéale: Balance


Femme Taureau en amour

La femme Taureau est un peu spartiate qui, si elle le veut, elle n’hésite pas à le faire savoir à son partenaire. Elle aime expérimenter avec des jeux érotiques qui incluent de la nourriture, peut-être étalé sur son corps.

La rencontre sexuelle doit avoir lieu d’une manière intense et presque sauvage, car la femme Taureau déteste les rythmes lents. La tension doit augmenter et grandir, pas trop vite cependant: en fait, il faut du temps pour atteindre l’orgasme. Compte tenu de l’amour pour la nourriture, il est habituel pour lui de mettre quelque chose de savoureux sous ses dents après avoir eu de bons rapports sexuels. S’ils sont à l’aise, les femmes de ce signe sont d’excellents amants.

L’homme désiré doit être vigoureux et sportif, montrant une approche active du sexe.

Comment le conquérir: plaisanterie, sourire éblouissant et. . . grande endurance physique.

Partenaire idéal: Virgin


Homme Taureau en amour

L’homme de ce signe aime les choses traditionnelles et le sexe ne fait pas exception. L’endroit préféré est un grand lit solide, avec des coussins moelleux et une couverture chaude.

Ne vous distrayez pas pendant l’étreinte: vous pourriez être enragé comme … un vrai taureau! En effet, à chaque interruption, il faut recommencer pour recréer la même atmosphère. Dans leurs fantasmes érotiques, ils combinent les plaisirs du sexe avec ceux de la table. Une femme qui fait allusion mange des fraises, lèche une glace ou mord une banane … ces images sont très excitantes pour l’homme du Taureau.

La femme désirée doit être ardente et espiègle, pratique et pragmatique.

Comment le conquérir: un dîner savoureux qui se termine d’une manière ardente.

Partenaire idéal: Scorpion


Femme bélier en amour

Les femmes Bélier sont toujours très passionnées et enjouées, elles préfèrent dilater les temps mais elles sont semblables aux hommes du signe pour désirer satisfaire le partenaire dans l’amour.

Elles cherchent des hommes pour vivre des situations aventureuses, peu importe qui ils sont, il est seulement important qu’il ne soit jamais fatigué mais prêt à la satisfaire quand elle en a envie. Parce que si la femme Bélier a le désir de faire l’amour, il n’y a aucune excuse à garder!
Peu importe où: dans la cuisine, au bureau, dans la discothèque. Le gouverneur du sexe, Mars, n’a aucune patience concernant le sexe. En effet, plus ils le font dans des endroits qui impliquent un haut degré de risque d’être découvert, plus ils sont excités.

La femme Bélier est attirée par les hommes sportifs: forte physiquement et avec un fort caractère.


Homme Bélier en Amour

Les hommes Bélier sont très “réactifs”: vous n’avez pas à attendre longtemps pour les activer sur le plan sexuel ! Leur désir est de satisfaire leur femme: ne pas lui donner de plaisir est une défaite pour eux, une attaque contre leur Ego. Ils peuvent donc s’adapter et se prêter à des jeux prolongés, des caresses, des mots doux pour satisfaire pleinement et complètement la femme avec qui ils font l’amour.

Les hommes de signe aiment le sexe rapide, mais ils ne sont pas attirés par les femmes qui s’offrent trop facilement. Ils cherchent le danger, puis le défi et l’aventure. La femme désirée doit être vive et sportive mais ce corps tonique laisse des zones de douceur car le Bélier mâle peut toucher et palper.


Lieu de naissance et Ascendant en Astrologie

Pourquoi est-il important de connaître le lieu de naissance dans le calcul de l’Ascendant ?

Pour calculer votre ascendance, et par conséquent votre carte de naissance, il est très important de considérer votre lieu de naissance. Le lieu de naissance sert, en effet, à rectifier l’heure de naissance qui est, en effet, une heure «légale» telle que définie par la loi, selon le méridien de référence, à l’heure locale.

L’heure locale est l’heure du méridien de naissance et varie en fonction de la longitude.
La longitude est une distance en largeur d’Est en Ouest donnée par un cercle méridien qui va d’un pôle à l’autre et qui coupe la localisation géographique. Un règlement international divise le globe en 24 broches qui s’étendent sur 15 ‘chacune, correspondant à une heure chacune. Chaque degré de longitude équivaut à environ 4 minutes.

Le premier méridien est Greenwich et fournit l’heure d’été pour la Grande-Bretagne et le Portugal. Le méridien suivant, celui auquel appartient l’Italie et qui couvre l’Europe centrale, est escaladé d’une heure à l’est.
Donc, si à Greenwich, le 12 en Italie est de 13. Cependant, nous venons de dire que chaque degré de longitude est d’environ 4 minutes et que les heures légales doivent être comparées, c’est-à-dire les heures exprimées selon les méridiens d’appartenance et de référence, aux heures locales !

Pour une meilleure compréhension de ce concept, considérons, par exemple, le cas d’une personne née le 1er décembre 1990 à 11h15.

Dans le premier cas, nous considérons que la personne est née à Lausanne.
La longitude de Lausanne est 7’42 ‘Est de Greenwich alors, pour amener à l’heure locale l’heure établie par le méridien d’affiliation, nous devons soustraire de leur heure de naissance 29 minutes et 12 secondes.

Dans ce cas, la personne aurait un ascendant au Capricorne à 27`08 ‘.

Voyons maintenant ce qui se passe si la même personne est née à Berne.

La longitude de Berne est 13`46 ‘Est de Greenwich.
Dans ce cas, nous devrons soustraire seulement 4 minutes et 56 minutes de l’heure établie par le méridien d’Europe centrale pour l’heure de naissance.


Thème Astrologique

C’est quoi un thème Astrologique ?

C’est la photographie du ciel au moment de notre naissance. Il détermine, en substance, la personnalité et le destin d’un individu. Il indique quelques lignes, mais il ne faut pas laisser trop de choses à suggérer. En plus de la date de naissance, nos voyants Astrologues ont besoin de connaître la position géographique et l’heure exacte, avec une approximation d’au plus 15 minutes.

A quoi ressemble un thème astrologique ?

Un cercle parfait coupé de la ligne horizon (ou Ascendant). Ici les planètes s’arrangent exactement comme elles étaient au moment de la naissance. Par exemple, si on est né à midi, le soleil se trouvera exactement au milieu de l’hémisphère nord, si la naissance a lieu la nuit, il sera dans l’hémisphère sud, et ainsi de suite toutes les autres planètes (Lune, Mars, Vénus, etc.). Le cercle est divisé en 12 segments (appelés Maisons) dont chacun a son propre sens (unions amoureuses, richesse, travail, famille, etc.).

Le thème astral n’est le même que pour les personnes nées au même endroit et en même temps. C’est beaucoup plus précis que le signe horoscope par signes il faut le savoir !

L’image de chaque personne, même si elle est née du même signe, est profondément différente. Chaque image astrale consiste en au moins 100 interprétations particulières basées sur la position des planètes. L’image astrale natale «nous marque» pour toujours, mais il y a des influences continues dues à l’astrologie progressive (le mouvement continu des planètes pendant nos vies).

Puis-je croiser ma carte de naissance avec celle des autres, par exemple pour comprendre s’il y a des affinités, si nous nous marions, si nous nous ressemblons ou non?

Deux images astrales peuvent être croisées. Dans le contexte «couple», les planètes prennent une position différente par rapport à l’original. L’image consiste en l’hypothèse que l’un des deux parvient à débloquer et à équilibrer l’image des autres, peut-être terriblement malheureux, pour une vie future harmonieuse.


Astrologues dans l’histoire ?

Tous les rois du monde se sont un jour posés beaucoup de questions sur les Astrologues qui venaient à eux ! Il faut dire que dans les temps anciens la question de savoir si le roi voulait vraiment savoir ce que pouvait devenir son futur était à se poser. Nous étions à l’époque dans un très gros risques de voyance avec complaisance ! Sur notre site nous ne voulons absolument pas de la voyance avec complaisance ! Nous sommes regardés par les Dieux dans ce que nous faisons et nous sommes là pour faire avancer les hommes et les femmes qui viennent à nous !

Des Romains à nos jours en 2018 ?

Auguste le 1er empereur Romain avaient une totale confiance dans sa destinée ce qui n’a pas été le cas de tous ses prédécesseurs. On dit que l’empereur Auguste serait devenu tellement fort en Astrologie qu’il aurait étudié ses adversaires en dressant leur thème astrologique avec une très grande précisons et en développant des informations utiles en politique pour lui !


Miroir cassé ?

La superstition du miroir cassé est très ancrée dans les inconscients populaires. La aussi c’est un héritage venu de très loin. Depuis l’antiquité les miroirs renferment des esprits et le fait de casser ces miroirs libère ces esprits qui étaient à l’intérieur. On a longtemps penser que regarder dans le miroir son reflet équivalait à regarder son âme droit dans les yeux ! On pense encore dans nos campagnes de la Suisse que si des jeunes mariés se regardent ensemble dans un miroir le jour avant de leur mariage la chance sera avec eux car leur couple est inscrit dans les annales du temps que l’on appelle aussi annales akashiques !

Pourquoi le chiffre de 7 ans de malheurs en cas de rupture d’un miroir ?

Cet héritage vient des Romains. Un cycle de vie de 7 ans était enseigné depuis les philosophes et mathématiciens grecs. Les Romains ont énormément hérités du savoir faire des anciens grecs. Selon les historiens experts de la Grèce les premiers miroirs dataient de 6000 avant Jesus Christ et étaient incassables ! Les grecs y pratiquaient la catoptromancie soit la divination par les miroirs. Lisez nos articles sur les oracles grecs pour en savoir plus ! Aujourd’hui encore en 2018 les miroirs ont une très forte charge énergétique et son utilisés pour toutes sortes de travaux spirituel !


Vendredi 13

C’est précisons le la superstition la plus ambivalente qui soit ! Cette croyance et souvent poussée à l’extrême sur l’idée de jour de malchance mais c’est une erreur. L’origine des superstitions vient souvent d’un certain folklore local lié aux traditions et à la culture. Selon la prophétie des Andes ce que nous sommes aujourd’hui est la résultante de ce que nous étions hier. La superstition du Vendredi 13 ne nous est pas parvenue par hasard…

Tout à commencé par le jour de la crucifixion de Jésus

Le Vendredi 13 a commencé par là. De plus lors du dernier repas douze apôtres et Jésus font treize personnes. Saviez-vous que même les hôtels essaient d’éviter la chambre 13 tout comme les cuisinier essaie d’éviter d’avoir 13 convives à servir ! On a tendance à penser que si l’homme de votre vie vous quitte un Vendredi 13 c’est que vous avez attiré la malchance. Si une relation commence un Vendredi 13 on a tendance à penser que c’est mal commencé.

Ce qu’on en pense chez voyante.ch ?

Vous avant toutes choses ! Il y a bien assez de travail avec les sentiments humains aujourd’hui en 2018 pour se préoccuper de superstitions dignes de l’inquisition chrétienne. Pas de Vendredi 13 partez de vous et chercher le bonheur même un vendredi 13 ! Avec des énergies sincères vous le trouverez ce bonheur tant voulu ! N’ayez donc plus jamais peur du Vendredi 13 ce n’est pas cela qui vous empêche d’avancer et d’atteindre les objectifs que vous vous fixez dans une séance de voyance avec nous ! Soyez sûr de notre passion de la voyance en vous disant cela !

Paraskevidékatriaphobie ?

Derrière ce mot très très très très barbare se cache la peur du Vendredi 13 !  En grec : “paraskevi” veut dire le sixième jour de la semaine  et “dekatria” signifie le chiffre 13. En 2018 si le Vendredi 13 avril est passé il reste le Vendredi 13 juillet 2018 pour laisser s’exprimer cette peur inconsciente ou pas !


Rêve de perte de dents

Un rêve où vous perdez des dents nécessite une interprétation des rêves pointue. C’est peut être prémonitoire de quelque chose d’important. Stella spécialiste en voyance amoureuse et interprétation des rêves !

Dans votre rêve vous venez d’arriver au bord du Lac Léman vous pour une belle promenade en famille. Vous voyez un clown entrain de faire un tour qui plaît beaucoup à vos enfants. Tout à coup le clown enchaîne des tours de magies ! Il fait apparaître dans son chapeau une bague vous appartenant. Puis une montre vous appartenant , puis il fait apparaître une de vos dents ! Angoissant comme rêve n’est-il pas ? Sachez que Freud le célèbre psychanalyste parle de ce genre de rêves liés aux dents.

En cherchant bien dans vos mémoires cellulaires vous vous rappelez être passé chez vos parents avant d’aller faire cette promenade où on vous a voler vos dents.

C’est là qu’on en vient au fait que les dents sont liées à des mémoires très profondes portant souvent sur la famille. Un rêve de perte de dents veut fréquemment dire qu’un changement liés à un schéma familial est en route. Vous êtes entrain de perdre une vielle pensée ou vieux mode de fonctionnement qui n’est pas le vôtre mais hérité de votre arbre généalogique ! Dans ce type de rêve un de nos mediums psychiques peut vous aider à voir comment les héritages de votre arbre généalogique peut vous empêcher d’avancer !


Pronostic coupe du monde 2018

La coupe du monde est en route. Beaucoup me demande mon avis sur les matchs. J’arrive assez bien à dégager des tendances. Je peux vous aider à savoir qui peut gagner ou qui va faire match nul ? >> https://www.editoweb.eu/Pronostic-Match-Portugal-Espagne_a30296.html >> Mes pronostics sont d’ailleurs repris par Google Actualités. Pour l’instant je me suis trompé uniquement sur la Suisse qui a réussit un magnifique 1 à 1 contre le Brésil

 

 

https://voyante.ch/voyant-medium-rare/


Voyance datée

Il n’est pas facile du tout de faire une voyance datée. Tout dépend des circonstances des questions que vous allez poser. En fait il faut savoir que le temps est constamment sous influence des événements. Les Astrologues de notre équipe vous expliqueront bien ce qu’est une tendance événementielle. En effet cela veut dire qu’une voyance datée est possible que sous certaines conditions et savoir que au mois de mai ou dans un mois précis un événement peut arriver permet déjà de se préparer au mieux.

Quand est ce que je vais trouver l’amour ?

Questions typique posée fréquemment à notre équipe. Vous pouvez rencontrer une personne qui deviendra votre grand amour que quelques semaines plus tard. Difficile de dire à quel instant il ou elle va tomber amoureux ou amoureuse de vous. L’être humain n’est pas assez mécanique pour pouvoir être sûr  de ce qui peut se passer à la journée près.


Consultation Kaballe

La kabbale juive.

C’est évidemment la kabbale qui représente l’essentiel de l’ésotérisme juif. Son in-fluence en latinité sera considérable, surtout à partir de la Renaissance. Faisant suite au Sepher Yetsirah , une compilation de matériaux kabbalistiques effectuée en Provence au 12e siècle vient constituer le premier exposé de kabbale proprement dite, le Bahir, qui oriente celle-ci dans la double direction d’une gnose d’origine orientale et d’un néo-platonisme. Nombres et lettres de l’Ancien Testament y font l’objet d’une herméneutique procurant une connaissance des rapports entre le monde et Dieu, grâce à la connaissance de chaînes intermédiaires et selon une méthode interprétative qui donne à voir dans chaque mot et lettre de la Torah un sens aux ramifications multiples. La kabbale s’enrichit ensuite de ce qui restera son livre capital, le Sepher ha Zohar ou Livre de la Splendeur, apparu en Espagne après 1275. Compilation géniale due sans doute à Moïse de Léon, il représente le sommet de la kabbale juive, c’est-à-dire d’une mystique spéculative appliquée à la connaissance et à la description des oeuvres mystérieuses de la divinité. Le Zohar prolonge considérablement la dimension talmudique relative au travail ou aux rites pour développer une mythologie de la Nature, une valorisation cosmique dont la pensée de la Renaissance saura tirer parti. Enfin le grand mystique Abraham Abulafia (1240-1291), né à Saragosse, enseigne une technique méditative à l’aspect initiatique et symbolique, qui fait appel également à des techniques corporelles.


Consultation magie blanche

Consultation Magie

A l’exception, peut-être, du légendaire enchanteur Merlin, que certains croient être un barde gallois du vie siècle, mais dont les exploits à la cour du roi Arthur sont une pure invention littéraire, personne n’incarne aussi bien l’idée populaire du magicien que Faust, l’homme qui vend son âme au diable en échange de la connaissance et du pouvoir. La légende a été enjolivée par d’innombrables conteurs, mais il y eut effectivement un magicien du nom de Faust, Johann ou Georg, on ne sait trop, né à la fin du xve siècle, et de fort mauvaise réputation à ce qu’on en dit. Le 20 août 1507, le physicien Johannes Tritheim en touche un mot à son collègue Johannes Virdung, professeur d’astrologie à l’université de Heidelberg : « L’homme au sujet duquel vous m’avez écrit, qui a l’audace de se dire prince des nécromanciens, est un vagabond, un hâbleur et un co-quin. » Les archives de la ville d’Ingolstadt mentionnent aussi ce personnage peu recommandable, en date du 17 juin 1528: « Un homme qui se fait appeler docteur Georg Faust de Heidelberg a été éconduit de la ville et a promis de ne pas en tirer vengeance sur les autorités ni de les tourner en ridicule. » Ces textes ne nous disent pas pourquoi Faust était tenu en si piètre estime, mais des documents plus tardifs le laissent entendre. Une fois, par exemple, il aurait menacé un homme d’Église de faire s’envoler toutes les casseroles de sa cuisine par la cheminée. Mais apparemment, c’est surtout dans les tavernes qu’il faisait ses tours de magie : il pouvait, racontait-on, abreuver de longues heures durant ses amis en perçant des trous dans la table, d’où jaillissaient toutes sortes de bons vins. La plupart des anecdotes faustiennes sentent le soufre du démon. Selon la rumeur, Faust devait ses connaissances et son pouvoir à un pacte conclu avec le diable. Martin Luther, son contemporain, croyait que c’était vrai et Faust ne le nia d’ailleurs jamais. Certains indices portent à croire, cependant, qu’il en avait lui-même lancé le bruit, espérant en tirer quelque gain personnel. Même si Faust est un personnage passablement douteux, il y a quelque chose de profondément admirable dans sa soif de connaissance. Comme le dit Colin Wilson dans l’Occulte, « Faust peut être considéré comme le plus grand drame symbolique de l’Occident, le drame du rationaliste suffocant dans la chambre poussiéreuse de sa conscience personnelle, pris dans le cercle vicieux de l’ennui et de la futilité… Ce qui pousse Faust vers l’occulte, c’est son désir instinctif de croire à des forces inconnues, à des interprétations plus larges qui peuvent briser le circuit. » Le flou qui entoure le Faust historique est peut-être ce qui en fait le charme. Deux autres personnages, à peu près contemporains de lui, laissent moins .de place à l’imagination. Erudits-magiciens de la Renaissance, pieux et respectables, ce sont Cornelius Agrippa, né à Cologne en 1486, et John Dee, un Anglais, né en 1527. Agrippa, dont le vrai nom était Heinrich Cornelis, fut un génie malchanceux d’une célébrité plus que passagère. Jeune étudiant à l’université de Cologne, il avait étudié les néo-platoniciens, surtout l’oeuvre de Proclus, et découvert la cabale. De ces deux grandes sources, Agrippa tira le thème qui allait inspirer l’oeuvre de sa vie : la possibilité d’unir la conscience humaine avec l’Un, la source divine au centre de toute chose. A 20 ans, Agrippa était secrétaire de Maximilien, empereur du Saint Empire romain germanique, qui apparemment l’envoya à Paris comme espion. Agrippa y poursuivit ses études à l’université de la Sorbonne, mais fut bientôt mêlé à une sombre intrigue italienne qui tourna mal. Après quelques pérégrinations en Europe, il s’installa à l’université de Dôle, en France. Il s’y fit une réputation en donnant des cours sur la cabale et devint docteur en théologie. Son intérêt non dissimulé pour la cabale, en particulier pour la science des nombres, finit par lui attirer les foudres de l’orthodoxie et les pressions du clergé obligèrent sa protectrice, Marguerite de Gand, fille de Maximilien, à lui retirer son appui. Ce fut à Dôle qu’Agrippa, alors âgé de 24 ans, écrivit son oeuvre maîtresse sur la magie, qui ne sera pourtant publiée que 20 ans plus tard. De la philosophie occulte est un traité en trois volumes que l’on considère aujourd’hui encore comme un des principaux ouvrages sur la question. Agrippa y déclare que la magie n’a rien à voir avec le démon ou la sorcellerie, mais qu’elle tient aux dons secrets de l’esprit. « Le sens vrai de la magie et de l’alchimie se trouve ailleurs que dans les livres… De là les inutiles efforts de ceux qui cherchent sans discernement à pénétrer les secrets de la nature et qui, s’ignorant eux-mêmes, cherchent en dehors ce qu’ils ont en eux… Ces prodiges, annoncés avec tant de hardiesse par les mathématiciens, magiciens, alchimistes et nécromanciens, il dépend de nous de les accomplir, et nous le pouvons sans crime, sans offenser ni Dieu ni la religion. C’est en nous-mêmes qu’est le magicien. » Heinrich Cornelius Agrippa postule la suprématie de l’esprit sur le corps et anticipe indirectement sur la psychia-
trie moderne en affirmant, par exemple, que « la fantaisie, ou puissance de l’imagination, exerce son empire sur les passions de l’âme, quand celles-ci sont liées aux appréhen-sions sensuelles… Car l’imagination, de son propre mouve-ment, et selon la diversité des passions, change d’abord le corps physique d’une transmutation sensible, en changeant les accidents dans le corps et en déplaçant l’esprit vers le haut ou vers le bas, vers l’intérieur ou l’extérieur. » Il est difficile de juger dans quelle mesure Agrippa a pu utiliser ses intuitions — de savoir, en somme, s’il a pratiqué une sorte de magie psychique fondée sur ce qu’il savait du fonctionnement de l’esprit. Les anecdotes qui nous ont été transmises ont un faux air comico-faustien. La plus célèbre nous conte l’histoire d’un malheureux étudiant qui s’était glissé en cachette dans le cabinet d’Agrippa en l’absence du maître. Alors qu’il lisait le livre des incantations d’Agrippa, il se trouva tout à coup nez à nez avec un démon qu’il avait involontairement invoqué. Furieux d’avoir été dérangé pour rien, le démon étrangla le jeune homme. Revenu chez lui, Agrippa découvrit le cadavre. Il ordonna au démon de ranimer l’étudiant assez longtemps pour qu’on puisse le ramener sur la place du marché où il s’effondrerait, bien mort cette fois, ce qui simplifierait quand même les choses. Le démon s’exécuta, mais l’affaire fit cependant tout un scandale. Vers la fin de ses jours, Agrippa abandonna la magie au profit de la théologie. En 1530, il publia De la Vanité des Sciences et des Arts, oeuvre désespérée où il nous dit que la quête du savoir est futile. Choisissant on ne peut plus mal son moment, il publia presque à la même époque (1531) ses écrits de jeunesse où il parle avec enthousiasme de la magie et de ses pouvoirs. Les contradictions des deux livres firent sonner faux le premier. Après avoir erré ça et là durant les quelques années qui lui restaient à vivre, il mourut avant d’atteindre la cinquantaine, prématurément usé et discrédité par ses pairs.


Conseils aux femmes concernant les hommes natifs des Gémeaux

Monsieur Gémeaux est avant tout un être actif, parfois agité, qui aime communiquer, c’est-à-dire se trouver en contact avec beau-coup de personnes et transmettre de l’une à l’autre diverses informations pouvant aller jusqu’aux commérages. Il parle, il écrit, il dit, il déclare. On vous dira tout de suite qu’il est avant tout un être versatile mais cherchant comme un voyant à tout prévoir.

C’est que son esprit est toujours en quête d’impressions nouvelles. Il est capable d’exercer une foule de métiers ; il sait qu’il doit se spécialiser et il accepte de le faire, mais après de nombreuses expériences. Il reste très près de son enfance et il entretiendra avec sa mère, tant qu’elle vivra, des relations très étroites et très suivies : il est inutile de tenter de l’en éloigner ; c’est lui qui s’éloignerait de vous. Il faut faire très attention à ce que l’on dit à un amoureux Gémeaux, car il est, sur le plan affectif, très susceptible et, si on le fâche, il s’en va. Terminé… Inutile, si vous vivez avec un Gémeaux, de tenter de le placer devant un problème sérieux, grave, inquiétant. Il n’aime pas être inquiet. Il répond : « Ce n’est rien, oubliez-le ! » et il oubliera. Il est d’une parfaite aisance dans ses premiers mots et dans ses premiers moments, alors qu’habituellement les jeunes gens se sentent gauches et se montrent maladroits. Il faut donc que la jeune fille sache apprécier, et qu’elle le lui laisse deviner, cette adresse, cet esprit, cette facilité de communication. Il faut qu’elle réponde aux premières passes de cette épée légère et brillante des phrases à double sens sans lourdeur, des rires fins et des allusions moqueuses. Inutile de donner du poids à ces propos qui correspondent exacte-ment à ce qu’on appelle le marivaudage. Pour conquérir un monsieur Gémeaux, mesdames, il faut nécessairement entrer dans son jeu, mais avec une légèreté aérienne, car l’Air est son élément. Pour conduire monsieur Gémeaux au mariage, il faudra aussi connaître sa mère. La mère du Gémeaux ne sera jamais étrangère à sa vie et à sa vie familiale, surtout. Il faut qu’elle vous accepte, si vous voulez tenter votre chance auprès de son fils. Et, pour qu’elle vous conseille en fille bien-aimée, rien ne sera négligé de votre part, mais vous ne ferez rien de trop appuyé non plus.

Si, au cours de votre manœuvre diplomatique et amoureuse, vous venez à savoir que vous n’êtes pas la seule à bénéficier de ses attentions, ne faites pas de reproches à monsieur Gémeaux : il disparaîtrait aussitôt de votre vie et, même s’il en avait de la peine, il ne reviendrait plus vers vous, appliquant une fois de plus sa devise devant les incidents désobligeants de la vie : « Ce n’est rien, oublions ! » Vous voyez que vous auriez tout à perdre dans un éclat.


Conseils aux hommes concernant les femmes natives des Gémeaux

On admet généralement que la représentation du signe des Gémeaux par deux enfants réunis signifie que les natifs de cette période de l’année ont une double personnalité. Chez la femme des Gémeaux, cette double personnalité se manifeste surtout au plan affectif et au sujet des problèmes du cœur. On peut considérer que l’un des jumeaux personnifie l’apparence extérieure de la femme, une apparence délibérément voulue et adoptée pour créer une image réservée aux autres, tous les autres, indépendamment de l’image vraie de l’être. L’autre enfant représenté dans le symbole du signe est alors le moi profond, l’être vrai, tel qu’il existe, pense, vit, aime mais qu’une grande réserve, une pudeur irrésistible empêchent de montrer ses sentiments, même aux êtres les plus proches.

Le moi profond n’apparaît que dans de très brefs instants de bouleversement moral ou de relaxation psychique. Immédiatement après l’avoir laissé se manifester, le Gémeaux reprend son ironie coutumière pour se railler lui-même. Cela est plus remarquable chez les femmes Gémeaux que chez les hommes pour la simple raison que les femmes, en général, se confient plus facilement que les hommes. La dualité des Gémeaux s’exprime encore par deux tendances qui divisent la femme : une partie de son âme reste très attachée à son enfance, même si elle s’est trouvée en contradiction avec ses parents ; l’autre est tournée vers l’avenir et forge des projets. Mais, toujours, il y a un moi raisonnable et froid qui observe méthodiquement les activités affectives du second moi passionné. Les hommes qui rencontrent sur leur route une femme Gémeaux doivent avoir cette dualité présente à l’esprit pour la comprendre et pour en saisir tout le charme et toute la réelle valeur. Sachez que, dans cet exercice périlleux qui consiste à la fois à aimer et à se regarder aimer, madame Gémeaux est souvent plus amoureuse de l’amour même que de l’objet de cet amour. C’est un peu compliqué, mais très près de la vérité.

Que ferez-vous ?

Vous vous contenterez de vous laisser aimer de cette façon et vous veillerez à vous renouveler souvent pour que votre partenaire, qui est réellement volage, ne vous quitte pas  dans la mesure où vous êtes désireux de la garder. Si vous voulez avoir de grandes chances de vous marier à une demoiselle Gémeaux, sachez qu’elle préfère se lier à un homme qui pourrait être son père, ou presque, qu’à un homme de son âge. Lorsqu’elle se marie, la native des Gémeaux oublie toutes ses expériences précédentes ; bien qu’elle ait donné à chacune de ses aventures une assez grande importance et qu’elle ait vécu ses diverses émotions avec une remarquable intensité, elle utilisera une formule très courante chez les Gémeaux : « Ce n’était rien, c’est oublié. »

 


Gémeaux et amour

Le signe des Gémeaux est extrêmement intellectualisé ; il ne tend que d’une manière très relative vers la sexualité, lui préférant une
conception intellectuelle, mentale, cérébrale de l’amour. A partir de la notion d’adolescence, voyons comment se développe, chez le natif des Gémeaux, le sentiment amoureux et l’appel du sexe.

L’attitude du Gémeaux devant l’amour peut n’être d’abord qu’une réaction de pure curiosité. C’est ce sentiment de curiosité qui fait du Gémeaux un grand amateur de flirt. Pour lui, seule l’émotion vive est intéressante et cette émotion n’existe que dans les commencements d’une aventure amoureuse.
Les joies viennent les premières, et puis les peines, et ensuite l’oubli des unes et des autres. Il n’y a plus qu’à recommencer. Dans la dualité du signe, on a pu trouver deux types de natifs :

  1. Ceux qui vont se livrer à ce jeu de la chasse à l’émotion neuve
  2. Ceux qui ont une grande crainte de ce genre de vie, qui se replient sur eux-mêmes et qui refusent l’amour parce qu’il peut les faire souffrir.

Le Gémeaux, qu’il appartienne à l’un ou à l’autre de ces types, est toujours un instable et un hésitant dans le domaine amoureux. Il reste toujours craintif, que ce soit dans l’un ou dans l’autre cas. Le Gémeaux peut se livrer d’autant plus facilement à cette chasse à l’aventure qu’il est essentiellement mobile et adaptable, qu’il a donc juste les qualités requises pour rendre faciles les nouveaux contacts.
Aimer, pour un Gémeaux, c’est suivre la méthode des petites collégiennes qui sont amoureuses par deux d’un professeur, homme ou femme, peu leur importe, l’essentiel n’étant pas dans le problème sexuel. Cependant, chez les adolescentes il n’est question que d’amour platonique, même s’il prend les formes de la passion. Chez l’adulte, la situation est moins compréhensible parce que le monde des adultes ne veut pas comprendre et souvent voit des complications là où le Gémeaux ne voit qu’une pure simplicité. Ce sont des objections traditionnelles qui peuvent se périmer d’un jour à l’autre, si l’on considère les tentatives de vie communautaire au sein des-quelles elles trouvaient leur place. Remarquons au passage que ce n’est pas le problème passionnel qui a fait échouer les petites communautés mixtes, mais d’autres écueils, comme par exemple la provenance des ressources, le partage des tâches. Le Gémeaux amoureux s’adapte volontiers au rythme de l’autre, partage tout naturellement ses intérêts et ses joies, ses problèmes et ses travaux. Il entre complètement dans sa vie et tend à devenir son double, adoptant ses goûts et ses habitudes. Il y ajoute facilement les mêmes préoccupations intellectuelles, ce qui sert de prétexte à des rencontres où le sentiment amoureux reste sous-jacent et limité comme le souhaite ce grand enfant qu’il est encore —, les autres occupations, le travail que l’on partage, demeurant seuls en évidence. Il va sans dire que ces traits de caractère ne concernent que les Gémeaux à l’état pur et que les types mixtes, à cause de l’influence d’un ascendant, peuvent éventuellement réagir d’une manière très différente ; ils peuvent aussi évoluer et montrer des changements de caractère à différentes époques de leur vie ou de leur destin.

 


Consultation Yi King

Nous vous proposons des consultations Yi King

Le Yi-king est un livre d’oracles que l’on consulte pour obtenir un conseil, une réponse à une question ; en Chine on l’étudie depuis des milliers d’années. Il y a trois siècles, des missionnaires jésuites le rapportèrent en Europe où il attira l’attention de quelques personnes éclairées, dont Leibnitz, le philosophe et savant allemand qui découvrit le calcul différentiel. De nos jours un très grand nombre de Chinois consultent toujours le Yi-king lorsqu’ils sont perplexes. Ils trouvent toujours ses conseils stimulants et utiles en général ; ils considèrent le Yi-king comme une personnalité à part entière, un ami avisé toujours prêt à partager sa sagesse avec ceux qui la recherchent.

Le Yi-king de la Chine ancienne est le plus ancien livre d’oracles du monde. Ces livres servaient à prédire l’avenir, à répondre à des questions, à donner des conseils généraux et particuliers à ceux qui les demandaient. Au fil de l’Histoire nombre de livres ont eu la réputation de trans-mettre une sagesse surnaturelle, même si certains d’entre eux n’étaient pas écrits dans ce but. Par exemple, de la fin de l’Empire romain à la fin du Moyen Age le poème épique de Virgile, l’Enéide, a été utilisé comme livre d’oracles. Un demandeur ouvrait le livre  trois fois au hasard et, les yeux fermés, choisis-sait chaque fois du doigt un vers du poème. Les trois vers ainsi désignés étaient très sérieusement étudiés, pris à la lettre ou interprétés de façon symbolique, pour fournir une réponse à une question donnée.

Au Moyen Age, on se fiait encore tellement à l’Enéide comme source d’oracles que l’on vénérait Virgile, son auteur, comme magicien plutôt que comme poète. Les récits de ses merveilleux pouvoirs occultes circulèrent dans toute l’Europe et sa tombe, à Naples, acquit la réputation d’un emplacement miraculeux où les magiciens se rendirent en pèlerinage. Après la Réforme, la Bible vint à être considérée comme le plus grand des livres d’oracles et des chrétiens sincères et intelligents l’ouvraient au hasard lorsqu’ils cherchaient un guide spirituel pour répondre à leurs perplexités. L’inconvénient d’utiliser ainsi l’Énéide ou la Bible résidait dans le manque de clarté de réponses nécessitant une grande interprétation. Le besoin de livres d’oracles facilement compréhensibles se fit sentir et au siècle dernier plusieurs voyants en rédigèrent. Le plus remarquable d’entre eux fut Le Livre du destin de Napoléon : ouvrage d’utilisation simple qui n’a cessé d’être imprimé en Angleterre depuis les années 1820, même s’il n’a pas vraiment de rapport avec Napoléon. Le Yi-king est au Livre du destin de Napoléon ce que le champagne est au mousseux. Il serait presque impertinent de traiter le Yi-king de livre d’oracles tant il semble vivant et avoir sa personnalité bien à lui. Tant et si bien que nombre de ceux qui l’ont régulièrement consulté en sont venus à ressentir un lien d’amitié entre le livre et eux.

Les origines du Yi-king

Le Yi-king n’est pas seulement le plus ancien livre d’oracles du monde, mais aussi le plus vénéré. On le consulte de Hong Kong à New York, de Singapour à Londres et à Paris, les psychanalystes comme les occultistes tiennent son antique sagesse en grand respect ; parmi certains cultes taoïstes on le révère comme un demi-dieu ; et de nos jours, nombreux sont ceux qui, comme Confucius il y a 2 500 ans, pensent que « si on leur donnait des années de vie supplémentaires ils les consacreraient à l’étude du Yi-king. »

A l’époque où vivait et enseignait Confucius, le « coeur » du Yi-king existait déjà dans une forme similaire à celle qu’utilisent aujourd’hui les voyants. Ce noyau aurait été compilé d’après un matériau beau-coup plus ancien par le roi Wen, qui régna sur la Chine au douzième siècle avant J.-C. Le Yi-king utilisé aujourd’hui comprend non seulement les éléments assemblés par le roi Wen, mais aussi des textes écrits par son fils le duc Chou, ainsi que des commentaires attribués à Confucius et à ses disciples.

Il subsiste aussi des commentaires postérieurs, étudiés par les spécialistes du Yi-king et de la philosophie spirituelle qui s’en dé-gage.
Consultation du Yi-king L’Occidental qui souhaite consulter l’oracle afin d’obtenir son avis sur un problème de sa vie quotidienne trouvera difficile l’utilisation des premiers textes du Yi-king et de leurs commentaires. En effet, à l’époque où ont été rédigés le Yi-king et la plupart de ses commentaires, tous les Chinois ne pouvaient pas le consulter. On le considérait comme un oracle particulièrement sacré ne pouvant être utilisé que par une minorité formée des membres de deux groupes : Le premier groupe comprenait les dirigeants des hautes sphères, les administrateurs et bureaucrates de l’Empire chinois : princes de la Maison impériale, gouverneurs de provinces et de grandes villes, guerriers de haut rang, etc. Le second groupe était formé d’hommes supérieurs : savants, lettrés et philosophes éminents, sages qui consacraient leur vie à la contemplation assidue des vérités éternelles. Inévitablement, les écrits destinés à de telles personnes comprenaient beaucoup de conseils sur les matières les concernant : stratégie et tactique militaires, par exemple. L’avis donné sur de tels sujets par le Yi-king était sans aucun doute d’une grande valeur pour les soldats d’il y a 500 ou 15000 ans ; même pendant la Deuxième Guerre mondiale nombre de généraux japonais consultèrent le Yi-king et ses commentaires et s’inspirèrent de passages comme celui-ci : aucune honte à battre en retraite dans l’intention de consolider ses forces pour l’attaque. » Ceux d’entre nous qui vivent une vie sédentaire, travaillant à l’usine ou dans un bureau, habitent en banlieue ou dans un appartement en ville, ne peuvent appliquer ces conseils à leur situation que s’ils les interprètent de façon symbolique. Cela n’est pas toujours aisé, on peut mal comprendre un tel symbolisme, ou le déformer pour faire dire au Yi-king ce que l’on a envie d’entendre. Autre difficulté : le texte du Yi-king emploie souvent des métaphores et des symboles empruntés à la vie religieuse, politique ou sociale de la Chine d’il y a 3 000 ans. On trouvera ainsi de nombreuses références au chaudron sacrificiel, objet que l’on ne trouve pas communément dans les maisons occidentales, ni même dans celles des Chinois aujourd’hui. De même, dans certaines circonstances l’oracle conseille de faire comme le renard qui marche sur un lac gelé : scène que peu d’entre nous avons jamais vue.

Les étudiants sérieux du Yi-king, qui le consultent régulièrement dans l’une de ses nombreuses traductions, s’habituent rapidement aux symboles et métaphores et sont vite capables de les interpréter aisément. Néanmoins, le symbolisme oriental du texte original et son chatoyant cortège de chaudrons, tigres et renards à queue mouillée, n’auraient pas leur place dans ce livre. Donc les conseils du Yi-king sur la façon de traiter les situations de la vie quotidienne, à propos d’amour, d’argent ou de tout autre chose, seront ex-primés ici d’une façon contemporaine, donc modifiée.
Le temps et le Yi-king Avant de vous expliquer comment maîtriser les techniques nécessaires pour obtenir un conseil de l’oracle, il nous faut considérer un point important sur la nature d’un tel conseil. Contrairement à la plupart des livres d’oracles, le Yi-king ne donne pas des prédictions absolues sur l’avenir. Les sages qui ont créé et développé l’oracle adhéraient à une philosophie spirituelle soutenant que par une action correcte, hommes et femmes pouvaient forger leur propre destin. En adoptant une bonne attitude face à des circonstances et événements particuliers, l’homme cessera d’être ballotté par les vents du destin et utilisera ses propres forces pour décider de ce que lui réserve l’avenir.


Tirage Tarots exemple 2

Question : Est ce que ma fille me racontera ses problèmes ?


Points à souligner: Le bloc psychologique est déjà révélé par la façon dont la personne pose la question. Dans la colonne centrale, en progression de bas en haut, deux personnages sont liés à une illusion (Le Diable), et par la suite les deux personnages, dans le Soleil, se réconcilient dans la fraternité et la communication.
Dans les rangs de la solution, la corde de cravate est coupée par la Justice, qui la porte autour du cou.

Dans le passé: les problèmes de contrôle de la vie (Roue de la Fortune en Sens Inverse), dans lesquels il a eu des problèmes avec sa fille se sont finit à sens unique (Justice).

Dans le présent: la situation est bloquée. Les deux sont enchaînés dans des illusions mentales (Diable), il faut être deux pour pouvoir discuter!

A l’avenir: problèmes de choix, la communication entre les humains (l’amant dans le sens inverse), mais aucune chance de réussir matériellement pour trouver une solution (le Chariot dans lequel vous pouvez voir une cabine téléphonique regardant La Papesse en Sens contraire.

La personne peut appeler sa fille. Dites-lui qu’elle a un problème. Le Tarot répond clairement que la communication est la solution. Quand la personne admet qu’elle peut faire un geste, le Papesse peut être repositionnée dans le bon sens en regardant la justice.

 


Tirage Tarots Exemple

Questions : Est ce que je vais trouver mon chez moi cet été ?


Points à noter: ce qui est statistiquement incroyable, c’est que la notion de maison apparaît dans la moitié des cartes extraites: dans la Lune, dans la Maison de Dieu et dans le Soleil (le mur). De plus, la notion de couple apparaît plusieurs fois: le Soleil et la Lune, l’un au-dessus de l’autre, les deux petits personnages du Soleil et du Diable, l’Empereur, l’homme du couple et l’Amant. Ces notions de couple et de maison sont liées et des discussions ont eu lieu à ce sujet. Christine confirme ce que nous dit le Tarot.

Dans le passé: la Lune au contraire représente souvent des conflits, qui semble avoir été résolus par une bonne et saine communication les uns avec les autres sur les travaux de construction (Soleil)

Au présent: la maison est droite, cette carte répond positivement.

Pour le futur: ça peut se réaliser, mais il y a un problème. L’Empereur est un homme qui concrétise des projets sur terre, et qui est en sens inverse. L’homme a un problème en relation avec cette maison, tourne le dos et regarde l’amant.

Le diable en solution apparaît souvent aux gens qui manquent de fermeté, qui n’osent affirmer leur logique, leur empreinte, leur système de pensée. Christine doit oser s’affirmer dans ce qu’elle veut: si elle impose sa façon de voir les choses, elle passera son été chez elle et aura sa maison.


Métier Gémeaux

Le Gémeaux adolescent se sent capable d’exercer avec le même succès plusieurs métiers ; par ailleurs, il est très jeune de mentalité et ne tient pas beaucoup à entrer dans le monde des adultes, ce monde où l’on travaille et où l’on prend sérieusement ses responsabilités. Ce qu’il déteste, dans le fait de choisir une carrière, c’est qu’il va devoir se borner à aller dans une seule direction, alors que toutes l’attirent et que ce qu’il aime surtout, c’est le changement. Devant ce problème, certains Gémeaux ne se résignent jamais, qu’ils en aient ou non conscience, à choisir une carrière : ce sont de ces gens qui passent sans cesse d’un métier à l’autre et ne se résolvent pas à se spécialiser, Ce que les Gémeaux devraient savoir, c’est que le choix, s’il est bien fait, peut parfaitement ne pas exiger d’eux la limitation à une seule espèce d’activité, situation qui les brise et les frustre.

Dans la multiplicité des professions, il en existe qui présentent la possibilité d’avoir des occupations très diversifiées alors même que l’on pour-suit une seule et même carrière. Ce qu’il faut avant tout rechercher, pour un Gémeaux, c’est, sur le vaste clavier des multiples professions, celles qui permettent de mettre en valeur les qualités de rapidité, d’adaptabilité, de sociabilité des Gémeaux. Cela pourra être un travail polyvalent, varié, itinérant. Ce sera aussi une occupation permettant de larges et nombreux contacts avec le public, car c’est ce qu’un Gémeaux fait le plus volontiers. On peut confier à un Gémeaux des responsabilités, même très sérieuses, il saura toujours y faire face. Dans la mesure où son système d’organisation ne dépend que de lui, sa rapidité compensera facilement les creux provoqués par son éventuel manque d’assiduité. Toutes les professions qui entraînent une communication avec les tiers, avec le public, lui conviennent. Le métier de conseiller en relations publiques semble être un de ceux qui lui conviennent le mieux. Au second rang viennent les professions commerciales dans le métier de vendeur.

On remarquera que ce choix ne doit pas impliquer un effort musculaire, le Gémeaux n’ayant généralement pas une très grande force physique. Il est toujours du côté des minces et des nerveux. Les métiers du spectacle peuvent le tenter, mais il n’atteindrait, d’après ses caractéristiques, qu’assez difficilement à la véritable grande gloire, parce qu’il n’est ni assez robuste ni assez persévérant dans l’effort. Toutefois, dans le spectacle de variétés, ou à titre d’animateur, meneur de revue, présentateur, un Gémeaux peut se faire une belle place.

Son attitude au travail

C’est surtout dans sa manière d’aborder le travail que le Gémeaux témoigne de sa mobilité. Il parvient toujours à s’organiser en fonction des circonstances. Il ne répète jamais le même mouvement et ignore ce que sont les habitudes. Il est inventif, vif et précis, et n’a pas besoin d’une observation approfondie ni de longues réflexions pour savoir comment s’y prendre. Il lui suffit souvent de savoir à quel résultat il doit arriver ; il trouve le meilleur moyen lui-même. Est-il besoin d’envisager pour lui la possibilité de s’inclure dans une équipe ? Il n’est réellement pas fait pour cela et sa manière toute personnelle de travailler constitue un obstacle à une mise en commun d’un même effort. Son style de travail est unique et même deux Gémeaux se livrant à la même besogne dans des conditions semblables n’agiront pas dans le même sens, ne prendront pas le travail par « le même bout ». S’ils veulent réussir leur existence sociale, les Gémeaux doivent refréner leur esprit de raillerie et d’ironie. Sauf s’ils adoptent la carrière de polémiste ou de chansonnier ! Ils doivent dominer leur impatience et leur nervosité, sous peine de se rendre malades d’anxiété. Les Gémeaux doivent donc développer en eux, pour équilibrer mieux leur personnalité, un élément essentiel : la conscience de ce que l’on est, de ce que l’on fait, de ce que l’on vaut. Il ne faut pas se laisser aller, il ne faut pas se prendre trop à la légère, ne pas se moquer de soi, il ne faut ni s’ignorer, ni se résigner, ni s’oublier.


Signe des Gémeaux

Une psychologie dite primaire

Chez un Gémeaux, c’est le premier mouvement qui est le bon, c’est la première impression qui compte. Il possède une personnalité vive et spontanée. En cela, on peut le comparer au natif du Bélier qui, lui aussi, a une psychologie primaire. Le second signe du Zodiaque, le Taureau, apporte à ses natifs un caractère secondaire, c’est-à-dire réfléchi, n’obéissant à son premier mouvement qu’après un intervalle de quelques secondes… Avec les natifs des Gémeaux, la spontanéité est aussi rapide que chez le Bélier, mais le mouvement, le style de la réponse sont plus légers, moins énergiques, moins forts, et la brutalité qui peut, par-fois, se rencontrer chez un Bélier n’existe qu’exceptionnellement chez un Gémeaux. Pour se rappeler cette distinction, il suffit de se rappeler la différence qui sépare la vivacité du feu de la rapidité de l’air : le Bélier est un signe de Feu, le Gémeaux est signe d’Air. On se rend compte du rôle que jouent les éléments dans la personnalité des sujets. Devant la vie, devant les faits, un Gémeaux saisira immédiate-ment l’essentiel ; il le recevra, le sentira, l’adoptera, l’acceptera, le comprendra à l’instant même et réagira en conséquence. Toutes les impressions reçues produisent en un instant leur maximum d’effet. Mais, chez la majorité des natifs de ce signe, il n’en reste rien ensuite ! Cela exprimé sous une forme schématique qui varie dans le détail suivant la personnalité de chacun. C’est une forme de caractère qui implique une grande largeur du champ des observations. Le Gémeaux voit et perçoit très vite. Il reçoit de nombreuses impressions simultanées et celles-ci couvrent un large champ d’observation.

Que va-t-il faire de toutes ces impressions ?

Un « secondaire » réfléchirait, ne serait-ce qu’une seconde, et choisirait l’une d’entre elles pour l’exploiter à fond. Le Gémeaux voit tout, note tout, mais n’utilise qu’une infime partie de sa récolte. Cependant, la récolte est vaste, elle couvre un large champ d’observation. Par conséquent, si peu qu’il lui en reste, c’est encore beaucoup par rapport à ce que récolte le Taureau. Le Gémeaux ne « collectionne » pas les informations, il ne les « engrange » pas ; il les relâche comme il le ferait d’oiseaux libres qui se seraient fourvoyés dans son grenier… L’intérêt de cette sorte de caractère réside surtout dans sa faculté d’oubli des impressions subjectives.

Les effets de la spontanéité

Le natif des Gémeaux n’est pas un être pour qui la vengeance est un plat qui se mange froid. S’il désire se venger, c’est à la minute même, sans attendre, sous l’impact de la contrariété, qu’il souhaite le faire. Une heure après, il est déjà trop tard : ou bien l’incident est admis et classé, ou bien il ne laisse aucune trace et il est oublié. Le natif des Gémeaux est un être très éloigné de la rancune, il ignore ce sentiment. Le Gémeaux est l’être le plus prompt aux enthousiasmes hâtifs. Il se passionne pour une personnalité qu’il découvre ; il prend feu pour une mode nouvelle ; il se jette avidement sur un projet ; mais rien ne sera bon qui ne puisse se réaliser immédiatement. La personne qui lui est sympathique répondra peut-être avec amitié ou passion à ses avances ; ce sera parfait. Si cela ne se produit pas, qu’importe’: Au bout d’un temps très court, la déception sera effacée par un élan semblable envers quelqu’un d’autre. S’il y a réponse favorable, si le contact s’établit, les sentiments du Gémeaux peuvent devenir très vifs, mais rarement pendant long-temps ; le Gémeaux classique, à l’état pur, n’est pas un être constant. S’il adopte un projet agréable ou qui l’inspire, il fera en sorte de le réaliser dans les moindres délais. Si un obstacle l’oblige à remettre à plus tard la mise en route de cette réalisation, si cette réalisation exige une préparation longue et minutieuse, qu’est-ce que cela peut faire ! On renonce ! Il y a tant et tant d’autres projets possibles !

Le Gémeau est un être spontané, vif, rapide, essentiellement mobile.

Il est ainsi parce qu’il est sous un signe d’Air et que rien n’est plus mobile que l’air. C’est la brise, c’est le vent, c’est la tempête, c’est le tourbillon, mais c’est aussi la vie, l’oxygène revivifiant, le dynamisme et la vitesse ; c’est souvent l’efficacité. Le Gémeaux est un voyageur. N’est-il pas sous l’influence de Mercure, le dieu qui a des ailes aux talons ? Ce n’est pas sans raison qu’on lui attribue ce parrainage, ou bien disons que la présence de ce parrainage n’est pas sans effet ; comme on voudra l’entendre. Une des conséquences de ce caractère de mobilité, c’est un perpétuel désir de ne pas se trouver « engagé ». Il est l’être qui s’en va dès que tout semble vouloir le retenir. Il ne restera jamais immobilisé dans une situation qui s’éternise, car il s’y sent englué. L’attention des natifs de ce signe a beaucoup de difficulté à se fixer pour une certaine durée ; c’est un esprit qui n’aime pas faire l’effort de se concentrer, car cet effort lui est pesant et désagréable ; il n’en a heureusement pas souvent besoin. En cela, il s’apparente au Bélier, autre caractère « primaire ». Pour répondre à cette aspiration qu’il a toujours de voir les problèmes se résoudre rapidement, le Gémeaux a une forte tendance à choisir les solutions astucieuses ; il a sa logique : plus une solution est rapide, plus il a tendance à l’adopter. Il pense vite et souhaite que tout le monde en fasse autant. Il n’est pas toujours un champion de la ponctualité, mais il va vite. Sa mobilité reste souple. Le Gémeaux ne va pas bousculer son entourage pour activer le mouvement. Il sait très bien se faufiler, se glisser entre les obstacles, passer là où un Taureau s’arrêterait pour reconsidérer le problème. Il n’exige cependant pas que les autres partagent son goût de la rapidité ; il sait avoir ce goût en lui, et les autres sont « comme ils sont ».

Le Gémeaux est une personnalité adaptable

Le fait d’accueillir et d’utiliser rapidement les impressions reçues entraîne à une faculté qui n’est pas très répandue : l’adaptabilité. Lorsqu’un natif des Gémeaux, particulièrement doué par suite de l’influence de ce signe zodiacal  pour les changements de position, de situation, de domicile ou autres, se trouve dans l’obligation de réaliser un de ces changements, il met à s’adapter à sa nouvelle situation autant de rapidité qu’il en a mis à fuir la précédente. Il change et il s’adapte. S’il change de profession, le Gémeaux ne perdra pas beaucoup de temps pour se mettre au courant de son nouveau travail. Sitôt arrivé, un regard circulaire lui donnera une information suffisante sur ses nouveaux collègues dont il saura immédiatement quels sont ceux qui lui accorderont leur aide. En même temps, il aura entendu les explications qu’on lui aura données pour fixer son rôle au sein de cette entreprise ; et, toujours en ce même instant, il aura décidé de la manière dont il exécutera ce qui lui est confié avec le minimum de problèmes. Cette adaptabilité se manifeste aussi sur le plan des relations affectives. Il est à peu près certain que le Gémeaux n’est pas un être fondamentalement fidèle ; bien qu’il puisse le devenir en fait, ce n’est pas instinctif chez lui.

La dualité des Gémeaux
Il faut songer, en essayant de dépeindre la psychologie des natifs du signe des Gémeaux, au fait qu’il s’agit d’un signe double. Le signe des Gémeaux est représenté par des êtres humains et non des animaux, comme la plupart des signes zodiacaux. Avec un signe de représentation à figure humaine, il y a la volonté d’une grande mesure dans les traits caractéristiques : c’est seule-ment en caricature que l’on est tenté de créer des hommes-animaux, ou dans un graphisme symbolique très poussé. Nous avons donc ici une personnalité double, mais dominée par la raison, cette qualité que l’Homme dit lui être propre. La raison, l’intelligence, la parole, tout cela entre en compte dans la personnalité symbolisée par le signe des Gémeaux. Le Gémeaux sent en lui, plus que tout autre, la présence d’un autre moi qui, éventuellement, peut fort bien l’observer en action et commenter cette action. De sorte que le Gémeaux, en même temps qu’il agit, se regarde agir et se juge. Cela crée la facilité que nous avons déjà signalée de se détacher du milieu ambiant pour se « transporter » ailleurs.
Le physique des Gémeaux Le Gémeaux se rattache à la catégorie des nerveux traditionnels à dominante sèche. Le physique est longiligne ; cela exprime parfaitement que sa taille est haute par rapport à sa carrure ; qu’il a le visage ovale plus que rond ; que ses doigts sont longs et minces ; que ses membres se révèlent très déliés.

Il est généralement d’une taille au-dessus de la moyenne des types morphologiques de sa région, de sa race. Lorsqu’il n’est pas de haute taille, il est miniaturisé, c’est-à-dire que, même de taille moyenne ou de petite taille, il a toujours la silhouette élancée, parce que ses proportions restent les mêmes. Astrologiquement, en raison de ses caractères, au point de vue de son signe de naissance, les organes les plus importants chez lui sont ceux de la locomotion et ceux de la relation : les bras et les jambes allongés. En général, le visage est triangulaire, avec prédominance du front ; un visage de chat. Le menton est fin, étroit, parfois pointu. Les yeux, généralement grands, ont le regard vif, souvent moqueur. Ils expriment la plupart du temps une attention en éveil avec une pointe d’ironie sous-jacente. Le Gémeaux est un signe d’Air. Éminemment mobile et rapide, il s’extériorise volontiers par des gestes, qu’il a très vifs et très précis à la fois. C’est un personnage nerveux, ou apparemment nerveux. Sous un autre aspect, il refuse cette nervosité et tâche de la faire disparaître, tout au moins en apparence. Il arrive qu’il contienne volontairement ses réactions, soit par principe personnel, soit par éducation. II est alors très sobre, presque excessivement sobre de mouvements et d’expressions ; au lieu que les remous intérieurs s’extériorisent et apparaissent nettement sur ses traits et dans ses gestes, tout est contenu et subsiste toutefois, mais à l’intérieur de son être. Alors se développent en lui des tempêtes, d’autant plus rudes qu’elles sont contenues, et des tourbillons émotionnels ignorés de tout son entourage et surtout de ceux-là mêmes qui lui reprochent parfois de manquer de coeur, d’affection, de tendresse. Il jouit d’une très grande et très réelle vitalité. Il peut subir impunément des chocs qui abattraient tout autre, même plus robuste et plus lourd que lui. Lui, il s’en remet. Sa vitalité apparaît dans ses attitudes, qui ne sont jamais embarrassées, ni maladroites, mais restent volubiles, vives, variées, expressives et toujours fort à propos. Très extériorisé, il est loquace. Il est disert, gai, moqueur. Il imite fort bien les autres et sait être très vivant et amusant en société. Sa poignée de main est ferme et souple, jamais dure, mais expressive, significative et variant avec le sentiment qu’il éprouve envers ceux à qui il la donne.


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Salon de la voyance

Les plus grands Salons de la voyance

En 2018 la voyance est reconnue. Les bons mediums et les bonnes voyantes existent bel et bien. Les salons de la voyance sont un élément rassurant à connaître pour qui fait appel pour la première fois à une voyante, une medium ou une Tarologue. Le rôle d’un medium n’est pas de vous dire quoi faire mais de vous aider à voir les chemins qui se proposent à vous dans le domaine professionnel ou encore amoureux.

De par le monde il existe des salons de la voyance très réputés. En voici quelques uns :

 


Signe Astrologique Taureau

Le Taureau est le deuxième signe du Zodiaque. Le premier signe, le Bélier, possède un caractère essentiellement masculin. Le Tau-reau est un signe féminin. Cela ne veut pas dire que les hommes natifs de ce signe sont efféminés, loin de là ! Le caractère du Bélier est primaire, celui du Taureau est secondaire. Le Taureau reçoit des impressions et des sollicitations et les « rumine » avant de se mouvoir. Cela ne nuit ni à sa force ni à ses dualités intellectuelles : c’est simplement une autre façon d’être, un autre style.

Charme, délicatesse et jalousie

Natif et native du signe zodiacal du Taureau possèdent dans tous les cas un grand charme personnel. Le charme est un élément de la personnalité qui se distingue de la beauté avec laquelle il a peu de rapports. Les signes du Zodiaque ne sont pas plus dispensateurs de beauté qu’ils ne le sont d’intelli-gence ; ils répartissent d’autres éléments. Les natifs (nous incluons toujours dans ce pluriel les natives) du Taureau ont beaucoup de sensibilité et apprécient les plaisirs de la chair ; cela, pourtant, reste exprimé dans un style direct, radicale-ment éloigné de toute perversion compliquée. Nous ne rangeons pas dans ces perversions l’homosexualité car elle est involontaire. Chez l’homme de ce signe, la chair féminine constitue en toute simplicité un avant-goût du paradis, tandis que chez les femmes, on décèle une  passion spontanée pour les hommes de belle stature, de physique avantageux et de lèvres gourmandes. Les Taureau, hommes et femmes, sont presque toujours à la fois jaloux et coléreux. Cela peut donner des mélodrames affreux ou simplement de bonnes querelles de ménage retentissantes, au sortir desquelles on se livre à des séances de réconciliation qui sont capables de souder définitivement une union si besoin était.

Un épicurien, une épicurienne !
On peut dire que, dans les profondeurs de l’âme d’un natif du Taureau, s’entremêlent des instincts et des tendances obscures qui jamais n’apparaissent au grand jour. Cela se masque très bien sous un grand respect des marques extérieures de la morale et des bons usages. Il arrive même que l’on rencontre des natives de ce signe qui, avec l’âge, exagèrent cet amour des apparences morales et deviennent confites en dévotion et en bonne moralité, plus superficielle que sincère, car les sentiments tortueux ne les gênent pas. Il faut cependant considérer que Vénus déploie une grande activité dans ce signe. L’influence de cette planète apporte au personnage, homme ou femme, un goût délicat qui est inné, le sens de l’élégance, l’amour du confort, le désir de réunir autour de soi les éléments d’un foyer réellement apaisant, heureux, facile, agréable, avec de la beauté, de la chaleur, une bonne nourriture, de bons livres, de la belle musique, toutes choses qui font la vie douce et plaisante. On accorde au signe zodiacal du Taureau deux caractères qui le stigmatisent et expliquent son action sur ses natifs. D’abord, le fait d’être un signe de Terre. Il s’agit de l’élément le plus dense des quatre qui sont : le Feu, la Terre, l’Air et l’Eau. Le Taureau dépend de l’élément le plus consistant. C’est aussi le plus solide et le plus stable. Par ailleurs, il est un signe fixe. Ces diverses indications se retrouvent dans la personnalité du natif. Le Taureau est un signe cristallisant, qui condense les énergies printanières et pousse vers leur réalisation toutes choses en formation. La mise en train est réalisée par le Bélier, dispensateur de la chaleur. Dans le même mouvement, le Taureau ne peut pas être un caractère primaire ; il est un continuateur, et non un novateur. Le natif du signe a un caractère plus réfléchi que spontané. Chez lui, les impressions et les informations perçues par les sens s’inscrivent lentement, pénètrent dans les replis de la mémoire et s’y gravent profondément ; elles n’influent sur le psychisme qu’après avoir été analysées.

L’importance du passé

L’importance donnée au passé est bien l’une des conséquences directes évidentes du caractère secondaire de la psychologie du Taureau. On peut dire que le Taureau regarde et considère ce passé plus facilement qu’il ne se tourne vers l’avenir. C’est encore un trait de caractère par lequel il se différencie du Bélier. Le natif du signe du Taureau est un être sensible, qui se laisse docilement marquer par ses émotions. Une blessure morale, un chagrin ont sur lui des effets de longue durée. Il n’oublie pas. Et quand il pense avoir oublié, son subconscient reste encore soumis à son passé. Pour un Taureau, tout est durable. Ses attitudes intellectuelles comme ses sentiments. S’il se fâche, il met longtemps à revenir sur cette réaction et faire la paix avec lui n’est pas chose rapide. Il persiste dans la mauvaise humeur comme, ensuite, il persistera dans le regret de cette mauvaise humeur. S’il a des remords, il les a pendant longtemps. Mais il a autant de persévérance dans ses bons sentiments : son amitié est longue, constante. Son dévouement ne cesse pas vite ; il n’est pas facile à décourager et il persévère dans ses entreprises. Il a des habitudes et il y tient : rien ne le contrarie comme de modifier l’ordre établi du déroulement de sa journée ; il n’apprécie pas les improvisations. Il peut supporter les affronts sur l’instant, puis, comme si l’impression pénétrait lentement en lui, tout à coup, il éclate et proteste. Beaucoup plus tard, la blessure peut se rouvrir inopiné-ment, révélant qu’en fait elle ne s’est jamais cicatrisée. Sur le plan physiologique, le Taureau est classé « lymphatique-nerveux ». Certains auteurs décrivent le natif du Taureau comme un individu aux formes massives : c’est une impression intellectuelle. Il est des Taureaux volumineux mais il en est de fins, de déliés, selon des éléments secondaires influant sur leur complexion.

Un être avide et sain
L’instinct du Taureau est surtout fait du goût de vivre, de self-défense, d’une avidité étrange de posséder le monde tout entier, et d’une grande facilité d’épanouissement de la vie individuelle ; cela s’accompagne d’un certain désir de sécurité, et, par-dessus toute chose, de la recherche du confort. Un natif du signe du Taureau est avant tout un être moralement et physiquement sain. Il se sent en contact avec l’universelle nature et il participe ardemment au cycle des saisons. Il aime suivre ses instincts et, sur le plan de la sexualité, ceux-ci sont assez impérieux. Il a généralement une grande ardeur sexuelle. Les instincts qu’il a tendance à suivre sont de capter, de prendre, d’attirer, d’absorber, de digérer. Tout cela se définit par l’importance de la bouche. Le Taureau n’est pas sans avidité réelle ni gourmandise. Il aime absorber et il aime gagner ; il lui arrive d’être très âpre au gain. Il veut posséder et de préférence de la terre. Cela le rassure. Il convoite, il envie, il désire. Le Taureau adopte la même position sur le plan affectif car sa nature forme un tout homogène. En amour, il est avide et particulièrement jaloux. Il faut qu’il enveloppe, qu’il attire, qu’il conquière, qu’il absorbe. C’est un envoûteur. Lorsque les planètes Jupiter et Mars sont présentes dans son ciel de naissance, elles favorisent ces tendances.

Le physique du Taureau
Le visage du natif du Taureau affecte souvent une forme susceptible de s’inscrire dans un trapèze plus large en bas qu’en haut. Les mâchoires sont développées, donnant une grande importance à la bouche. Le front est large, le nez droit et large, les yeux grands, saillants et écartés. L’ensemble de la personne est bien en chair, de construction solide et forte, avec un cou épais et de larges épaules. On distingue trois types physiques du Taureau. On a le type « vache », qui est d’un naturel lymphatique, avec une morphologie convexe : le bas du visage, le front et le ventre sont proéminents. En second lieu; on a le type « boeuf », moins lymphatique, plus calme que mou. Il est laborieux, tenace et fort. Ses traits sont moins convexes. Le bas du visage est large, mais avec la charpente maxillaire énergique. Le front est bombé, mais haut et découvert ; enfin les volumes du corps sont de muscles plus que de tissus graisseux.

Enfin, on a le type « Taureau » pur, vif, brusque, musclé, sanguin, puissant, passionné et coléreux. Étant donné l’existence de ces trois subdivisions d’un même type, on n’a plus lieu de s’étonner de découvrir parmi les natifs du Taureau des natures en apparence très diverses et des personnes physiquement très différentes et bien loin de ressembler à l’animal symbolique. On dit qu’on reconnaît facilement dans la rue le natif du Taureau à la seule vue de sa démarche. S’il est accompagné, le Taureau coupe sa marche de brusques arrêts et de pauses pour accentuer ses paroles ; mais s’il va vers un but précis, avec un horaire déterminé, il adoptera une allure ferme et régulière d’un bout à l’autre de son trajet. Il a la démarche traînante. Il y ajoute une tendance presque constante à baisser la tête, gardant le regard presque toujours fixé au sol et présentant non seulement le front, mais souvent le dessus de sa. tête. Il semble donner au sol une grande importance et vouloir s’y appuyer et s’y enfoncer à chaque pas. Sa poignée de main est chaude, accueillante, bienveillante. Chez la femme, la voix est douce et très agréable, charmante.


Conseils sur Femmes Taureaux

On peut se tromper sur les sentiments des Taureau parce qu’ils ne sont pas très démonstratifs.

Un Taureau peut se noyer dans de longues périodes de silence, mais cela n’implique aucunement qu’il n’apprécie pas d’avoir un compagnon, une compagne. Ce silence reste le plus souvent inexpliqué ; si c’est l’homme qui est « Taureau » et sa femme d’un autre signe, cette dernière se sentira désespérée devant l’attitude de son mari. Il y a là une tendance sur laquelle les Taureau doivent veiller. Si, à l’inverse, c’est une femme Taureau qui se plonge dans ce silence, son mari sera frappé et se posera des questions. Le Taureau a le don de commettre des erreurs et de mal placer son affection. Il choisit impulsivement et n’utilise pas, dans ce domaine, la lenteur réfléchie qu’on lui connaît par ailleurs et que, parfois on lui reproche. Il se laisse entraîner, dans le domaine de l’amour, par l’attrait physique qui répond à son besoin de rapports sexuels satisfaisants ; dans sa hâte, au lieu de tenter simplement une expérience, il se précipite dans l’absolu et donnerait aussi bien toute sa vie pour un moment de plaisir. Le Taureau, s’il veut être comblé en amour et fonder un foyer heureux, doit d’abord éviter une tendance légèrement masochiste, qu’il a d’instinct, de choisir un partenaire qui critique ses habitudes ; car ses habitudes, le Taureau ne les changera pas, il devra plutôt se résoudre à changer de partenaire, ce qui n’est jamais bon. Taureau qui me lisez, il faut rectifier ce trait de caractère qui vous nuit dans la construction d’une véritable vie affective et d’une union fondée sur l’amour et la confiance. Pour cela, luttez contre votre éternel entêtement.

Dès que vous constatez que le partenaire aimé est bien l’être de votre vie, demeurez près de lui, mais ne tentez pas de lui faire dire trop tôt qu’il est d’accord avec vous. Et si vous voyez que vous vous êtes égaré et avez misé sur le mauvais cheval, retirez la mise : ce n’est vraiment pas nécessaire d’être persévérant. Ainsi pourrez-vous remédier à ce qui, chez vous, devient parfois une entrave au bonheur.

En bref on pourrait dire que, dans l’amour, les natifs du Taureau, hommes et femmes, veulent ce qu’il y a de meilleur, mais sont Finalement disposés à accepter quelque chose de bien inférieur. Il arrive ainsi que la tendresse annule les exigences de la sexualité. Ce sont des gens qui ont besoin de faire des expériences. S’ils s’unissent définitivement avant d’avoir accompli ces explorations, il faudra bien qu’ils cèdent à leur besoin de variété en donnant quelques coups de canif, en définitive assez anodins, dans le contrat de mariage. Que leur conjoint le leur pardonne et tout rentrera dans l’ordre.

Conseils aux hommes concernant les femmes natives du Taureau

Si vous êtes épris d’une femme native du signe du Taureau, il faut que vous la connaissiez bien pour ne la point heurter et pour lui donner le bonheur qu’elle attend de vous. Il est nécessaire que vous sachiez d’abord que la native du Taureau apprécie en l’homme la force, l’énergie, l’autorité et la capacité de diriger. Elle semble forte, niais elle préfère que ce soit vous qui exerciez la force. Si elle manifeste quelques caprices, il sera bon de céder sur certains points pour lui faire plaisir ; mais il faudra aussi rester fermement sur vos positions en d’autres points, car elle doit sentir que vous êtes capable de volonté, vous aussi. Si vous étiez trop faible, trop facilement consentant, elle risquerait de vous retirer son estime et sa considération. Elle n’apprécie absolument pas la fragilité. Certaines femmes, nées sous d’autres signes, se font volontiers maternelles pour consoler un homme. Ce n’est pas le cas de la native du Taureau. Pour elle, l’homme doit être fort ; il console, mais n’a pas besoin de se faire consoler ni dorloter. Une native du Taureau, comme tous les natifs, hommes et femmes de ce signe, apprécie le luxe et le confort. Elle aime les belles choses, les étoffes douces et moelleuses, les meubles solides et beaux, les jardins bien soignés. Pourrez-vous lui donner cela ? Il le faut pour son épanouissement. Il le faut, même si vous devez consacrer à votre travail professionnel et à vos ambitions un temps que vous auriez aimé lui réserver. Elle vous saura gré de vos efforts et vous en témoignera sa reconnaissance par encore plus d’amour. Sur le plan sexuel, une native du Taureau est en mesure de donner les plus grandes satisfactions à son mari.


Comment devenir Medium ?

 “Comment peut-on être Persan ?” s’étonnait Montesquieu, en 1721, et les internautes demandent aujourd’hui : Comment peut-on être médium clairvoyant ?

Autant dire « Comment devient-on médium clair-voyant et acquiert-on le a sixième sens » ? N’étant pas clairvoyant, est-il possible de le devenir ? Si on l’est, comment se perfectionner, faire s’épanouir le don merveilleux ? » Eh bien ! répondons que pour tout « extra-lucide comme pour toutes les classes de médiums le point de départ varie. Ils n’ont que ceci de commun ils ne sont pas médiums parce qu’ils l’ont voulu. Leur aptitude fut spontanée. On a dit qu’elle reste ce qu’elle fut à l’origine, sans progresser, jusqu’à s’atrophier et à périr. Je suis, je crois, placé pour assurer qu’avec l’exercice la médiumnité clairvoyante et vraisemblablement les autres devient plus forte, plus active, plus exacte, mais elle ne doit alors son progrès qu’à elle-même, à sa stimulation secrète, sans que n’y ajoute rien, chez le sujet.

Pour enseigner, il faudrait qu’il eût une pédagogie défi. nie et qu’elle s’appliquât à tous les êtres,à tous les tempérament. Or, aucune médiumnité ne peut se superposer à une autre et les modes opératoires de chaque clair-voyant sont autant de cas particuliers, expressions d’un mécanisme général, encore inconnu. Leurs horlogeries psychiques » ne sortent jamais de la même fabrique. Vouloir éduquer un médium, c’est risquer de casser tous ses ressorts.

La Clairvoyance peut être congénitale, même héréditaire. Il se pourrait même qu’elle fût congénitale dans tous les cas, mais, faute d’une occasion, d’une provocation, il advient qu’elle ne se déclenche jamais. Physiologiquement, les moments favorables à sa mise en marche » sont la puberté, la ménopause. D’autres raisons l’éveillent brusquement : une secousse morale, une blessure, un spectacle effrayant, une intervention chirurgicale et aussi une «contagion mentale » (possédés, convulsionnaires, mesmériens, spirites). Si les fameux cercles d’initiation de l’antiquité ont produit des «interprètes de la sagesse cachée », ces divers « chocs » y ont dû être utilisés par les maîtres.

A la recherche des lois de la médiumnité.

Il y a médiumnité et clairvoyance. La Clairvoyance peut s’apprendre pas la Mediumnité.
J’ignore si certains ont découvert des techniques certaines pour se perfectionner. Je sais, quant à moi, que j’ai cru me définir méthodiquement des procédés opératoires. J’y avais foi. Je les ai appliqués. Ils ont abouti à zéro. J’y ai renoncé, comprenant que, jusqu’à nouvel ordre, introduire des raisonnements conscients, des principes fixes dans la vaticination médiumnique, c’est troubler le jeu où le subconscient seul, et, j’imagine, d’autres facteurs X, interviennent, qui n’ont rien de commun avec
la raison raisonnante. Que, dans un temps, cette loi de l’errance aveugle, de la spontanéité plus ou moins délirante, cette nécessité de ne point s’observer et de se livrer, pieds et poings liés, au DAIMON, soient corrigées par des observations qui disciplineront la Clairvoyance, la feront, comme au laboratoire, passer par le crible des méthodes de science, je l’espère, mais je n’en suis pas sûr, et, pour tout dire, je n’en éprouve pas le besoin impérieux.

C’est en quoi j’offense, gentiment, mes amis métapsychistes quand, en admirant la probité, la ténacité avec lesquelles ils poursuivent leurs recherches, je présage, à leur oreille, que la loi mystérieuse dont ils voudraient tant élaborer le code échappera longtemps, longtemps encore je ne veux pas écrire toujours à leur généreuse emprise.

Médiums d’Asie, médiums d’Europe.

On me dira Vous parlez pour les médiums de l’Occident. Mais les voyageurs n’ont-ils pas rapporté qu’au grand Est, aux Indes, chez les lamas et les bonzes, il y eut de tout temps des collèges où la médiumnité, et de toutes formes, était et reste traitée comme une plante née d’un grain et peu â peu épanouie, telle un magnifique Baobab !

Encore une fois, je n’entrerai pas dans le détail. Il est possible que les Extrême-orientaux aient des pratiques d’enseignement, comme il put y en avoir chez les Esséniens et ailleurs dans l’antiquité. Mais, pour dire les choses simplement, et un peu comme :\ 1. de La Palisse, ces gens-là ne sont pas de chez nous. Tout différencie le Far East de notre ciel, de notre terre, de nos races, de nos philosophies et de tous nos comportements vers la culture générale et individuelle. L’illu-min» de là-bas se prive de manger, macère dans la médi-tation, plonge aussi profondément que possible dans son Nirvana, pour se mettre, dit-il, en état de voir l’invi-sible, de se promener à l’aise dans les énizrnes du monde inconnu au commun des mortels. Le médium clair-voyant, ici, n’est jamais si brillant, dans nombre de cas, qu’après avoir bien mangé, bien bu et s’être dopé, à l’occasion, d’une solution phosphosthénique. A la fin d’un festin, le verre en main, il est parfois étincelant. Il déborde d’inspirations, de vérités cachées. il jongle avec les révélations il fait le plaisir et l’étonnement de 1a, table. Ce constat, à lui seul, creuse un abîme entre l’illumination du fakir d’Asie et celle du médium européen.

Est-ce une infériorité pour ce dernier ?

Peut-être bien, mais j’ai que si, à tous les clairvoyants de France et de Navarre, on demandait « Êtes-vous Meilleur à jeun qu’autrement ? : une majorité répondrait Autrement » et n’en serait pas honteuse pour si peu. A chacun son tempérament. J’opine que, jusqu’à nouvel informé, l’extralucide blanc se souciera moins des disciplines de Lhassa et des « secrets » des Taoïstes, que d’écouter son génie familier à la façon capricieuse qu’il a de chanter.


Nostradamus

Est-il possible qu’un médecin et astrologue français du 15 eme siècle ait prédit la montée du communisme, l’abdication du roi d’Angleterre Edouard VIII par amour pour une divorcée, et même l’attaque japonaise sur Pearl Harbour ? Les quatrains symboliques de Nostradamus auraient annoncé des événements survenus dans le monde entier depuis l’époque de sa mort et d’autres drames à venir, notamment le cataclysme amenant la fin du monde. D’autres visionnaires ont consigné par écrit leurs prédictions d’une ruine universelle imminente. Qu’annoncent donc leurs visions ? Que peut-on espérer après cette dévastation ?
Il est minuit et l’astrologue monte l’escalier en colimaçon pour gagner son bureau secret en haut de la maison. Il sait qu’il n’y sera pas dérangé, sa femme retiendra les visiteurs importuns. Il s’assied devant un tabouret de cuivre à trois pieds, place une baguette de laurier entre ses jambes et se met à asperger d’eau le bord de sa houppelande et ses pieds. Pendant un moment il se sent terrorisé par la puissance qu’il est sur le point d’évoquer. Puis son courage revient, il pose un bol d’eau sur le tabouret et regarde en silence dans le liquide. Au bout d’un moment la puissance lui « parle » et il est « divinement possédé ». L’eau se trouble et il y voit l’avenir, images de guerre, famines, tremblements de terre, incendies et désastres. Allumant une bougie, il entre alors en transe et son voyage dans les temps futurs le mène de plus en plus loin en apportant davantage de détails. Alors que la voix de l’espace poursuit et que des images apparaissent dans l’eau, il consigne ses visions dans un épais cahier de vélin. Son activité dure jusqu’à l’aube. Avec les premières lueurs, il n’entend et ne voit plus rien. Il s’appuie sur le dossier de sa chaise, épuisé. En bas, sa femme va bien-tôt préparer le petit déjeuner. Dans un instant il la rejoindra, mangera avec elle, lui parlera des révélations qu’il a eues et se reposera jusqu’à la nuit prochaine reprenant ainsi son travail de divination. On dirait quelque mélodrame à l’ancienne mode, mais c’était une affaire sérieuse pour l’homme en question, le médecin et astrologue français Michel de Nostre-Dame, connu sous le nom de Nostradamus. Pour lui, il n’y avait rien d’absurde dans ce qu’il faisait ou dans ce qu’il voyait et entendait. C’était le moyen naturel, le seul, par lequel il pourrait, comme il l’a dit, « laisser un souvenir de moi après la mort pour le bénéfice commun de l’humanité, concernant les choses que la Divine Essence m’a fait connaître par des révélations astronomiques ». Nostradamus écrivit ces mots à son fils dans la dédicace de la première édition de ses fameuses Centuries, publiée à Lyon en mars 1555. Dans son oeuvre, le terme centuries ne se rapporte pas à des périodes d’une centaine d’années, mais à des séries de prophéties dont le nombre s’élève à cent par fascicule. Bien que les prophéties reçues par Nostradamus fussent parfaitement claires, il ne les a pas présentées à ses lecteurs de façon intelligible. Pour ne pas offenser l’Église et pour éviter une panique parmi la population, il les écrivit sous forme de quatrains dans un langage obscur et symbolique. Éminent érudit, Nostradamus usait dans ses quatrains d’un mélange de calembours, d’anagrammes (il écrivait, par exemple, Ripas pour Paris), de français, de latin et d’une langue inventée par lui.

« Si j’évoquais ce que sera l’avenir », expliquait-il, « ceux du royaume, des sectes, de la religion et de la foi le trouveraient si peu conforme à leurs toquades qu’ils en viendraient à condamner ce dont les temps futurs reconnaîtront comme vérité ».

Dans une lettre à son protecteur, le roi de France Henri II  dont, soit dit en passant, il prédit exactement la mort.

Nostradamus ajoutait : « Certains pourront répondre que la poésie est aussi facile à comprendre qu’un coup de poing sur le nez, mais que son sens est plus difficile à saisir. » L’astrologie connaissait alors une vogue qu’elle ne retrouvera pas avant les années 1930. Nostradamus fut soupçonné d’avoir fait un pacte avec le Diable. Homme vertueux élevé dans la crainte de Dieu, dont on savait qu’il avait brûlé des ouvrages d’occultisme allant contre les canons de l’Église, l’astrologue citait pour sa défense la Bible, d’après saint Matthieu (VII.6) : « Seuls ceux qui sont inspirés par la puissance divine peuvent prédire des événements particuliers dans un esprit de prophétie. » Sa vertu et son inspiration « divines » venaient directement, assurait-il, du Dieu créateur qui l’utilisait comme porte-parole de ses plans et de ses intentions pour l’avenir. Mélangeant savoir et intuition, Nostradamus s’intéressait aux faits futurs plutôt qu’aux dates. Il donna même une date fausse pour sa propre mort, car il disparut en juillet 1566 et non en novembre 1567 comme il l’avait prédit. Ce qui d’ailleurs ne nuit en rien au succès des Centuries qui, d’édition en édition, s’impriment depuis près de quatre cents ans. Ses méthodes nocturnes de divination s’inspiraient largement d’un ouvrage ancien intitulé De Mysteriis Egyptorum, dont une édition avait été publiée à Lyon en 1547. Son auteur, un philosophe grec du 4e siècle, du nom de lamblichus, recommandait fortement de se vêtir d’une houppelande, d’employer une baguette et un tabouret à trois pieds. Pour les disciples ultérieurs de Nostradamus, un tel apparat donnait plus de poids à ses prédictions.

Quand litières seront retournées par trombe de vent et que visages seront masqués, la nouvelle république sera troublée par son peuple.

A ce moment rouges et blancs prendront des décisions funestes.

Cela a été interprété comme l’annonce de la Révolution française de 1789 et de la venue de ce que Nostradamus appelait l’Avènement du commun, c’est-à-dire la prise du pouvoir par l’homme du commun. Par « rouges » et « blancs » il faudrait entendre l’époque de Robespierre et de la Terreur, le blanc étant la couleur des Bourbons jetés à bas de leur trône et le rouge celle des révolutionnaires. Une de ses rares prédictions indiquant une date déterminée a également trait à la Révolution française. Dans une lettre au roi Henri II du 27 juin 1558, Nostradamus prévoyait un soulèvement contre l’Église, disant : « Ce sera en 1792, année qui sera aux yeux de chacun l’âge du renouveau. » De fait, la République française, fille de l’anticléricalisme, vit le jour en septembre 1792. L’année précédente avait vu la fuite de Louis XVI et de Marie-Antoinette qui, ainsi que l’astrologue l’avait prédit, empruntèrent de nuit « un chemin détourné » avant de tomber aux mains de la populace et d’être décapités. Il est tout naturel que certaines des prophéties les plus exactes de Nostradamus, qui était français, aient concerné son pays.

Dans le septième quatrain de la Première Centurie comme un voyant d’aujourd’hui, il parle de « lettres interceptées en chemin », prédiction qui pourrait s’appliquer à la célèbre affaire Dreyfus trois cent trente-neuf ans plus tard. Dans ce déchaînement de l’antisémitisme qui divisa le pays, Dreyfus, bien qu’innocent, fut injustement condamné sur la foi de lettres interceptées qu’il aurait adressées aux Allemands. Avant d’être réhabilité, Dreyfus vit son cas étudié par un personnage du nom de Rousseau comme Nostradamus l’avait prédit. Ce ministre était si violemment antidreyfusard qu’il conclut une deuxième fois à la culpabilité de l’officier alors que l’innocence de Dreyfus fut totalement reconnue peu de temps après. A ces prédictions faisait suite la vision du massacre à Nantes en 1793 où un millier d’habitants opposés aux révolutionnaires furent guillotinés ou noyés dans la Loire : « Cris, gémissements lamentables à Nantes » furent les mots de Nostradamus. Napoléon apparaît dans un certain nombre de prophéties annonçant entre autres sa naissance (« un empereur naîtra près d’Italie, dont empire coûtera cher »), sa retraite de Moscou en feu de l’hiver 1812-1813 (« masse d’hommes s’approchera… le Destructeur ravagera la grande cité »), ainsi que sa défaite à Waterloo en 1815, où le Léopard (l’Angleterre) et le Sanglier (la Prusse) écrasèrent l’Aigle (Napoléon). Toutefois, comme il l’a dit lui-même, Nostradamus a eu une préconnaissance touchant plus d’un pays ou d’un continent. Quelques-unes de ses plus fascinantes prophéties concernent les États-Unis, leurs habitants et leurs dirigeants politiques. A trois reprises dans les dix livres des Centuries on trouve des mentions telles que « le grand homme… foudroyé en plein jour », « le grand personnage tombera », « le monde perturbé par trois frères ; leurs ennemis vont s’emparer de la ville marine, faim, feu, sang, peste et tous les diables portés au double ». On y voit en général l’annonce de l’assassinat du président John Kennedy, la prémonition du meurtre de son frère Robert et l’indication que le sénateur Edward
Kennedy aurait des ennuis.

La destruction de New York semble avoir été prévue par l’astrologue dans trois passages où il est dit que « l’embrasement sismique fera trembler la Nouvelle Cité », « le ciel s’embrasera à 45°, l’incendie s’approchera de la Grande Cité nouvelle » et « le roi voudra faire son entrée dans la Nouvelle Cité ». En dehors de la dévastation et de l’invasion de New York, Nostradamus a prédit que la totalité des États-Unis serait impliquée dans le cataclysme d’une troisième guerre mondiale. Celle-ci sera déclenchée par la Chine et se terminera avec un ciel rempli « d’armes et de fusées » et des dommages immenses « causés à gauche » (ici, l’hémisphère occidental). Ce qui rend cette prophétie particulière encore plus terrifiante que les autres, c’est la façon dont le sixième quatrain de la Deuxième Centurie décrit apparemment le lancement de bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki en 1945 :

Près du port et dans deux villes seront deux fléaux comme jamais n’ont été vus. Faim, peste, les gens culbutés par le glaive appelleront à l’aide le grand Dieu immortel.

On l’a interprétée comme s’appliquant aux bâtiments et cuirassés américains en flammes lors de l’attaque japonaise sur Pearl Harbor en décembre 1941. Quant à l’Angleterre, dans la Deuxième Centurie, l’astrologue prévoyait l’abdication du roi Édouard VIII qui renonça au trône pour épouser Wallis Simpson, Américaine deux fois divorcée. « Le jeune homme né pour le royaume de Grande-Bretagne que son père mourant lui a légué… Londres sera en conflit avec lui et le royaume sera repris au fils. » Au moment de sa mort, Nostradamus avait prédit des événements aussi divers et sans lien entre eux que la conquête du pouvoir en France par le général de Gaulle, la mort d’Hitler dans son bunker berlinois, l’effondrement de la ligne Maginot dans la Seconde Guerre mondiale et l’épidémie de grippe qui sévit sur le monde en 1918-1919, « la pestilence » faisant suite à « l’effroyable guerre ». L’oeuvre de Nostradamus ne fut pas officiellement condamnée par un tribunal pontifical jusqu’en 1781, où elle fut mise à l’Index.

Il fit sa prophétie la plus fameuse un soir d’été de 1788 vers la fin d’une réception donnée dans ses jardins par la duchesse de Gramont. Protégé de la maîtresse de maison, Cazotte justifiait sa présence à ces réunions en lisant ses odes ou sonnets les plus récents. Ce qu’il faisait d’habitude avec calme et gentillesse. Mais ce soir-là le poète révéla le côté mordant de sa nature et de son talent. Ce fut quand Guillaume de Malesherbes, un des ministres de Louis XVI, leva son verre « au jours où la raison triomphera dans les affaires des hommes, même si je ne dois pas vivre assez pour le voir ». Cazotte fonça sur lui et son masque mondain tomba : « Au contraire, Monseigneur », s’exclama-t-il, « vous vivrez et verrez ce jour à vos dépens ! Il viendra dans cinq ans avec une grande révolution française ! » Tandis que les invités l’entouraient bouche bée, Cazotte se tourna vers plusieurs autres hommes politiques et courtisans de haut rang et leur dit ce que serait leur destin. Le favori du roi, Chamfort, rejoindrait son ami Malesherbes sur la guillotine, lui prédit-il, le marquis de Condorcet « échapperait au bourreau » en s’empoisonnant, quant à la duchesse elle-même, « elle irait à l’échafaud dans une charrette de bûcheron ». Tandis que l’émotion s’apaisait peu à peu, les aristocrates commencèrent à rire sous cape entre eux. Puis l’un des assistants, un athée nommé Jean Laharpe, qui écrivit plus tard un long récit de la soirée, fit un pas en avant. — Et moi, monsieur Cazotte ? » demanda-t-il avec ironie. « Ne me dites pas que de tous je suis le seul que la guillotine n’attend pas ! » Cazotte lui sourit. « Vous lui échapperez, Monsieur », répliqua-t-il, « mais seulement pour connaître un sort encore plus horrible. Car vous, monsieur l’athée, vous deviendrez un chrétien dévot et heureux de l’être ! » A ce coup, les rires redoublèrent. Mais Cazotte eut le dernier mot. Tout se passa comme il l’avait annoncé et Laharpe dont la conversion au christianisme fit sensation à l’époque légua son manuscrit sur Cazotte et ses « prédictions ridicules » au monastère où il était devenu un homme de Dieu. La prédiction de la mort violente de Louis XVI est restée l’exemple type des pouvoirs de prémonition jusqu’au matin du 13 mai 1917. Ce jour-là, trois petits enfants gardaient tranquillement des moutons dans les collines près du village de Fatima au centre du Portugal. Lucia dos Santos, dix ans, ses cousins Jacinta, sept ans, et Francisco, neuf ans, virent soudain deux éclairs aveuglants. La lueur venait d’un chicot de chêne peu éloigné. Au centre de la « boule de lumière » se trouvait une femme ravissante. Figés sur place les enfants la regardaient fixement ; elle leur demanda de ne pas avoir peur. « Je ne vous ferai pas de mal », dit-elle en devenant floue avant de disparaître peu à peu. Ses derniers mots furent de demander aux enfants de revenir à cet endroit le 13 de chaque mois jusqu’en octobre, où un grand et terrible secret leur serait révélé. En dépit d’une raclée reçue de leurs parents pour avoir « raconté des mensonges », Lucia et ses cousins accompagnés d’une cinquantaine de curieux du village étaient de retour sur la colline le 13 juin à midi s’agenouillèrent en disant leur chapelet et la ravissante dame apparut, venant de l’ouest, comme une « resplendissante messagère de Dieu ». Cette fois son message ne fut pas aussi encourageant.

Elle assura que Jacinta et Francisco seraient bientôt « appelés au Ciel » et que Lucia ne resterait en vie que pour répandre le message de la Madone. Du coup la croyance se raffermit. Cette visiteuse ensoleillée était la Vierge Marie. Celle-ci apparut à nouveau le 13 juillet. Devant un public de plus de cinq mille personnes seuls Lucia, Jacinta et Francisco pouvaient la voir elle annonça une catastrophe à venir qui serait encore plus grande que la Première Guerre mondiale et amènerait la fin du monde. Le premier signe du désastre se verrait dans les cieux « une lumière brillante et inconnue, qui sera le signe que Dieu est sur le point de punir les peuples du monde pour leurs crimes ». A nouveau les trois enfants furent battus et même emprisonnés. On les accusait de blasphémer et de semer la panique chez les adultes du village. Mais l’obstination des enfants impressionnait tout le monde. En 1846, l’histoire d’une vision analogue apparue à deux petits bergers de La Saiette, en France, renforçait l’intérêt et amenait à y croire.


Spiritisme – Oui Ja Lausanne, Genève, Montreux, Nyon, Morges

Séance spiritisme – Le oui-ja, beaucoup plus qu’un simple jeu

Devenu très célèbre, grâce à un film d’horreur qui porte le même nom, le oui-ja devient de plus en plus demandé par les jeunes. Tenté d’expérimenter des phénomènes paranormaux, ces dernier n’hésitent pas à prendre des risques inutiles, mais qui peuvent, surtout, avoir des conséquences graves. Qu’on l’ait reçu comme cadeau, ou non, il faut toujours se renseigner avant de se lancer dans l’inconnu. N’oubliez pas que les films peuvent, très bien, être tiré de la réalité, alors pour tous ceux qui ont déjà vu le film, tirez-en des leçons.

Le oui-ja, son évolution à travers le temps

Pour ceux qui l’ignorent encore, le oui-ja, est, soit disant, un jeu composé d’une planche en bois, dotés de lettres, un « oui », un « non » et un « au revoir ». Un morceau de bois en forme de goutte va servir à pointer les lettres pour, ensuite, former des mots, supposés être des réponses à nos questions.

Mais le oui-ja n’a pas toujours été de cette forme. En effet, au 19ème siècle, le oui-ja était déjà à la mode, pour ceux qui pratiquaient le spiritisme, notamment les médiums. Ainsi, le oui-ja était composé, à l’époque, d’une simple planche, sur laquelle le médium gravait des mots, suivant ce que leur dictaient les esprits.

Ainsi, vous l’aurez compris, le oui-ja n’a jamais été un jeu, mais c’est un matériel, qui a toujours été utilisé pour entrer en communication avec les êtres venant du monde des esprits. Ainsi, si autrefois, il était réservé aux médiums, ce n’est pas aujourd’hui qu’il va devenir un jouet pour n’importe qui, pouvant mener à un bouleversement de sa vie.

Pourquoi s’en méfier ?

Bien qu’il soit, parfois, tentant de vivre des expériences effrayantes, de temps en temps, le oui-ja n’est pas le « jeu » approprié pour cela. Avec le oui-ja, vous pourrez très bien ouvrir une porte que vous ne serez plus capable de fermer.

En effet, son utilisation met en relation notre monde avec celui des esprits, et une fois que vous avez pris contact avec un esprit, souvent un bas esprit, il pourra se manifester dans votre quotidien, à sa guise. Et ce ne sera pas toujours facile de vivre avec une situation pareille, si vous n’êtes pas préparé pour ça.

Ces esprits, pour vous attirer vers eux, pourront très bien vous mentir, vous faire croire qu’ils sont, en fait, vos défunts proches ; vous n’en aurez jamais la certitude, mais eux, ils sauront exploitez vos faiblesses pour vous faire tomber dans leurs filets. Et à partir de là, vous lui donnerez le pouvoir qu’ils auront besoin, pour les faire entrer dans notre monde, et même vous posséder.

Ainsi, utiliser ce genre de matériel, servant à faire communiquer deux mondes, n’est jamais à prendre à la légère. Il se peut que vous ne provoquiez rien la première fois, mais la prochaine ne se passera pas, forcément, de la même façon. Alors, si vous voulez quand même y avoir recours, soyez sûr de vouloir vivre avec les conséquences, pour éviter de le regretter jusqu’à la fin de votre vie.


Radiesthésie et pendule

Séance de radiesthésie

C’est vers l’an 2 000 avant J.C. que les premiers sourciers démontrèrent qu’il était facile de trouver de l’eau souterraine avec une baguette. La méthode consistait à parcourir une zone en tenant entre les mains une baguette de noisetier en forme de Y. Au moment où la baguette passait au-dessus de l’eau, celle-ci se relevait ou s’abaissait avec force. Le pendule agit de la même manière que la baguette. En présence de veines souterraines, le pendule oscille dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. D’autres sourciers travaillent à mains nues et sont capables de détecter la présence d’eau, de feu, de problèmes de santé. L’antenne de Lecher sert à mesurer des lieux, à détecter de l’eau et à travailler sur les corps énergétiques.

En 2017, on utilise cette forme de radiesthésie pour détecter le tracé de câbles enterrés sur des chantiers, pour rechercher des disparus ou pour diagnostiquer une maladie.Les baguettes en coudrier ont tété remplacées par des baguettes en métal. Tous ces radiesthésistes et sourciers pensent que toute substance émet des radiations particulières que l’esprit humain peut capter. En effet, toute matière rayonne sur sa propre longueur d’onde. L’esprit humain et animal referment un récepteur naturel capable de se régler sur ces émissions.

La question de la radiesthésie suscite bien des débats. Il est difficile pour les esprits rationnels de comprendre l’étrange talent que possèdent certains sourciers. Promenant leurs instruments au-dessus d’une carte d’une région, ils sont aptes à obtenir des informations précises sur le terrain étudié. On peut détecter une analogie avec la méthode d’Edgar Cayce. Ce dernier pouvait diagnostiquer la pathologie d’une personne en n’ayant sous ses yeux que le nom et l’adresse. Ces guérisseurs semblent employer un sixième sens ou une faculté extérieure aux limites habituelle de la conscience humaine.

Le pendule et ses utilisations

Le pendule est un objet qui comporte une pointe. Il peut être en bois, en laiton ou en cristal de roche. La plupart du temps, le pendule est en forme de goutte, mais il peut aussi être de forme variée: rond, cônique, égyptien, spiralé. Une chaîne ou un fil relie l’ensemble. Tout pendule oscille. L’instrument peut tourner dans le sens des aiguilles d’une montre, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, d’avant en arrière, de gauche à droite. Un pendule est un outil de mesure avant tout, il ne sert pas à prédire l’avenir.

L’abbé Mermet et la radiesthésie

C’est l’abbé Mermet qui utilisa à la fin du XIX ème siècle la radiesthésie pour réaliser un diagnostic. C’était un membre très apprécié par l’Eglise. Il n’était pas considéré comme farfelu puisque ses sérieuses études scientifiques contribuèrent à donner une base solide à ses travaux. Ses idées furent reprises et appliquées en Europe. La radiesthésie reçut de l’aide avec le renfort des recherches d’Albert Abrams, un neurologue américain. Les travaux de cet homme avaient un côté franc-tireur. Abrams, au cours de sa longue carrière de médecin fut amené à conclure qu’il y avait un rapport entre le champ mangnétique terrestre et certaines maladies. Il a soutenu entre autre que les atomes des tissus malades émettent différentes sortes de radiation qui affectent des groupes de fibres nerveuses. Abrams commença petit à petit à formuler sa théorie. Il conclut que le rayonnement était une propriété universelle de la matière. Si la matière et l’énergie sont confondues au niveau atomique, la base de la maladie est électronique et non cellulaire. A la suite de ses expériences, Abrams constata que les tissus sains et malades émettent des radiations différentes.


Grands Voyants du passé

Prévoir l’avenir, la voyance dans l’histoire

Nombre de catastrophes ont été annoncés par des astrologues ou des médiums. Si l’avenir peut être prévisible, alors peut-on le modifier ? Les philosophes débattent de ce sujet et se demandent si l’avenir existe en dehors de l’esprit. L’avenir se déroule-t-il en synchronicité avec le présent ? Se place-t-il sur une voie ou un monde parallèle ? Voici quelques uns des faits qui ont traversé le temps, concernant la prédiction de l’avenir.

Des voyants ont vu le Titanic couler

En 1898, le puissant paquebot Titan appareille pour sa 1ère traversée. Il fendait l’Atlantique non loin de New York, quand l’inimaginable se produisit. Il heurta un iceberg et sombra. 2 500 passagers périrent. On remarqua très vite que les 24 canots de sauvetage n’étaient pas suffisants pour ce genre de navire. Ce sinistre avait été décrit dans un roman « le naufrage du Titan ». Il avait été à peine remarqué lors de sa parution. C’est Morgan Robertson qui allait oser réaliser une prédiction au travers de son livre.
Quatorze ans plus tard, le roman allait faire parler de lui. En 1912, le Titanic, paquebot de 66 000 tonnes rencontrait un iceberg et coulait. Tout comme le bâtiment imaginaire de Roberstson, le Titanic effectuait sa première traversée et il pouvait atteindre la vitesse de 25 nœuds. Les Deux navires avaient à bord un grand nombre de passagers et peu de canots de sauvetage. Les 2 paquebots étaient qualifiés d’insubmersibles. Dans le roman, un matelot de pont du Titan dit à un passager « Dieu lui-même ne pourrait pas couler le navire ». Personne n’avait prévu la catastrophe du navire aussi précisément que Roberstson.
Roberston n’est pas un cas isolé. Certaines personnes devant embarquer ont rêvé du navire flottant sur la mer, passagers et équipage en détresse. Colin Macdonald, officier mécanicien aurait pu lui aussi trouver la mort sur le Titanic. Il eut un pressentiment désagréable à l’approche de son engagement sur le navire. Il refusa de signer son contrat comme second mécanicien à bord du Titanic. Ainsi, le second mécanicien qui occupa le poste refusé par Macdonald se noya.

La prémonition ou la connaissance d’événements futurs était au XXème siècle considérée comme une supercherie. Au cœur du débat se situe le problème du temps. Au sens physique le plus simple, le temps est utilisé comme une longueur, une largeur ou un volume. Dans ce sens, il n’a pas d’existence propre. Il est linéaire et rectiligne à l’image des pendules et des calendriers. Cependant, ce concept ne tient pas compte des relations psychiques avec les temps passé et futur. Tenant compte de cela, il est possible de concevoir le temps tel une entité propre.

Il y a ceux qui croient que le futur existe déjà et que nous nous approchons des événements à venir. Le philosophe William James s’est penché sur la question. Il explique que l’avenir forme un bloc. Pour lui, l’avenir est comme la bande d’un film dont les images se révèlent au fur et à mesure qu’elle se déroule.
Chose étrange, ce n’est pas un savant qui fit le plus pour analyser les rêves, le temps et les visions de l’avenir pour en déduire un système. Ce fut John William Dunne, constructeur d’avions qui échafauda une théorie complexe. Dunne dessina et construisit le premier avion britannique militaire. Il se passionnait de même pour les révélations nocturnes de l’avenir. En 1889, il fit un rêve qui prévoyait le succès d’une expédition du Cap au Caire. A partir de cet instant, il prit l’habitude de noter ses rêves. En 1916, il rêva d’une explosion dans une fabrique de bombes londoniennes. Celle-ci eut réellement lieu en 1917, soixante treize personnes perdirent la vie. Dunne fit de nombreux rêves prémonitoires au cours de sa vie et fut amené à écrire un best-seller : Une expérience avec le temps. Il qualifia cet ouvrage de premier argument scientifique en faveur de l’immortalité de l’homme. Dunne a démontré que les rêves ordinaires comportent un élément déterminé de connaissances prémonitoires. Dunne a montré de façon frappante que les songes eux-mêmes ne peuvent être entièrement contenus dans le temps. Selon sa théorie, nous vivons dans le courant du temps qui s’écoule comme observateur.

Memento

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Le pape dans les tarots de Marseille

Le Pape lame 5 des arcanes

Cinquième lame du Tarot, le pape représente l’autorité morale. Il est assis entre 2 colonnes du Temple de Salomon. Il est vêtu de bleu et d’or, les couleurs de la sagesse et de l’esprit. La touche de rouge sur son manteau symbolise l’esprit actif et combatif de la foi. Le Pape porte sur la tête une tiare en or à trois étages pour affirmer son pouvoir sur les trois mondes. Cette lame se concentre en priorité sur l’autorité spirituelle et sur la sagesse. Le Pape est l’homme mûr, celui qui a atteint le sommet de ses propres potentialités sur tous les fronts.

Le pape tient dans sa main gauche un sceptre, il lève sa main droite en signe de bénédiction. Ce sceptre est divisé en sept pointes, les symboles planétaires. Cela représente l’emblème du pouvoir spirituel que le pontife exerce sur le monde, représenté par un globe doré situé sous la lame.

L’Arcane du Pape dans un tirage informe de prendre connaissance de la volonté cosmique. Admettre cette évidence sera déjà un pas et ainsi fera agir à bon escient. Le Pape demande au consultant d’ouvrir son cœur et son esprit. L’arcane signifie une autorité bienveillante auprès du consultant ou une protection. Un problème peut se résoudre à l’improviste. La figure du pape est toujours synonyme de grande élévation, que se soit sur un plan moral ou intellectuel. Il favorise naturellement, tout ce qui concerne le sacré, la religion, le pardon. Le Pape présage un dénouement favorable. Il indique de garder confiance et d’écouter son intuition.
Jupiter et Saturne sont les planètes associées à cette arcane.
Son signe zodiacal est le taureau.
Le pape concerne le chakra de la gorge.

Les aspects du Pape au sens général:
Cette lame est apaisante pour le consultant. Sérénité et sagesse prérogatives de la figure papale, se reflètent dans le tirage. Le Pape représente un médiateur capable d’unir et de réunir les personnes. C’est l’art de la parole qui est mis en avant par cette lame. Le Pape sera pour le consultant une personne de son entourage qui le guidera, l’écoutera avec bienveillance. L’arcane nous invite à réaliser en nous l’union par le cœur pour nous relier aux autres.

 

Le Pape comme toutes les lames du Tarot met en scène des personnages. Le pape peut être :
1. Un mari ou un père
2. Une personne mûre ou un guide entre 30 et 60 ans
3. Un médecin ou un personnage influent

 

Le Pape à l’envers dans un tirage : A l’envers cette carte montre que toutes les qualités positives se déforment dans leur aspect le plus terrestre. C’est ainsi, que d’altruisme le consultant devient dépensier, de perceptif, il devient vulnérable, d’idéaliste, il devient fanatique. Le manque d’effort et la paresse deviennent les principaux responsables de l’insuccès. Le pape à l’envers montre que la situation rencontre des obstacles et est aggravée par le manque d’aides et de conseils. Un manque de confiance en soi peut de même surgir. Il peut y avoir des paroles malheureuses et une mauvaise communication avec l’entourage.

 

Le Pape et la santé : Fragilité physique et psychique. Les systèmes nerveux et respiratoires sont concernés par le Pape. Des maux de tête sont à craindre. Globalement, si l’arcane est entourée de lames positives, le Pape annonce la guérison.


Qui connaît une bonne voyante ?

 

Qui connaît une bonne voyante ? Voici une question tellement entendue ! Difficile de se faire une idée de la qualification d’une voyante sans l’avoir vraiment essayer. Une voyante a d’ailleurs énormément de cordes à son arc ! Chiromancie, Astrologie, Tarologie en voici des exemples parmi d’autres.

Clichés du cinéma ?

Sur voyante.ch nous travaillons le sérieux et notre réputation. Nous sommes loin des clichés vu sur le film Madame Irma avec Didier Bourdon des inconnus. En revanche, un film comme Au-delà reflète bien qui sont nos voyantes !

Interprétation des rêves ?

On va souvent voir une voyante pour l’interprétation des rêves !


Ecriture automatique

Disons maintenant un mot du dessin et de l’écriture automatiques. Nous avons déjà vu un Ossowiecki redessiner, par Clairvoyance, un objet figuré sur un papier enclos dans une enveloppe. Nous n’insisterons pas davantage sur ce mode de lucidité et, d’autre part, nous tiendrons hors de notre sujet ces graphismes où apparaît parfois tant de talent, chez des médiums peu ou point préparés par leur éducation artistique, à tracer de telles compositions. De même, en signalant sa maîtrise et son invention extraordinaires, ne ferons-nous que citer Augustin Lesage, cet ouvrier mineur, de Burbure (Pas-de-Calais), sous le pinceau de qui s’épanouit, un jour, puis de façon continue, une magnifique et inépuisable floraison de tableaux rivalisant en imagination et en harmonie colorée avec les plus riches imaginations de l’art oriental. Tout semblablement, ne mentionnons qu’au passage tels autres exercices de dessin et de peinture — il en est de fort beaux — dont, dans la plupart des cas et dans les milieux spirites, l’origine est attribuée à la collaboration des « esprits ». Ainsi, jadis, et à l’en croire, Victorien Sardou dessina-t-il la « maison de Mozart » parce que l’ombre de Bernard Palissy conduisait sa main. Ce qui nous intéresse en propre, ici, c’est le dessin ou la peinture médiumnique qui ont un caractère de prévision dans le temps, ou qui rappellent des sites, des physionomies inconnues du médium. Cette sorte de phénomène est si rare que, je l’avoue, aucun cas de forme véritablement typique ne se présente à mon souvenir. Autant, dans l’écriture automatique, on peut rencontrer de cas où il y eut des avertissements, des révélations anticipées ou des rappels de faits accomplis mais encore ignorés, autant restent exceptionnelles et, pour tout dire, sans retentissement dans le champ de la métapsychique, les> circonstances où le médium dessinateur et peintre fit réellement oeuvre de clairvoyant. A ce genre d’exercice, je ne m’entraîne personnellement point. Pourtant, voilà que me revient à l’esprit une « curiosité » qui s’y rattache, et je la résume.

Le 9 septembre 1925, M. P. Monet me demande un entretien au cours duquel je suis conduit à éclairer mes dires par le moyen de croquis descriptifs d’un rivage marin, d’un quai, d’un boulevard, puis d’une fenêtre à meneaux, dans une villa que je dessine alors, basse, carrée, trapue, distribuée en deux corps, avec un bâtiment annexe, une chambre aménagée en chapelle extrême-orientale. Suivent le tracé des chemins d’alentour, le croquis d’une fontaine monumentale et la désignation de son emplacement sur mon plan topographique. M. Monet identifie, en ces dessins, sa villa Le Prieuré et ses abords, à Toulon. Il m’écrira : « Tout le signalement et les croquis qui l’accompagnent sont rigoureusement exacts. On croirait presque qu’ils ont été faits d’après nature. » Exemple d’un fait analogue. Un jour, en plein travail littéraire, se forme devant mes yeux le décor d’une place de petite bourgade : au fond l’église, quelques arbres, et de part et d’autre des blocs de maisons. Je suspends mon ouvrage, dresse hâtivement mon chevalet, prépare palette, toile et pinceaux, et, enfiévré, compose, en une heure et demie, un tableau, tout comme si j’avais été devant le motif. Quand cette improvisation est sèche, je l’accroche au mur, chez moi. Bientôt, je reçois la visite d’un ami d’Espagne qui tombe en arrêt devant mon tableau et me dit : « Tiens Vous avez peint la Collégiale de Talavera de la Reina. Vous avez fait cela sur place ? — Non, répondis-je, je ne suis jamais allé dans cette région de votre patrie. » Et j’explique comment l’oeuvre est née. Stupeur de l’hôte. Le lendemain, il m’envoie une photographie du monument et de ses abords. C’est bien mon tableau, vu sous un autre angle, mais où les détails, particulièrement ceux des architectures, m’apprennent que j’ai peint, en visionnaire, et avec fidélité, un site que je n’avais jamais vu.

Un champ d’expériences à explorer.

Cette forme de Clairvoyance par le dessin n’a pas été, ai-je dit, étudiée d’aussi près que bien d’autres. La faute en est peut-être à la quasi-inexistence de médiums spécialisés en cette façon d’opérer. Je me permets de dire qu’il y a là un terrain d’études presque absolument en friche et qu’il y aurait certaine-ment intérêt, dans les laboratoires métapsychiques, à rechercher et, éventuellement, à mettre à l’épreuve, des médiums dessinateurs disposés à appliquer leur faculté à la connaissance supranormale. Ce qui est possible, pour une voyance exprimée verbalement ou par un texte écrit de la main du sujet, pourrait bien être réalisable, sous les dehors d’un croquis, voire même d’un dessin « poussé », soit en représentation d’un lieu ignoré, soit d’une scène vécue ou à venir 1. J’imagine un exemple : supposez qu’avant l’assassinat du président Doumer un médium ait tracé les majuscules R. F. en y superposant un poignard ou un revolver, il y aurait eu, là, vérification de mon hypothèse que la métagnomie peut se

Les expériences de transmission de dessins, surtout depuis 1883, ont démontré, de façon certaine, la suggestion mentale à distance (Voir à ce sujet : M. Guthrie et J. Birchall : Record of experiments in thought transference at Liverpool (Procès-verbaux- de la Société de Recherches psychiques de Londres, vol. I, part. 4, 1883). Ainsi furent dessinés, par des percipients, des sites, des figures de cartes, des phrases musicales. (Expériences Kotik, Tischner, Wasielewski, Heymans, Brugmans, Weinberg.) On ne peut ignorer enfin les remarquables et très nombreuses réussites obtenues par le Français Warcollier, dont les travaux occupent, en notre temps, une place considérable dans ce département des recherches métapsychiques. L’objet de toutes ces expériences était l’étude des possibilités de la télépathie. Plus particulièrement, je propose l’étude Clairvoyance, de la médiumnité qui, par le dessin, pourrait voir et prévoir, dans le temps et l’espace, comme les médiums parlants et écrivains peuvent le faire.


Numérologie

Numérologie

La numérologie est un art vieux comme le monde.
C’est un système ancien qui, à travers l’analyse des nombres dérivés du nom et de la date de naissance, permet de tracer les caractéristiques et les tendances de chaque personne (caractère, personnalité, désirs, image, destin, santé, amour, compatibilité avec d’autres personnes, etc.). Les chiffres sont conçus comme des condensats d’énergie, dont chacun a ses propres qualités. Cela nous aident à nous dire le potentiel que nous avons à réaliser jusqu’à la fin de notre vie, ainsi que le projet évolutif inhérent à nous depuis la naissance, les points de force et de faiblesse de notre personnalité. La numérologie ou arythmomancie est née il y a 4000 ans, probablement en Mésopotamie. Dans l’Antiquité, elle était présentée comme la science des nombres. Il attribue une valeur magique aux nombres, contrairement à l’arithmétique qui ne prend en compte que leur valeur quantitative. Est-ce une science ? Longtemps controversée, la numérologie est revenue en vogue au XXe siècle. Les numérologues modernes pensent qu’il existe un lien vibratoire entre les nombres et toutes les manifestations physiques de notre univers. Cependant, les scientifiques n’ont pas été en mesure de démontrer qu’il existe une influence des nombres sur le destin ou la personnalité.

 

C’est un art psychologique profond et l’une des méthodes les plus efficaces d’auto-analyse et d’introspection personnelle qui, en révélant nos tendances, qualités et défauts, montre aussi les obstacles que nous devons surmonter et nous permet d’améliorer les aspects positifs de notre personnalité. au mieux notre destin.

Dans la vie courante, il est utile de connaître les Nombres pour les exploiter à bon escient. La plupart des voyants compétents se servent de cette science pour guider leurs consultants. En effet, la numérologie est d’une aide considérable pour choisir par exemple:

  1. Le titre d’un livre qui aura du succès.
  2. Une raison social ou le nom d’une entreprise qui sera prospère.
  3. Des titres boursiers qui rapporteront.
  4. Une ville ou un lieu de résidence où l’harmonie et le bonheur seront au rendez-vous.
  5. Une date pour lancer une affaire.
  6. Une date positive pour une rencontre importante.

 

Qu’est-ce que la numérologie aujourd’hui ?

La numérologie n’est ni une science ni un art divinatoire, mais plutôt une méthode parapsychologique d’investigation. Elle ne prédit rien, mais aide à mieux se connaître et à prendre son destin en main, tout en préservant son libre arbitre ; en pratique, elle aide à exploiter ses propres forces pour profiter pleinement de la vie.

Comment cela fonctionne-t-il ?

La numérologie utilise le langage symbolique des nombres. Ce langage est considéré comme universel et intemporel. Le principe est que chaque numéro, chaque date, chaque nom peut être représenté par des chiffres entre 1 et 9, appelés numéros numérologiques. Les mots sont en quelque sorte traduits dans le langage des symboles numériques.

Quelle est la méthode ?

Les dates ou les nombres sont réduits en ajoutant les chiffres qui les composent horizontalement, autant de fois qu’il le faut pour obtenir un seul chiffre. Ce nombre “résiduel” a sa propre “vibration” spécifique qui est à la base de l’interprétation.

Par exemple : l’année 1987 ; 1987 = 1+9+8+7+7 = 25 = 2+5 =7. La vibration de 1987 est de 7. Les numéros 11 et 22, appelés “numéros maîtres”, ont une signification numérologique spécifique. Une autre exception est 0, qui est impossible à réduire.

Et pour les lettres ?

Le même système est appliqué aux lettres. Chacun d’eux correspond au numéro de la place qu’il occupe dans l’alphabet 1 pour A, 2 pour B, etc…. jusqu’à 9. Au-delà, le nombre numérologique est obtenu en additionnant les dizaines et les unités. Exemple : J = 12 = 1+2 = 3. Ce système de correspondance entre chiffres et lettres vous permet de traduire un nom et un prénom ou tout autre mot en langage crypté. Il suffit d’additionner les chiffres horizontalement et de réduire la somme obtenue, jusqu’à obtenir une unité entre 1 et 9.

5+3+4+5+9+6+3+6+7+9+5 = 62 = 6 + 2 = 8

A chaque nombre, sa vibration

Chaque nombre numérologique est associé à une vibration particulière. Le 1 signifie le commencement, le principe masculin, l’action, l’autorité. Le 2 : le principe féminin, le yin, le réceptif, l’union et la sensibilité. 3 : la création, l’enfant dans le couple, l’expression. 4 : travail, limites. Le 5 : liberté, changement. 6 : la beauté, la recherche de l’équilibre. 7 : l’esprit, la réflexion, les études. 8 : progrès matériel, construction et destruction, gains et pertes. 9 : la fin et un nouveau départ. 11 : Force et puissance. La sagesse a 22 ans.

A chaque vibration son message

Liés aux éléments qui composent votre identité (votre nom de famille, votre prénom et votre date de naissance), les numéros numérologiques tracent les grandes lignes de votre profil psychologique, indiquent vos forces et vos faiblesses, et suggèrent les défis que vous aurez à relever au cours de votre existence. Numéro de départ, numéro de motivation, numéro intérieur, numéro extérieur, nombre de liens, numéro intérieur… : il existe un nombre infini de numéros qui transmettent des messages, des conseils et des avertissements.

– Le nombre intime, par exemple, est obtenu par l’addition réduite de toutes les voyelles du prénom et du nom de famille. Elle représente la face cachée de votre personnalité, de vos aspirations les plus intimes, de votre moi intérieur.

-Le nombre de réalisation résulte de l’addition réduite de toutes les consonnes du prénom et du nom de famille. Il indique ce que vous planifiez et aussi ce que les autres perçoivent à votre sujet.

Quel est votre parcours de vie ?

Le nombre le plus utilisé est le chemin de la vie. C’est ton destin. Elle représente le “terrain fertile” de départ sur lequel vous allez “grandir” durant votre vie. Elle est obtenue par l’addition réduite de la date de naissance : le jour + le mois + l’année de naissance. Si vous êtes né en 1 an, vous avez un esprit de leader. En deuxième année, vous êtes dévoué et avez des compétences artistiques. En 3, vous aimez le contact et prenez la vie avec ironie. En 4, vous êtes un grand travailleur. Dans 5, vous êtes agité. Vous appréciez le changement et la liberté. En 6, vous avez le sens des responsabilités. Vous êtes attiré par la beauté et l’harmonie. En 7, vous êtes intuitif, original. Votre vie intérieure est très riche. Les naissances de 8 sont plutôt matérialistes et montrent une énergie débordante. Ceux du 9 sont altruistes. Enfin, en 11 vous avez une grande force de caractère et en 22 vous avez généralement un destin extraordinaire.

Bonne ou mauvaise année ?

Le calcul de votre année personnelle vous permet de connaître l’ambiance de l’année en cours et les étapes auxquelles vous devrez faire face. Elle est calculée en réduisant le jour de naissance + le mois de naissance + l’année en cours. Pour savoir si l’année est bonne ou mauvaise, traduisez le nom de famille de votre fille + votre prénom (nombre de personnalités) en chiffres. S’il n’y a pas de numéro d’année personnelle à l’intérieur, vous vivez une année “karmique”. Un test vous attend. Mais ce test vous donne l’opportunité de progresser et de devenir plus fort. L’interprétation du message doit être adaptée à votre âge. Il y a en fait trois cycles numérologiques d’environ 28 ans chacun, et les années charnières, celles du passage d’un cycle à un autre.

Appréhender le nombre d’évolution personnelle

 

L’évolution de chacun dans la vie est conditionnée par l’entourage familial et par les amis. Le nombre d’évolution personnelle est indiqué par le prénom usuel. Celui-ci reflète la personnalité et est pourvu d’une grande influence. La projection de lettres formée par le prénom correspond à un chiffre prépondérant. En exemple, c’est le prénom Pierre qui sera étudié pour connaître son nombre d’évolution personnelle.  Chaque lettre est représentée par un chiffre, il suffit d’additionner le tout.

P + I + E + R + R + E

7 + 9 + 5 + 9 + 9 + 5 = 44 = 4 + 4 = 8

Le 8 est le nombre du commencement et de la justice. Le 8 aime commander et diriger. Il sait aussi se faire aimer et estimer. Si le 8 n’est pas brimé, il peut atteindre une situation très élevée par rapport à celle dont il est issu. Il est capable de fournir un travail intense pour parvenir à ses fins. Le 8 est constamment à la recherche de l’évolution sociale. C’est un ambitieux qui peut parfois souffrir, à l’occasion, de la peur panique de perdre ses acquis. Le 8 est une personne d’action, il est généralement rude et rusé mais il sait faire preuve de bienveillance. Le 8 aime la communication avec les autres et n’hésite pas à prendre des risques. Il cache parfois ses émotions en se servant de son humour ou de son ironie. Le 8 doit surtout se méfier de son impatience. En effet, il peut prendre des décisions sans réflexion et suivre son impulsivité. Il peut montrer de l’égoïsme et être égocentrique. Son entêtement lui joue souvent des tours.

 

Quels sont les prénoms qui portent le 8 en nombre d’évolution?

 

Les prénoms masculins 8: Emile, Julien, Yves, Marc, Elvire, Lambert, Eric, Gauthier, Marius.

Les prénoms féminins 8: Alexandrine, Anne-Marie, Astrid, Clotilde, Gabrielle, Éléonore, Marilou, Olga, Angèle.

 

Le Nombre de l’hérédité

 

Pour connaître le nombre d’hérédité, il faut traduire en nombre et additionner toutes les lettres du nom de famille. Ce nombre révèle les tendances que nous héritons de notre arbre généalogique.  Cette influence est vitale car elle peut décider de l’évolution de la personne. A titre d’exemple, c’est Dupont qui a été désigné:

D U P O N T: Le D = 4, Le U = 3, Le P = 7, Le O = 6, Le N = 5, Le T = 2

Total: 27, réduit à 9, 7 + 2.

Le 9 annonce un esprit de grandeur et un comportement juste. Le 9 possède une fierté naturelle, sa personnalité est noble et digne. La personne ayant un 9 en nombre d’hérédité capte l’attention et a une compréhension rapide. Il est pourvu d’une largeur de vue plus apparentes que réelles. Il peut y avoir des tendances psychotiques.

 

Pour en savoir plus consultez nos voyants.

 


Chiromancie Lausanne, Genève, Nyon, Montreux

Voir l’avenir par les lignes de la main

La chiromancie, cet acte qui consiste à interpréter chaque ligne de la main d’une personne, pour essayer de savoir sa personnalité, et ce que l’avenir lui réserve, reste un des plus mystérieux arts divinatoires. En effet, les lignes de la main, naissent même avant certaines de nos organes, alors, savoir qu’ils peuvent dire ce que l’avenir nous réserve soulève des questions… notre avenir serait-il alors tout tracé ? On se le demande tous, à un moment ou un autre de notre vie. Alors pour soulever le mystère, nous allons vous en apprendre un peu plus, sur cette science, qu’est la chirologie.

Le choix de la main

Tout le monde sait que pour pratiquer la chiromancie, il est nécessaire d’étudier, minutieusement, la main d’une personne, mais laquelle ? La gauche ou la droite ? Les deux mains n’ont, effectivement, pas les mêmes caractéristiques, et possèdent leurs propres lignes. Et comme l’empreinte digitale, chaque personne aura des formes, et des longueurs de ligne différentes. Le choix de la main à étudier est alors primordial, pour ne pas induire en erreur.

Cependant, les avis sont partagés, quant à la décision sur quelle main choisir. Ainsi, d’autres pensent qu’il faut toujours choisir la main active (droite pour un droitier, et gauche pour le gaucher), pour mettre en évidence les caractéristiques et les prédictions dans le domaine professionnel de la personne ; tandis que l’autre main, servira plutôt à lire les prédictions concernant le domaine sentimental.

Et certains disent que le choix se fera selon le sexe de la personne. Ainsi, pour une femme, la main droite, va témoigner sur ce qu’elle possède (sa personnalité par exemple), tandis que la gauche représentera les choses qui vont lui venir de l’extérieur. Et pour l’homme, ce sera le contraire.

Quelles sont les principales lignes à connaître ?

Les principales lignes, qui permettent de définir nos caractéristiques, et le déroulement général de notre vie sont les suivantes :

La ligne de vie

Cette ligne n’indique, en aucun cas, la durée de vie de la personne. Elle servira plutôt à donner un aperçu général de la vie de celle-ci.

La ligne de tête

Cette ligne reflètera les caractéristiques intellectuelles de la personne, et tout ce qui s’y rapporte, comme son nom l’indique.

La ligne de cœur

La ligne du cœur représentera, quant à elle, le côté émotionnel, et même le côté sexuel de la personne. Elle mettra donc en évidence, la personnalité de chacun. A mi-chemin entre le pouce et l’index se trouve une ligne qui s’incurve vers le bas et entoure ce qu’on appelle le Mont de Vénus, le coussinet charnu à la base du pouce : c’est la ligne de vie. Quand elle est longue, claire et continue, elle présage une existence sereine. Toute interruption du tracé de la ligne de vie indique des points de rupture en cours d’existence : plus la rupture est nette, plus l’événement est grave.

La ligne du cœur est la première en haut, juste en dessous des reliefs à la base des doigts ; elle fait référence aux aspects affectifs de la vie, ainsi qu’à la santé cardiaque. Encore une fois, une ligne longue et bien définie permet une vie amoureuse heureuse, tandis que les interruptions indiquent des problèmes cardiaques, d’un point de vue à la fois sentimental et médical. Si elle est très proche de la base des doigts, elle indique la maîtrise de ses émotions ; si elle est rouge, elles seront des amours passionnées.

La ligne de chance ou du destin

Pas toujours présente, cette ligne permettra de prendre conscience des potentiels de réussite de la personne, dans quel domaine que ce soit.

La ligne du soleil

Cette ligne peut apparaître, bien tard, contrairement aux autres, qui ont existé, même avant notre naissance. Son apparition sera alors le signe de notre épanouissement, dans notre vie, en général, parce qu’on aura suivi le chemin qui nous est destiné.

Alors, que vous y croyez ou non, prenez le temps d’essayer de connaitre les significations des lignes de votre main, pour vous faire une idée de ce que ça vaut vraiment.

La chiromancie est une discipline ancienne née en Inde il y a des milliers d’années, puis progressivement répandue en Asie, en Egypte et en Perse, encore pratiquée aujourd’hui principalement par les peuples gitans, qui est généralement associée dans l’imaginaire collectif.

Il est basé sur l’étude des lignes et des rainures de la paume de la main, en donnant à chacune d’elles un nom précis et des significations différentes en fonction de la forme particulière qu’elles prennent.

Il est important de toujours comparer les deux mains : la main gauche est considérée comme passive et liée aux caractères héréditaires, la main droite est active et révèle les possibilités d’influencer par sa propre volonté ce que l’on attend de l’autre main.

 

Ligne d’en-tête et lignes secondaires
Entre ces deux courants s’étend la ligne de la tête, qui concerne les capacités intellectuelles et la valeur mentale et son chemin peut être indépendant ou partiellement entrelacé avec la ligne de la vie. Si elle est détachée mais pas trop éloignée, elle indique le jugement et la confiance en soi. Dans ce cas, la couleur et l’intensité de la ligne sont également importantes : elle sera profonde pour un caractère réservé ou rouge dans le cas d’un caractère qui tend à faire des erreurs de jugement.

A ces trois lignes principales s’ajoutent d’autres lignes plus courtes : la ligne d’amour et de mariage, juste en dessous de l’auriculaire, au-dessus de laquelle se trouvent de petits signes perpendiculaires, appelés “lignes pour enfants” (marquées et droites pour les hommes, plus fines pour les femmes).


C’est quoi une transe ?

Nous venons de parler de Clairvoyance en état d’hypnose, état fréquent chez les somnambules de profession. C’est là ce que les médiums appellent la transe, où les sens normaux s’assoupissent, où diminue la conscience, où s’exaltent le subconscient, et, éventuellement, les autres moyens de perception de la faculté clairvoyante. Tels sujets voient parce qu’un hypnotiseur les a endormis. Tels autres se mettent eux-mêmes dans l’état du sommeil ou, tout au moins, de cette « absence » qui libère et stimule la lucidité I. Qu’est-ce donc que la transe, l’état second ? On n’en sait rien. Disons : un état psycho-physiologique qui peut se traduire par un sommeil profond, mais qui, nécessairement, existe à quelque degré, chez tous les médiums e action, même ceux qui conservent le plus l’apparence de n’en pas subir les effets et qui « font de la voyance » avec, semble-t-il, autant de contrôle d’eux-mêmes que s’ils donnaient une conférence ou participaient à un dialogue ordinaire.

Notons qu’on a essayé, non sans résultats curieux, de susciter o d’exalter la faculté de Clairvoyance par le moyen du Lophophore di Williams  : le Péyotl, la « plante qui fait des yeux émerveillés ». C’est en absorbant des éléments de cette Echinacée, ou le suc de la plante Yajé, que les Indiens du Mexique reussissent à retrouver les objets perdus.

Les moyens d’information du médium clairvoyant.

A tous ses degrés, même imperceptibles, la transe, pour bien des « sujets », est puissamment favorisée dans ses effets, et pour la qualité de ses vues sur l’inconnu, par la mise en oeuvre de perceptions supranormales, qui naissent d’elle comme autant d’utiles moyens d’approche. C’est ainsi qu’elle emprunte à l’audition, interne ou externe, de voix, de musiques ou de rumeurs informatrices. Il lui advient d’être instruite d’un fait utile à révéler, soit par la perception d’une odeur , soit par une impression gustative, ou tactile, ou visuelle, ou motrice.

Un médium vous dira, comme le déclara un jour M. de Fleurière : « Dans ma prise de connaissance, il y a des éléments multiples : de la lumière, de la chaleur, de la trépidation, des courants électriques ou magnétiques, parfois jusqu’à des effluves odoriférants. Je puis voir « intérieur psy-chique » des gens, tout illuminé, ou dans le noir. Pour certaines personnes, je vois la vie monter comme un rayon lumineux. » D’autres confesseront : « Près de moi, une musicienne se définit par le timbre de l’instrument dont elle joue, un marin par la senteur du varech, du goudron. » Il y a des cas plus subtils encore. Je m’excuse d’en citer un, qui me concerne. Un soir, parmi cent personnes inconnues, à l’Institut métapsychique de Paris, je passe devant une dame qui, aussitôt, me délègue une forte odeur d’absinthe. Or, elle s’appelait, de son nom de jeune fille, Pernod. D’autres fois, c’est par un jeu de calembour que j’obtiens un résultat.

Longeant la bienséance d’un spectateur de la séance, j’entends soudain (audition interne) prononcer : « Cadet ». Je dis à cet Homme: « Votre nom est Cadet ? Non, réplique-t-il amusé  et moi aussi  je m’appelle Roussel. »

La bonne humeur et la confiance : autres moyens.

Qu’il me soit permis d’observer, en passant, que cet « humour médiumnique » m’est, je crois, assez particulier. Il correspond expressément à mon caractère qui n’a rien de morose et il ne contribue pas pour peu à me rendre très plaisantes, et partant peu fatigantes, des heures de travail en public que, si l’on ne m’arrêtait, je prolongerais bien volontiers. On ne saurait concevoir le plaisir que je trouve à voir se succéder sous mes yeux des peintures et des aquarelles, des intérieurs parfois aussi minutieusement décrits qu’on en peut trouver chez Balzac, à entendre des dialogues, des rires, même des plaintes, à « visualiser )) des portraits que mon interlocuteur peut reconnaître exacts, à sentir les produits du laboratoire pour un chimiste, le chloroforme pour un chirurgien, certains goûts dans la bouche pour un diabétique, et l’arôme de la fleur d’oranger pour une demoiselle qui se mariera dans huit jours. Et lorsqu’une voix me crie tout à coup à l’oreille : « Nogaret ! » tandis qu’au fond de la salle je désigne un monsieur inconnu, quelle ,* récompense que d’entendre l’interpellé s’exclamer : « Nogaret ? c’est le nom de ma belle-mère ! Elle m’a écrit ce matin et voici sa lettre ! » Cette allegria du médium à l’ouvrage, je crois la posséder pleinement, et bien que, comme je l’ai écrit, chacun opère, en ce domaine, selon sa nature, je ne pense pas ma faire en proposant, à tous ceux qui ont le don, cette manière familière d’en agir avec la Clairvoyance et qui revient bien moins à se tenir, gravement, pour un “confident des Dieux” qu’à les tutoyer un peu, je n’ose pas ajouter : en camarade. Quoi qu’en jugent… les autres, je suppose qu’ils s’en font de mon avis quand je dirai : « Le tout, dans ce genre d’exercice, c’est d’avoir confiance. » Le plus richement doué des clairvoyants est souvent condamné à l’échec s’il apporte des réserves à ses possibilités de réussite. N’est-il pas déjà bien fâcheux que, par d’insidieux retours de la conscience, de la raison raisonnante, le clair-voyant soit si fréquemment tenté d’arrondir les angles de sa vision, si l’on peut ainsi s’exprimer, et de façonner son inspiration, suivant ce qu’il présume être la logique et le bon sens ? Alors, tout est, dans son effort, gâché et perdu. Il a éliminé des perceptions apparemment déraisonnables, et c’était tout juste ce qu’il fallait dire. Le conscient insurgé l’a trahi.

Le rêve monitoire.

Cette lutte avec le conscient est sensiblement atténuée lorsque le sujet est en état d’hypnose. De même se défend-il moins, chez tout le monde, pendant le sommeil, quand, au cours d’un rêve, intervient, de quelque manière, confuse ou parfaitement nette, une indication métagnomique. La conscience « distendue », pourrais-je dire, ne maintient plus là ses moyens ordinaires de con-sidérer le monde intérieur et le monde extérieur, et c’est avec raison qu’on a rapproché le sommeil naturel de ceux de l’hypnose et de la transe. Cette disposition du mental ménage, en quelque sorte, dans le plan où s’architecture la pensée, des « seuils » par où peut entrer, plus aisément que dans l’état de veille (où la raison garde le chantier), le peuple des pressentiments, des avertissements télépathiques, des monitions et des prémonitions. Une femme, en hypnose, suit les étapes d’une inflammation péritonéale. Une autre prévoit, de quinze jours, une typhoïde dont, dit-elle, elle mourra. La maladie, la mort confirment l’autoscopie. M. Dencausse, père de Mme Fraya, la voyante si réputée, a soixante-seize ans en 1916. Au mois de mai, et bien que sa santé soit, somme toute, satisfaisante, il dit : « Je mourrai avant l’hiver ». II maigrissait et se nourrissait mal. Vers le 24 octobre, il précise le jour de sa fin : la Toussaint.

Le 28, le docteur Geley ne découvre aucune lésion organique, et rien qu’une légère bronchite. « Ce sera à minuit sonnant, confirme le vieillard, et je mourrai sans souffrance ni agonie. » Le mardi 31 se déclare une pneumonie. Le 1 er novembre, grande faiblesse. Vers 23 h. 30, le malade demande l’heure. On répond, pour démentir pieusement sa prévision : « Deux heures du matin. — Non, rectifie-t-il, il n’est pas minuit. A minuit, je mourrai. » Quand sonne la pendule, il lève une main qui retombe. Il est mort A Messine, un enfant dit à sa mère, qui le chausse de laine avant de le coucher : « Tu me mets les chaussettes de la mort. » Pendant la nuit, c’est la catastrophe qui détruit la ville : l’enfant est écrasé.

N’accumulons pas les exemples d’auto-diagnostics exactement portés par des sujets en bonne santé ou malades, mais convenons avec le professeur Charles Richet que « c’est peut-être par cette autoscopie interne que peuvent s’expliquer bien des cas authentiques d’auto-prémonitions ». Abordons maintenant les diagnostics formulés par Clairvoyance et pour autrui. Cette sorte de lucidité a été niée plus que beaucoup d’autres. Il semblait inadmissible qu’un médium, maniant une boucle de cheveux, pût dire : « La personne de qui viennent ces cheveux a une poche sous le coeur et qu’il faut vider. » Exacte vision, puisqu’il s’agissait d’une caverne tuberculeuse, pleine de pus, à la base du poumon gauche. Au moins fut-on bien surpris en présence du fait suivant : le docteur Terrien, président de la Société de médecine de Nantes, visite un malade à 8 kilomètres de cette ville et est retenu par un enfant qui, tombé d’une échelle, s’est blessé au genou. Au même moment, une petite couturière, chez Mme Terrien, racontait l’accident en tous ses détails 1. Et depuis, un grand nombre de contrôles ont prouvé la réalité de cette forme de voyance, autant que celle des autres. Parfois l’expérience se présente comme une vue sur le passé. Le médium Mlle de Berly, dans un appartement où elle n’est jamais venue, avise, au mur, le portrait d’un enfant de quatre ans et dit : « Pauvre enfant, il est mort à douze ans, de la tête. » L’hôtesse entre et reconnaît : « Cet enfant est mort, vers douze ans, d’une méningite. » Le 18 novembre 1925, en séance publique, je dis à une dame inconnue, tout en étreignant mon poignet : « Vous avez là des douleurs, des torsions musculaires. » Depuis quelques jours, avec, crises et sensations de torsions, cette personne souffrait de douleurs au poignet. Plus loin, nous parlerons d’une expérience capitale, celle dite « de la chaise vide ».


Xénoglossie.

Discours d’un de nos enseignants

Nos articles sur notre blog nous acheminent maintenant vers le si troublant phénomène de la xénoglossie. Il est souvent parlé de cette état de conscience dans la bible et les Écritures . Cependant la science est plus exigeante que la foi, et même, l’incrédulité de saint Thomas doit parfois se plier a des phénomènes plus fort que la Science.

Non seulement elle insiste pour voir et pour toucher. mais elle veut entendre. Pour essayer de faire accepter la xénoglossie au lecteur, c’est donc à des hommes de science que nous allons demander appui. Charles Richet, dans son Traité de métapsychique, parle de cette jeune fille de New-York, Laura Edmunds, s’exprimant en anglais seulement, et qui, en 1859, s’entretint en grec moderne avec un M. Evangelidès, à qui elle apprit qu’il venait de perdre son fils en Grèce.

Une dame Young, de Chicago, ouvrière sans instruction, chanta, parla en allemand, espagnol et italien. Mme Wriedt, Américaine, dialoguait en croate, serbe et
allemand (fait certifié par Sir William Barrett). Une jeune fille de Palerme, Minfa Filituto, oublia son dialecte sici-lien, pour tenir conversation en anglais, grec et français, langues qu’elle ignorait 2. Je veux reconnaître à chacun, et à moi-même, le droit d’être sceptique encore jusqu’au jour où, dans le département de la Clairvoyance, des expériences rigoureuses apporteront, sur cet ordre de faits, de nouvelles lumières. Il serait fort à souhaiter que surgit un médium possédant ce don des langues, que l’on trouve attribué dans les vies des saints, et parmi d’autres, à un Paul de la Croix, né à Ovada (Italie) et qui, par surcroît, tout en prêchant, se tenait suspendu dans l’air, lévité, comme on dit aujourd’hui. Jusqu’alors, on peut ne pas accorder un droit de cité définitif à la xénoglossie, dans la métapsychique objective, bien qu’à vrai dire il y aurait témérité à écrire : cc C’est un phénomène impossible. »

Par ricochet, c’est à cette forme de Clairvoyance que se rattache la naissance en soi du don métagnomique. Depuis quelque temps, et à la suite d’un deuil affreux,  la mort de mon fils bien-aimé, Frédéric Forthuny, victime d’un accident d’avion, le 25 juin 1919, à Galatz (Roumanie),  avais été envahi par la médiumnité de l’écriture automatique, et, dans les textes que j’accumulais ainsi en laissant aller ma main, était revenue, plusieurs fois, cette phrase :

Le véritable avancement de votre esprit se fera par le moyen de la Clairaudience et de la Clairvoyance, et cela aura lieu bientôt… »

Or, pendant l’hiver de 1921, je suis appelé à l’Institut métapsychique pour servir d’interprète, de traducteur, en présence d’une femme de Marseille qui assure parler la langue chinoise sans l’avoir jamais apprise (et voilà bien la xénoglossie). J’écoute cette femme, je lui pose des questions en chinois (langue mandarine). Elle ne répond qu’en un jargon qui n’a aucun trait avec le langage des Célestes. Pour contrôle, et s’il s’était agi d’un dialecte que j’ignorais, j’ai fait venir M. Tchou-Kia-Kien, qui avait été mon répétiteur de chinois à l’École des langues orientales de Paris.


Expérience médiumnique du passé

L’ACTION MÉCANIQUE DES RAYONS RIGIDES

Expériences faites par le Pr. J. Ochorowicz sur Stanislawa Tomczyk.


L’importance des études faites par le professeur Julien Ochorowicz sur le médium polonais Stanislawa Tomczyk consiste surtout en ce qu’il a réussi à provoquer régulièrement des phénomènes déterminés dans le domaine de la télékinésie médiumnique, et qu’il a pu les étudier avec méthode pendant plusieurs années. Mais, en dépit des efforts les plus scrupuleux et les plus zélés, il n’a pu réussir à libérer complètement ses recherches de l’influence traditionnelle de la méthode de travail spirite. La personnification mystique de la « petite Stasia », qui est vraisemblablement un produit de l’imagination du médium dû à des influences spirites plus anciennes, intervient partout comme un facteur invisible, coopérant et même déterminant. Il faut demander, implorer même son aide, sans quoi le médium n’est pas en état de produire des phénomènes d’une puissance notable. En septembre 1909, une personnification masculine, « Woytek », remplaça Stasia ou opéra en même temps qu’elle. Là aussi, il s’agit, d’après l’expérimentateur,’ d’une création auto suggestive de la vie mentale inconsciente du médium. Malheureusement, la lecture des travaux du savant polonais, nomme aussi la clarté de la représentation des phénomènes sont rendus prodigieusement difficiles par la conversation sans cesse répétée avec ces personnalités imaginaires.

Les expériences ont lieu dans l’état de somnambulisme, dans une lumière atténuée. On trouve dans les comptes-rendus des renseignements complémentaires sur les changements-de personnalité du sujet. La marche systématique des expériences fut souvent inter-rompue par l’apparition de phénomènes spontanés et inattendu (mouvements des objets présents dans la salle, contacts, apports d’objets, etc.) qui sont censés émaner du « double » du médium, de la petite Stasia. Avant chaque expérience avaient lieu des visites corporelles scrupuleuses du sujet. D’abord Stanislawa .réussit à amener assez régulièrement sur les chiffres indiqués par l’expérimentateur les aiguilles d’une horloge Magique elle le faisait par action à distance, sans aucun contact corporel avec le mécanisme de l’horloge; elle a pu aussi, à la demande,- arrêter le balancier d’une pendule enfermée dans son cartel. Pendant cette opération, la porte s’était entrouverte. Le 9 juin 1909, en approchant simplement les mains d’une aiguille métallique d’horloge, elle l’a soulevée en l’air de telle sorte que la distance de l’aiguille aux mains était environ de 30 cm.

L’expérimentateur plaçait une série de petits objets (de métal, bois, verre, cuir, papier) devant le médium qui, -en approchant ses mains, les mettait en mouvement et les soulevait sans y toucher. Au moment de la lévitation d’un calendrier de poche, Ochorowicz remarqua pour la première fois, le 17 janvier 1909, comme un fil soutenant l’objet, qui allait d’une main à l’autre. Mais le fil n’était pas également visible de tous les côtés; par exemple, il ne l’était pas à contre-jour, mais plutôt de biais.

Le contrôle qui eut lieu immédiatement donna un résultat négatif. Stanislawa n’avait ni cheveux, ni fil à coudre qui lui permit d’opérer une manipulation frauduleuse. La lévitation de tous les objets donnait l’impression qu’il existait une communication invisible avec les doigts du médium. Les doigts avaient une position mi-ouverte, mi-fermée, ‘qui ne correspondait jamais exactement à chacun des objets. Même pendant l’immobilité des mains, les objets se déplaçaient tantôt à droite, tantôt à gauche, ou bien ils se retournaient. Les mains elles-mêmes étaient froides et humides, mais ne quittaient jamais la surface de la table, au cours de nombreuses expériences.

L’expérimentateur mit sa main gauche sur là table et de-manda à Stanislawa d’agir sur elle de la même manière que sur les objets inanimés. Il sentit, dès que les mains du médium se trouvèrent en position, d’abord de la fraîcheur, et ensuite, le contact d’un fil très fin qui glissait sur sa, peau. Plus le médium écartait les mains, plus le fil paraissait fin ; à une distance de 15 à 20 cm., la sensation disparaissait entièrement. Le’ cas était le même lorsque le contact avait lieu avec d’autres parties du corps (barbe, chevelure, etc.) L’auteur remarque avec raison qu’il se produisait ici pendant, un temps très court, par une opération d’idéoplastie matérielle, un fil médiumnique d’une certaine consistance, dont la forma-tion était accompagnée d’une sensation de fraîcheur. Le désir violent du médium d’attirer à soi un objet amène, par une association d’idées, la pensée d’un fil permettant de réaliser l’expérience; le fantôme objectif du fil est produit par une hallucination qui se réalise matériellement. Subjectivement, apparaît dans l’âme du médium d’abord le vif désir de réussir, allié à un état d’attention concentrée. Une sensation de fraîcheur, d’engourdissement, de picotement dans le bout des doigts, est le premier signe qu’une certaine émanation se détache d’eux. Ces fils peuvent, être formés en grand nombre, s’unir en un écheveau, et envelopper les doigts comme un réseau. Ils sont élastiques et s’étirent lorsque la main s’ouvre.

Plus les mains s’éloignent l’une de l’autre, plus la communication devient mince, pour finir par disparaître. Le contact d’un corps étranger et la rupture des fils causent de la souffrance. Ce sont les mêmes sensations que décrit, pour des phénomènes analogues, Eusapia Palladino, mais seulement avec cette diftérence que la peau des mains est sèche, tandis que chez Stanislawa Tomczyk, une sueur froide en mouille la face interne.

Quand les lignes de force vont en se croisant du pouce d’une main à l’index de l’autre, sans être interrompues par un objet, la ligne, visible comme un fil unique, est en réalité double. Dans l’obscurité, ces effluves paraissent lumineux, dans la lumière, ils paraissent sombres ou noirs. Eusapia Palladino, ainsi que Stanislawa Tomczyk, étaient capables d’agir sur des objets par leur « émanation fluidique », même d’une seule main ; par exemple elles pouvaient arrêter une balance en oscillation ou faire rouler une balle de cellulose.

Des thermomètres, des baromètres, des hygromètres, suspendus au mur, furent attirés par la main du médium, tenue devant eux.

Deux boites d’allumettes placée l’une à côté de l’autre se rapprochèrent. Voici une expérience très intéressante : Ochorowicz est assis devant Stanislawa et tient ses deux mains ; le médium tourne le dos à un appareil composé d’une clochette suspendue à un fil ; la distance entre la clochette et le dos du médium est de 95 cm.. L’éclairage est assez intense.. Dans ces conditions, la clochette retentit trois fois. Pour expliquer ce phénomène, on pensera que l’effluve personnel du médium ne doit pas suffire et qu’il doit intervenir un autre facteur. D’après Stanislawa, ce serait la personnification imaginaire de « la petite Stasia », avec ses « mains éthérées ». Il fallait mentionner ce point, parce que on s’y réfère. Pour constater objectivement la lévitation, Ochorowicz prit un grand nombre de photographies ; au début de cette série, il fut demandé si le courant médiumnique devait être visible ou non. Ochorowicz se décida d’abord à le laisser invisible. Les expériences se développaient comme suit. Stanislawa prenait place sur une chaise ou un divan. L’objet en expérience (métal, bois, papier, etc.) était placé devant elle sur ses genoux ou sur la table (naturellement après toutes les mesures de contrôle voulues).

Puis le médium écartait les deux mains à une distance d’environ 5 à 10 cm: de chaque côté de l’objet


Expérience de Lévitation

Une jeune fille polonaise, Stanislawa Toinepek, se trouva prise, pendant les troubles. de Varsovie, dans une foule cernée par la troupe et elle fut injustement emprisonnée. Un emprisonnement, de dix jours exerça sur le système nerveux de cette jeune fille, qui avait alors à peine 20 ans, un choc psychique si violent, qu’elle manifesta bientôt des symptômes d’hystérie, et en particulier des troubles de la mobilité et de la sensibilité, auxquels étaient liées, choses étranges, des influences involontaires à distance sur des objets inanimés.

Lorsque par exemple le médecin lui écrivait, une ordonnance, l’encrier se mettait en mouvement, des meubles se déplaçaient et l’on entendait des coups frappés. Son entourage voyait dans ces phénomènes inexplicables l’influence des esprits. C’est ainsi que furent découvertes les facultés médiumniques de Stanislawa, qui fut initiée alors au secret des séances spirites. Ces manifestations remarquables attirèrent l’attention du Dr Julien Ochorowicz, alors professeur de philosophie, et aujourd’hui décédé depuis plusieurs années. Il réussit en 1909, à accaparer la jeune fille pour une enquête scientifique qui devait durer plusieurs années, et qui se déroula en partie à Varsovie même, en partie dans la propriété du professeur ou à Paris.

Grâce à l’accueil courtois du savant polonais, l’auteur put être témoin, à Paris, de quelques expériences de télékinésie, pratiquées sur M”° Stanislawa Tomczyk, expériences véritablement impressionnantes, instituées méthodiquement et tout à fait démonstratives. Plusieurs années après la fin des recherches du professeur Ochorowicz, l’auteur profita d’un séjour à Varsovie (décembre 1913) pour étudier de plus près, par lui-même, en trois séances, les productions de Mile Tomczyk. En janvier 1914, le médium accepta. l’invitation de l’auteur et vint à Munich où elle donna en janvier, février et mars, d’autres séances. Les phénomènes, chez M”e Tomczyk, se déroulent, du moins d’après l’expérience de l’auteur, exclusivement, pendant le somnambulisme actif artificiellement provoqué. Dans « état second », le sujet présente une nouvelle existence psychique, à savoir celle de sa propre personne au niveau intellectuel d’un enfant de 10 à 12 ans. Ce rôle, dû à l’autosuggestion, continua à être joué, comme par un acteur, d’une manière puérile, par écrit et oralement, avec une disposition marquée pour les jeux et les friandises enfantines, avec une émotivité et une impulsivité très grandes (turbulence, scènes de pleurs, etc.) et une disposition à étoffer ce rôle d’une série de souvenirs typiques remontant à cet âge.

Cependant toute cette représentation dramatique évoque une impression d’affectation et d’exagération hystériques, avec un fonds psychique constitué par un caractère de personne mûre. Cet état de rêve, qui. se continue parfois salis interruption pendant 5 ou 6 heures, est. accompagné de beaucoup d’idées subites et, capricieuses, de fantaisies hystériques, de troubles de la motilité et de la sensibilité (légères crampes cloniques et toniques qui vont jusqu’à l’opisthotonus), hypersensibilité et crainte manifeste de la lumière, analgésie de certaines régions de la tête, tachycardie, etc.) Le caractère de Stanislawa, capricieux, offrant déjà en état normal de veille peu de prise à la suggestion, un peu entêté, demande de la part de l’expérimentateur des démarches prudentes et pleines de tact. Cela s’applique également au degré conscient du somnambulisme hystérique actif. Si l’on veut demander au médium de produire des phénomènes télékinétiques, il faut d’abord s’être bien familiarisé avec le caractère comédien de cette personnalité enfantine, un peu comme le médecin s’adapte aux pensées folles d’un aliéné. Au milieu des jeux et des amusements puérils, qui maintiennent le sujet en bonne humeur, le directeur de l’expérience propose brusquement d’essayer un jeu sur la table et de s’amuser à mettre en mouvement de petits objets sans y toucher.

A cette invitation, Stanislawa s’assied à la table. Alors intervient une transformation notable de son être. Sans doute, les manières enfantines de penser et de parler subsistent encore, mais l’attitude un peu niaise, incohérente, turbulente, adoptée jusqu’ici par le sujet, fait place à une attitude sérieuse et à un jugement mûr, inconciliable avec cette manière puérile de se représenter les choses. Le sujet comprend la nécessité de la rigueur expérimentale et aussi l’impor-tance de la situation.

Étrange union d’une âme enfantine avec une âme d’adulte ! Le médium vit dans la conviction que .ce n’est pas lui-même mais son second moi, son double, par conséquent un être invisible indépendant de sa personnalité du moment, qui produit les phénomènes, toutefois, la plupart du temps, (dans la mesure où il ne s’agit pas de manifestations spontanées) sur ses désirs. et à sa demande.

C’est ainsi que, pour le médium, il y a trois types de personnalité:

  1. La Stanislawa de l’état normal de veille
  2. La Stanislawa, ou par abréviation .« Stasia », de 10 ans, au moment du somnambulisme hystérohypnotique
  3.  Le « double » de cette Stanislawa n° 2, qui s’appelle la « petite Stasia ».

La production des phénomènes suppose donc un processus psychologique un peu compliqué, qui peut apparaître comme le produit, créé par la suggestion, d’une éducation spéciale (par une influence étrangère combinée avec les représentations personnelles), mais qu’il ne faut pas négliger au cours de l’expérimentation, et dont on a dû tenir compte, aussi bien à Munich qu’à Varsovie, au cours des 14 séances organisées par l’auteur.

EXPÉRIENCES DE VARSOVIE.

Séance du 29 décembre 1913.
Lieu : La demeure d’un agent consulaire autrichien. Résultat négatif.
Séance du 31 décembre 1913
Lieu : La demeure du propriétaire à Varsovie, chez qui Stanislawa Tomczyk logeait.
Vérifications préliminaires : Mademoiselle T. est hypnotisée dans une autre chambre et pénètre dans la salle de séance, en tant. que Stanislawa il est dans l’état de somnambulisme actif; elle s’assied en face du petit côté de la table entre le savant anglais et l’auteur, pendant que les autres assistants se tiennent dans une autre partie de la salle. Le médium demande alors lui-même, avant le début de l’expérience, le contrôle corporel le plus minutieux : sur le haut du corps, vêtu d’un tricot, on ne trouve ni fil, ni cheveu ; on palpe toute la sur-face des vêtements et les bras nus jusqu’aux coudes, après avoir relevé les manches qui sont également contrôlées. Examen très minutieux de la surface des mains ; on passe la lame de ciseaux sous chaque ongle, au cas où du fil s’y trouverait caché.

Résultat négatif. La table peinte en sombre, faite d’un bois n’ayant, subi aucune préparation, est également contrôlée et essuyée. Lorsque le contrôle est terminé, les mains ne doivent plus quitter la partie visible de la surface de la table. Défense est faite de toucher le haut du corps et la tête. Chaque mouvement des mains et des doigts est attentivement examiné jusqu’à la fin de la séance. Nous examinons également avec soin si une des deux mains vient toucher l’autre au cours de l’expérience.


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Avenir et Hypnose ?

L’ avenir peut-il être dévoilé par l’hypnose?

Et si l’hypnose nous ouvrait les portes du futur ? On connaissait les « régressions » hypnotiques. Quelques hardis chercheurs ont tenté des « progressions ». Une série d’expériences troublantes…
Sous hypnose, on peut revivre non seulement sa vie actuelle dans les moindres détails jus-qu’à la période foetale, mais aussi certaines existences antérieures. Peut-on imaginer pa-reille incursion… dans le futur, à la recherche non plus des vies que nous avons déjà vécues mais de celles que nous allons vivre ? Peu d’expériences ont été faites en ce sens. Mais il semble que, dans certaines conditions du moins, ce soit tout à fait possible.

Tout est en nous, disaient les Anciens, notre présent bien sûr, notre passé, mais aussi le futur qui nous attend. Et il appartient au véritable philosophe d’éveiller les yeux secrets de son âme, ces zones encore in-connues de notre destin… » Pour les parapsychologues modernes, ces yeux secrets de l’âme » sont les différents états de conscience qui permettent, par exemple, d’atteindre certains états hypnotiques. Sous induction, et avec les suggestions nécessaires, on accède ainsi à une sorte de supraconscience susceptible de nous ouvrir directement l’accès de nos vies antérieures. Si notre avenir est en nous comme notre plus lointain passé, pourquoi ne pas tenter l’expérience vers les vies futures ? Laissons de côté l’aspect philosophique de la démarche pour examiner les tentatives faites en ce sens. Il semble que le premier qui ait songé à appliquer les techniques de régression » à ce que l’on pourrait appeler la progression. On a un peu oublié ce chercheur qui, au début du siècle, a mené à bien nom-bre d’expériences très concluantes en matière d’hypnotisme et de magnétisme appliqués.  Parfois, la progression » s’est limitée à quelques années.  Dans quelques cas seulement, elle traverse sa propre mort et entame des existences à venir qu’elle est capable de décrire avec un luxe de détails. La technique de la progression,  ne diffère pas, dans les grandes lignes, de celle de la régression, sinon au ni-veau, bien sûr, du contenu des suggestions hypnotiques et des passes magnétiques qui les accompagnent. Ainsi, le chercheur remar-qua-t-il que les passes dites longitudinales » favorisaient davantage les évasions en direction des vies antérieures, tandis que les passes dites transversales » ouvraient plutôt le chemin des existences futures. Pour exécuter les premières, on a recours à des mouvements de mains de bas en haut et le gauche à droite du sujet ; les secondes se pratiquent de côté ou, plus rarement, par derrière.

Les premières expériences de progression ont été entreprises avec une jeune domestique, âgée de dix-huit ans, qu’il avait fait régresser à plusieurs reprises. Excellente sensitive, elle se laissa très vite projeter dans le futur immédiat. Mais le savant était en droit de se demander s’il ne s’agissait pas plutôt de clairvoyance que d’une véritable incursion dans une postériorité de l’existence. Quittant momentanément Voiron où il travaillait, Albert de Rochas rencontre à Paris un remarquable sujet hypnotique, Mme Lambert. Elle a quarante ans, jouit d’une parfaite santé et d’un grand équilibre, deux précieux atouts pour un expérimenta-teur dans ce domaine. Comme Joséphine, Mme Lambert régresse aisément et revit plusieurs existences antérieures. En la ramenant à son état normal lors d’une session, l’hypnotiseur approfondit ses suggestions, l’engage très doucement à poursuivre sa route dans le temps sans s’arrêter au présent, et… lui demande de se re-garder dans un miroir. Mme Lambert est coquette. Fière de sa chevelure d’un brun magnifique, elle pousse un véritable cri d’angoisse. Elle dit avoir devant elle une vieille femme à cheveux blancs qui lui ressemble comme une soeur, mais avec trente ans de plus… Albert de Rochas travaille avec Joséphine de la même manière qu’avec M— Lambert. La jeune domestique entre peu à peu dans son futur. Elle raconte d’abord comment, à quelques mois de là, elle quittera son service actuel pour travailler dans un grand magasin de Grenoble, les Galeries modernes, en tant que vendeuse. Ensuite, elle est, dit-elle, sollicitée à nouveau par le savant pour reprendre les expériences. Tous les détails qu’elle donne sur cette période immédiate qu’elle est censée vivre dans les deux à. trois ans qui suivent ne peuvent se vérifier, ou sont tellement vagues qu’on ne peut considérer qu’elle ait vraiment vécu sous hypnose magnétique ce passage de sa vie. Les révélations faites par la suite deviennent beaucoup plus intéressantes : Joséphine dit avoir atteint vingt-cinq ans. Elle ne travaille plus comme domestique depuis trois ans. Au cours de la séance, elle paraît souffrir vivement, puis tombe dans un état de profonde fatigue apparente. Aux questions inductives d’Albert de Rochas, elle se contente de dire qu’elle traverse des moments psychologiquement difficiles. Pas moyen d’en savoir davantage, mais elle assume vraiment à l’avance tous ses malheurs. Au point que Mme de Rochas doit prier son mari d’interrompre la pénible expérience et demander du repos pour la jeune domestique. Joséphine progresse », au cours d’une autre séance, jusqu’à l’âge de trente-deux à trente-cinq ans. Elle a un enfant naturel et dit avoir été abusée par une fallacieuse pro-messe de mariage. Elle accuse le fils même de son hypnotiseur, Eugène F. de Rochas. C’est sans doute un transfert inconscient de l’amour qu’elle porte en secret au jeune homme. Car Joséphine aura effectivement, par la suite, un enfant d’un homme qui lui promettra le mariage pour la séduire, mais il ne s’agira pas d’Eugène. Détail intéressant : elle considère sa situation peu enviable comme une punition pour une faute dans une vie antérieure. Elle ne retrouve pas. cette existence, sans doute fort ancienne, malgré les efforts du savant.

Rochas fait encore progresser Joséphine dans l’avenir. Elle atteint la quarantaine. Elle est revenue vivre à Mamiat, le village de son enfance. La déception de son mariage avorté la poursuit. Sous les passes hypnomagnétiques, elle vit de durs tourments psychologiques qui effraient une nouvelle fois l’expérimentateur. Il lui pose pourtant la fatale question :  Voulez-vous aller plus loin que cette vie et faire l’expérience de votre propre mort ? Joséphine hésite. Mais son destin lui paraît tellement triste qu’elle finit par accepter. Elle atteint soixante-dix ans et meurt. Il nous manque malheureusement dans les rapports du colonel de Rochas le récit circonstancié de cette mort. L’après-vie immé-diate est en revanche décrite avec une grande précision. Joséphine assiste à ses propres funérailles. Son témoignage rappelle ceux des patients du docteur Moody , qui, séparés de leur corps, observent leur entourage. Il est intéressant d’effectuer le rapprochement. Pas de rencontres dans l’au-delà. Pas de parents ou d’amis morts pour venir l’accueillir… Joséphine était croyante, et pourtant aucun être de lumière, ressemblant à Jésus ou à ses anges, n’est venu pour la guider. Elle évolue dans d’infinies ténèbres. Là, de temps à autre, elle ressent pourtant des présences désincarnées, mais il lui est impossible de communiquer avec elles. Elle ressent fortement le désir de se réincarner.

 

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